C'est pourquoi si, en 1976, seules 693 des personnes sous écrou l'étaient pour viols, agressions et atteintes sexuelles, en 2005 elles étaient 8670 et 7631 en 2011. Si en 1976 elles représentaient 4% de la population carcérale, ce chiffre monte à 14,9% en 2011, ayant atteint en 2001 le sommet de 24,7%.