Maureen Johnson

Flocons d'amour m'a beaucoup plu au point de lui mettre 4 sur 5 - il s'est retrouvé dans mes mains après le premier tome de Vérité. Certes, j'ai apprécié ce dernier mais j'ai quand même trouvé ma lecture un peu longue. Flocons d'amour m'a apporté un petit souffle d'air frais - qui m'a fait beaucoup de bien ! Peut-être que si je l'avais lu dans d'autres circonstances, je n'aurai peut-être pas accroché de la même manière. Qu'importe au final ! Des trois auteurs, je ne connais que Lauren Myracle de nom seulement. Je l'ai croisé dans un véritable collectif d'auteur à savoir Nuits d'enfer au Paradis au côté de Stephenie Meyer. Il me semble que j'avais beaucoup apprécié son histoire dans ce dernier car j'avais noté son nom comme auteur prometteur et donc à suivre... Si vous êtes comme moi, que vous ayez besoin d'un petit souffle de vent frais, lisez Flocons d'amour. Surtout qu'au moment où je l'ai lu, je voyais la neige tombé de ma fenêtre, j'étais dans l'ambiance en quelque sorte...



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J'avais entendu parler de ce roman il y a un petit moment déjà, et j'ai enfin eu le temps de le lire. J'ai bien aimé, mais je dois dire que j'ai été un peu déçue. Je m'attendais à plus d'intensité dans les émotions, et je n'ai pas été emballée par Ginny, le personnage principal. J'ai bien aimé Richard, le contact de Ginny à Londres qui travaille chez Harrods, et Keith, le bel acteur, mais il m'a manqué quelque chose pour adorer ce roman original dans son principe. Par comparaison, je suis en train de lire Suite Scarlett, du même auteur, et ça n'a rien à voir : j'ai tout de suite été séduite par l'histoire, les personnages et l'humour, et je pense que mon avis sera bien meilleur sur cet autre roman ! Tant pis, la lecture était quand même bien agréable, et c'est un genre d'aventure que j'aurais bien aimé vivre !

La tante de Ginny est décédée. Elle lui a laissé 13 petites enveloppes bleues qui la font voyager à travers l'Europe.

Ce voyage initiatique permet à Ginny de découvrir sa tante adorée mais aussi de se découvrir elle-même.



J'ai trouvé ce roman intéressant et plaisant à lire. C'est un roman pour adolescentes qui permet de visiter de grandes villes européennes...

Recueil de nouvelles putôt sympathiques, écrites par des "noms" de la littérature américaines. Comme dans recueil de nouvelles il y en a des "sans plus" et des "vraiment pas mal!!".



J'ai particulièrement apprécié la première sur la croisière et les vampires. Pour les autres, la chute est assez convenue.



A lire ou à offrir à une ado.

Cela beau être un roman jeunesse, je me suis régalée à lire cette histoire originale et j'ai eu du mal à laisser le livre. Un très bon roman pour adultes également.

Drôle, juste, bien mené, le roman de Maureen Johnson a tout pour plaire aux filles à partir de treize ans. L'héroïne y est [...]

L'histoire :



C'est au coeur de New York, dans l'hôtel familial qu'on rencontre Scarlett, une jeune fille de 15 ans. Elle vit ici avec ses parents, son frère et ses 2 soeurs.



Si l'hôtel a connu ses heures de gloire, depuis quelques années la clientèle semble le bouder et les finances de la famille sont au plus bas.



Alors que tous ses amis partent en vacances cet été, Scarlett devra aider ses parents et tenir la réception. Heureusement, une cliente, Mrs Amberson, un peu excentrique et hors norme, va venir réveiller toute la famille. Elle va notamment s'investir dans la pièce de théâtre de Spencer, le frère de Scarlett.



Tout ce petit monde va commencer à vivre au rythme effrené de Mrs Anderson. Il va y avoir du remue-ménage dans cet hôtel quelque peu assoupi.







Mon avis :



Voilà un roman bien agréable.
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Lecture jeune, n°122 - Qui n’a jamais rêvé de partir à l’aventure muni d’un unique sac à dos et d’une carte de crédit ? Ginny, 16 ans, relève le défi que lui propose sa tante Peg dans son testament : treize enveloppes lui indiquent les destinations où se rendre. A chaque escale elle devra accomplir une mission. Elle se rend à Londres demander à un certain Richard ce qu’il a vendu à la reine d’Angleterre, à Rome pour inviter un jeune homme à manger un gâteau… A chaque étape, la jeune fille découvre un aspect de la personnalité de sa tante, mûrit au contact des personnes qui croisent son chemin, et découvre les différents modes de vie européens. Il ne s’agit pas d’un voyage paisible, mais d’un véritable marathon qui nous emporte dans sept pays en l’espace de trois semaines. Ne dit-on pas que « les voyages forment la jeunesse » ? Ce proverbe prend ici toute sa mesure. Un bon livre accroche. Emmanuelle Jair

