Les Bleus ont déferlé sur notre monde, continuait-il, comme la peste sur Florence en 1348, et il me plaît d’imaginer que nous sommes en fuite vers un jardin paradisiaque, comme cette brigade de jeunes gens que décrivait Boccace… En divers endroits du livre, il parle de ceux qui ont tout perdu, mais qui à force de persévérance, et en dépit des épreuves, du harcèlement, des persécutions, des coups du sort, ont recouvré le bonheur et la joie de vivre.