Un monde de cristal enseigne ici ses merveilles. La beauté est partout gravée, partout l’opulence. Se confondent dans la vision le liquide et le solide, l’eau et le marbre, et nous ne savons plus lequel des deux est celui qui coule. L’eau court comme des perles liquides de glace. Il semble que nous formons l’eau qui coule et moi, un morceau de glace dont une partie devient liquide et l’autre ne change pas.