Bâtie à la fin des années soixante pour loger l'élite intellectuelle de la faculté de Grenoble, [La résidence universitaire] Condillac s'était transformée vingt-cinq ans plus tard en un bouge infâme que seuls les réfugiés politique rwandais et iraniens, les Erasmus chinois, portugais ou sénégalais et les étudiants fauchés comme Coste acceptaient d'habiter...