-Au revoir Cal !
Des prisonniers crient sur mon passage. J'ai envie de me tourner vers eux, d'observer leur visage, mais ça me prendrait trop de temps. Et le temps est ce qui me manque le plus. Je garde les yeux fixés devant moi. Au bout du couloir, une porte à deux battants est ouverte. C'est une journée idéale.