Il y a environ douze ans, on découvrait le premier tome de la saga "Hantée" de Maureen Johnson : l'histoire d'une adolescente capable de voir les esprits après avoir elle-même survécu à la mort. Devenue l'objet d'un enjeu mortel quand survenait une série de crimes copiant ceux de Jack l'éventreur dans le Whitechapel d'aujourd'hui, la jeune fille rejoignait un groupe d'individus au pouvoir similaire, chargés de faire disparaître les âmes errantes qui hantent encore la ville. Le second tome, sorti un an plus tard, avait ouvert un nouvel axe dramatique extrêmement prometteur, mais avait aussi laissé les lecteurs sur un terrible cliffhanger. Alors que l'éditeur français avait annoncé la publication du troisième opus en 2015 et que même les visuels avaient été dévoilés, "Le cabinet des ténèbres" n'était finalement jamais paru dans l'Hexagone. Après plus de dix ans à patienter, n'y tenant plus, nous avons finalement lu le dernier opus en version originale.



C'est avec un plaisir redoublé par l'attente que nous avons retrouvé l'univers imaginé par Maureen Johnson. L'intrigue de ce troisième opus reprend là où s'était terminé le tome 2, dans la chambre d'hôpital où Stephen vient de rendre son dernier souffle. Le lecteur, le cœur aussi déchiré que les protagonistes qui pleurent la mort de leur ami, embrasse pleinement leur quête de retrouver quelque part le spectre du jeune homme, que l'autrice a réussi à rendre furieusement attachant en dépit de sa froideur et de sa discrétion. Partant de là, "The Shadow Cabinet" aurait pu n'être que la recherche d'un fantôme et, on l’espérait tous secrètement, la découverte d'une solution pour inverser le cours des choses. Fort heureusement, Maureen Johnson nous offre bien plus que ça...



Entremêlant les intrigues et invitant de nouveaux personnages, elle explore tout à la fois la personnalité de Stephen, le passé de Jane et, surtout, les mystères que Londres cache depuis plusieurs décennies (siècles?) dans ses entrailles et qui expliquent qu'autant d'âmes hantent les rues. Plusieurs éléments du premier tome face auxquels on était alors resté quelque peu perplexe trouvent ici leur explication, comme autant de fils amenés à se dérouler jusqu'au troisième opus pour y dévoiler tous les secrets de la saga. Pour cela, l'autrice s'appuie sur des faits réels liés à l'Histoire de Londres, de sa monarchie à sa construction en passant par l'existence supposée d'un cabinet fantôme chargé d'une bien curieuse mission.



On découvre ainsi l'origine des Terminus, ces diamants nécessaires à la brigade pour détruire les âmes errantes, mais aussi de façon plus générale le rôle des pierres (précieuses ou non) dans la mythologie pensée par Maureen Johnson. L'écrivaine puise dans l'origine des joyaux de la couronne et l'histoire de la Pierre d'Oswald – monolithe aujourd'hui mystérieusement disparu qui aurait donné son nom à l'ancienne subdivision londonienne d'Ossuslstone (lieu des exécutions publiques jusqu'à la fin du XVIIIème siècle, donc particulièrement hanté) – les anecdotes historiques qu'elle se réapproprie et qu'elle romance de manière très pertinente au profit de son scénario.



L'autrice, que l'on sent plus encore que dans les deux précédents opus amoureuse de ses décors, nous emmène d'un lieu à l'autre du Londres ancien et moderne. Des allées hantées du cimetière de Highgate aux tunnels du métro en passant par l’iconique Marble Arch, on se perd avec délice dans cette cité de pierre et de fer au charme aussi magique qu'effrayant. Outre ce qui semble être une véritable déclaration d'amour à la capitale britannique, Maureen Johnson offre à ses lecteurs des scènes d'anthologie qui marqueront longtemps les amoureux de Rory et de la Brigade des Ombres. Parmi celles-ci, plusieurs chapitres dans des sortes de limbes, monde intermédiaire entre les vivants et les morts qui ressemble à s'y méprendre à un Londres désert à géographie variable.



Fidèlement aux événements tragiques survenus à la fin de "Un monde souterrain", "The Shadow Cabinet" est plus sombre que les deux opus précédents. Rory amène toujours la touche d'humour caractéristique de son personnage, mais la légèreté est ici plus diluée, les événements apportant une gravité et une mélancolie qui confèrent une intensité nouvelle à la saga. La psychologie des personnages évolue de concert et on est fasciné autant qu'on frissonne face à Sid et Saddie, nouveaux antagonistes rescapés des excessives seventies. Le final nous laisse cependant dans l'expectative. La saga est-elle vraiment terminée ? Le dénouement, ouvert, tend à suggérer une suite qui se fait désespérément attendre, l'autrice ayant parlé d'un quatrième opus pour la dernière fois sur les réseaux en 2018... On referme en tout cas ce livre à regret, attaché plus encore (si c'est possible) aux personnages et à l'univers dans sa globalité...



