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3.9/5 (sur 19 notes)

Nationalité : France
Né(e) : 1936
Mort(e) : 2009
Biographie :

Marc-Alfred Pellerin est un auteur français de romans policiers et autres romans.

Avant d'écrire, il a été journaliste, marchand de vélo, éleveur de sanglier, gestionnaire de forêts et surtout voyageur.

Ses premières publications remontent à 1968 avec "Salauds les Copains". Suivirent "La Pelouze", "La Bourde", "La Pente" et "N'oublie pas d'avoir peur" chez Gallimard dans la Série Noire.

Ses romans s'inspirent du vécu de l'auteur, principalement en Normandie d'où il est originaire. Depuis longtemps Marc-Alfred Pellerin lutte à sa façon pour une meilleure sauvegarde de l'environnement, dans sa vie comme dans ses romans.

Marc-Alfred Pellerin s'est vu décerné le Prix Sang d'encre 2001 pour son roman N'oublie pas d'Avoir Peur paru à la Série Noire. Il s'est aussi vu décerné le Prix Culture et Bibliothèque pour tous 2005 pour Inokenti paru aux éditions Albin Michel.
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Source : Wikipédia
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Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
Tout seul, d'un sort, il s'était forgé une vie. D'un cheval noir étique au poil éteint, sauvé d'un convoi expédié à l'abattoir par le gérant d'un domaine dilapidé, il s'était fait un double. Ils avaient vécus libres, entiers, de sa fraternité avec les arbres. De son culte du bois. Il allait casqué d'argent. Un soir, de la pluie était sortie une femme. La terre avait roulé sous leurs pieds, comme un dé dans la poussière. Le pire des nombres était sorti: le deux.
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Il y a du repos dans la pluie. Ses mille bruits protègent le silence des hommes.
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Dans la dramaturgie d'un chantier, il faut que le voleur devienne l'ennemi commun.
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Encore une idée d'Indien, de s'en faire pour les arbres.
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Il raconte. Comment les hommes, venus jadis de l'autre bout du monde et qui voulaient atteindre la plaine fertile, ont demandé à la montagne , car les montagnes parlaient alors, la permission de la frapper avec leurs pioches. Non par colère, mais pour se tailler un passage parce qu'ils ne savaient plus voler comme les pères de leurs pères, les condors. La montagne les a écoutés et promis de rester ferme sous leurs pieds, de ne pas les laisser glisser, eux, leurs enfants et les mères de leurs enfants. C'était il y a mille ans.
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Bib rigola. Mais, dans le fond de lui-même, ça commençait à le soucier, les bavardages de la Colo. Comme disait un copain plombier : les fuites, si on fait rien, ça s'arrange pas tout seul.
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Un rouquin, très grand, la trentaine, avec des lunettes à se demander ce qu'y pouvait voir au travers. Des loupes qui lui enfonçaient le regard au fond du crâne. Un peu louchard avec ça. Quelque chose, décidément, n'allait pas dans la finition de ce pèlerin Le nez trop petit avec les narines qui vous regardent. Une mâchoire tirée du rayon cheval. Et la démarche osseuse, dromadaire. Un paletot, un pantalon, une veste, une chemise presque propres. On n'était pas dimanche pourtant ni jour d'enterrement
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Qui te parle de morale ? On est à Meliville, Marie. La morale a jamais poussé, là-bas. Et même qu'elle aurait essayé, y z'auraient mis du désherbant sélectif. Où vois-tu qu'on fait du lait, du beurre, du gras avec de la morale ?
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Il avait été amoureux d'elle. Elle avait préféré ne pas le savoir. Le laisser se déclarer aurait tout gâché. Elle ne s'était jamais voulu meilleure que les autres. D'homme à femme, ou l'inverse, la partie n'est jamais égale. Celui qu'on tient paye, après tout, pour ceux qui vous ont fait souffrir.
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On a déjà vu Luc – ou entendu raconter – tirer le bras d'un type, pourtant costaud et sur ses gardes, et te lui démancher d'un coup. Il y a aussi l'histoire du fils Bourgeron, un vrai taureau. Luc et lui s'étaient empoignés, à la Foire-à-Tout d'Henneville. Ca cognait, ça saignait. Effarant. Interminable. On avait fini par les séparer. Ferrasse, le premier adjoint d'Henneville, avait demandé aux deux brutes de se serrer la main. Pour serrer, Luc avait serré. Et l'histoire de la main broyée de Bourgeron avait fait le tour du canton.
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