Il n’y avait pas de paradis. On avait réchappé des enfances ; en elle, dans son sang, et sous sa peau, étaient infusées des impressions fortes qui faisaient paysages, et composaient le monde, on avait ça en soi, il fallait élargir sa vie, la gagner et l’élargir par le seul et muet truchement des livres.