Citations de Mary Wesley (43)
Vous ne trouvez pas ça immoral , Monika ?
- La morale est élastique.
[...]que je... oh, zut ! bref, j'ai mis les pieds dans le plat, et vous savez, Monika, en général, je ne me soucie guère de savoir où je les mets. Prenez ça comme un compliment."
La bouche de Monika se crispa. " Vous êtes si belle, que les pieds ne sont pas graves.
Mais moi, je ne suis pas amoureuse. L'amour, c'est une calamité. Moi, je suis un divertissement.
Quitter son mari pour un autre homme, ça se comprend, pour une femme, c'est assez banal, mais pour un couple, c'est curieusement excentrique.
Cela va durer toute la nuit, dit-il alors qu'un autre chapelet de bombes s'écrasait. (...) On dirait qu'un géant est en train de déchirer des voiles ou des draps...
Le vieux John Morgan , qui s'est remarié à quatre- vingts ans, va avoir son cinquième enfant. Sa femme a soixante ans de moins que lui. ça marche très bien, c'est un bon ménage.
- Ridicule.
- Inhabituel, je te l'accorde, mais jette un coup d'oeil dans l'Ancien Testament.
« De l’éloignement naît l’enchantement. »
- Qu'est ce qu'elle te trouve ? Tu as vraiment une drôle de touche.
- ça ne pose pas de problèmes au lit, (...).
Nous nous téléphonions [pendant la 2° guerre mondiale] . Les conversations étaient limitées à trois minutes. Il fallait faire tenir toutes les nouvelles là-dedans.
Pas simple, la vie, n'est-ce pas ?
A force de s'interroger sur le fait que Silas n'avait pas de père, Giles eut une soudaine inspiration. (...)
" Si ça se trouve, ta mère est une ellemafrodite. "
« Le vieux John Morgan, qui s’est remarié à quatre- vingts ans, va avoir son cinquième enfant . Sa femme a soixante ans de moins que lui.Ça marche très bien, c’est un très bon ménage...
——-Ridicule.
———Inhabituel, je te l’accorde, mais jette un coup d’œil dans l’Ancien Testament.... »
" De l'éloignement, naît l'enchantement."
Notre ciel était plein d' étoiles. Regardez- le aujourd' hui, sillonné par la mort.
Il ne faut jamais retourner dans un endroit où on a été heureux sous peine de dénaturer tous ses bons souvenirs.
C’est long comment, cinquante ans ? Se demanda Rose, allongée dans ce lit d’hôtel où elle ne trouvait pas le sommeil. Comment calculer le temps qui passe sans perdre la tête ?
Prenez garde à vos rêves, car ils risquent de se réaliser.
A l’heure de sa vieillesse, Flora aurait beau oublier constamment le nom des gens, les évènements qui s’étaient produits une semaine plus tôt, les titres de livres, le côté éphémère de la vie, elle se rappellerait toujours aussi bien le quai de Dinard où, plantée sous la pluie battante, elle regardait les vedettes s’éloigner.
La guerre a été très romantique.
- Trouve-toi une jeune fille. Inutile qu'elle soit particulièrement jolie – c'est parfois source de problèmes – d'une bonne famille, bien sûr, il n'est pas nécessaire qu'elle ait de la fortune, tu en as largement, cela élargit ton champs de recherche. En bonne santé, bien entendu, pas de secret honteux côté hérédité, et la plus jeune possible.
- Pourquoi ?
- C'est comme lorsque tu achètes un chiot ou un cheval, déclara Archibald Loftus avec impatience, tu les habitues à ta façon de vivre. Si tu prends une fille qui eu le temps de connaître d'autres histoires amoureuses, elle fera des comparaisons humiliantes, et peu flatteuses. Non, non, plus elle est jeune, mieux c'est. Quand tu choisis un poisson, tu regardes l'œil, s'il brille, tu le prends. C'est pareil. Demande à ta tante Flora.