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3.41/5 (sur 114 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Sous le nom de Margaret Frazer se cachent en fait deux femmes.

La première, Mary Monica Pulver (1943), est auteur de romans policiers contemporains, la seconde, Gail Frazer, est passionnée par l’histoire médiévale anglaise.

Leur collaboration commence en 1992 avec la première enquête de mère Frevisse, Le Conte de la novice.

Elle se poursuit pendant six ouvrages et deux nominations à des prix - le prix Edgar Poe pour Le Conte de la servante et le prix du Minnesota pour Le Conte de l’évêque - avant que l’une des deux ne retourne au XXe siècle et ne laisse la seconde poursuivre seule l’aventure.

Digne héritière d’Ellis Peters, Margaret Frazer a déjà publié quinze enquêtes de mère Frévisse.




Source : 10/18
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The Bishop's Tale - Margaret Frazer


Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
- Etes-vous toujours contente d'être ici ?
- La plupart du temps. Le plus simple serait peut-être de dire que je me satisfais d'être contente.
- Si c'est le cas, c'est plus que n'obtiennent la plupart des gens dans leur vie.
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Choisir sciemment d’accomplir un devoir qui revêt plus d’importance à ses yeux que ce que d’autres considéreraient comme des plaisirs. Et accepter ce qui est rarement accepté par quiconque, en dépit de ce que nous enseigne le Christ. À savoir que nous sommes tous responsables les uns des autres. Sinon de l’âme de notre prochain, du moins de son bien-être physique. Et que nous devons faire tout notre possible pour que son âme ne se laisse pas corrompre par les souffrances du corps.
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Une religieuse n’était pas censée faire des serments qui sortaient du cadre de l’obéissance due à sa prieure, et qu’il lui serait impossible de tenir sans obtenir la permission de celle-ci.
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Elle préfère avoir de la beauté autour d’elle de son vivant qu’une effigie de pierre froide que seuls les autres pourront voir une fois qu’elle ne sera plus là.
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On ne saurait être responsable des pensées d’autrui.
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Le Roman de la rose, long et célèbre poème, pouvait en effet être interprété de deux manières très différentes. La quête de la rose entreprise par l’amant pouvait se voir comme la recherche de l’amour du Christ ou comme l’expression de son désir charnel pour une dame. Tout dépendait de la lecture que l’on choisissait de faire du poème.
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La règle de silence imposée au couvent l’avait aidée à apprendre à tenir sa langue, mais pas toujours ses pensées.
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Le jugement, la justice et l’équité, tout cela existait. Et ces choses étaient censées être équivalentes, mais elles ne l’étaient pas, pas aussi souvent qu’il l’eût fallu.
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Ça, c’était le bon côté des femmes : il suffisait de les satisfaire au lit et de les engrosser, et elles s’estimaient contentes jusqu’à ce qu’il soit temps de recommencer.
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Lorsqu’on n’était ni lâche ni stupide, il existait des moyens d’attirer la chance qui ne vous avait pas été donnée à la naissance.
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