En bref : Troisième opus de la saga "Hantée" resté malheureusement inédit en France, "The Shadow Cabinet" finit d'élargir la mythologie instaurée depuis le premier opus. De nombreux éléments trouvent ici leur explication et montrent que Maureen Johnson avait pensé la logique de son cycle depuis le début. L'autrice utilise à très bon escient l'Histoire de Londres pour étayer son univers, un univers qu'on quitte à regret une fois la lecture terminée.


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Un livre qui ne vous expliquera pas comment Cruella est née mais comment Estrella a grandi et évolué dans ce Londres des années Swinging London.

L’histoire en elle-même s'insère parfaitement dans le film de Disney. On revit l’épisode où elle se fait virer de son école, le départ avec sa mère pour Londres et l’épisode du manoir jusqu’à l’arrivée à la fontaine où elle sera recueillie par Jasper et Horace. La suite suit un cours assez logique pour une gamine de son âge vivant dans le Londres de cette époque.

Le texte est très simple à lire même si le vocabulaire est assez riche. Les tournures de phrases sont assez simples laissant vraiment place au plaisir de la lecture d’un récit assez rythmé.

Dans l’ensemble, les personnages de ce roman sont assez bien travaillés. On perçoit très vite leur physique mais également leur personnalité. Le personnage d’Estrella est assez vite attachant même si son caractère à tendance à refroidir quelques fois. Je n’ai pas trop eu d’accroche pour les autres personnages malheureusement mais ce n’est surement pas parce qu’ils manquaient de charisme.

J’ai véritablement apprécié cette lecture et je songe sérieusement lire un autre livre de cette autrice lorsque l’occasion se présentera.

Alors que sa tante vient de mourir, Ginny reçoit un étrange paquet de cette dernière. Elle doit suivre l'itinéraire en Europe que cette dernière a réalisé avant sa mort. A chaque étape, elle devra relever un défi et pourra ouvrir une enveloppe qui lui en apprendra plus sur sa tante. Pour la jeune fille timide et sérieuse qu'est Ginny cette aventure est un vrai défi. Ce roman est une quête initiatique pour une jeune-fille qui va découvrir l'amour, se découvrir elle-même et faire peu à peu son deuil.

Un petit roman, fort sympathique, divisé en trois histoires qui se rejoignent en un point : un train retardé, une petite ville nommée Gracetown et un restaurant peuplé de gens de tous bords.

Comme toujours, ce livre soulève une certaine morale. Respect de soi, des autres, savoir entendre les critiques, avoir confiance, savoir pardonner… tout pleins de sentiments et d’émotions qu’il faut écouter.



La première histoire, le “Jubilé Express”, narrée par Maureen J., nous parle de Jubilé, qui doit malheureusement rejoindre ses grands-parents à quelques heures du réveillon de Noël.

Comme pleins d’autres, Jubilé marque un arrêt non-désiré à Gracetown, petite ville perdue sous la neige, où elle y rencontre Stuart.

Au-delà d’une histoire amicale et amoureuse, Maureen Johnson nous transmet le respect que l’on doit avoir pour soi-même. Jubilé est en couple avec un garçon qui ne la respecte pas, ce qu’elle comprend grâce à Stuart. J’ai ri, principalement, de ces quelques heures qu’ils ont passé ensemble.



La seconde histoire est celle de trois meilleurs amis, Tobin, JP et le Duc.

Comparables aux rois mages, ces trois amis essaient tant bien que mal de rejoindre le restaurant où les passagers du train se sont réfugiés.

Malheureusement, en route, ils ont accident et doivent finir le trajet à pied.

La version signée John Green m’a bien fait rire ; les trois amis sont très attachés les uns aux autres et se soutiennent avec sincérité.

Tout comme la première, cette deuxième histoire soulève la question du respect envers les autres.

Les clichés sur les pom-pom girls et les garçons sont assez présents et nous font rendre compte que nous jugeons souvent sans savoir.



Enfin, la dernière est centrée sur Addie, qui se rend tristement compte qu’elle est égocentrique, qu’elle n’a que des psychodrames et qu’elle a le cœur brisé, par sa propre faute.

Ses deux amies parviennent néanmoins à la réconforter et tout fini par rentrer dans l’ordre.



Si vous aimez les récits romantiques sur fond de bataille de neige, plongez dans les rues de Gracetown et assistez des miracles de Noel.

Ptdr vous pensez qu'avec cette fin je vais pouvoir respirer ?

Vraiment je suis fan de Nate. Janelle dans mon coeur. Stevie reste number one mais stevie faut arrêter de déterrer des corps ma puce et respirer car ta santé mentale elle est mise à rude épreuve.

Ok, je ne m'en remet pas. J'aime Stevie de tout coeur. J'ai aimé ma lecture, peut etre un peu déçu à certaines réponses mais bon j'ai passé un bon moments l'univers va me manquer



Rep : on a un Ps (très secondaire) non binaire, un couple sapphique secondaire aussi mais c'est deja ça

❄️ Flocon d’amour ❤️



✒️ Mon avis :



Le dernier livre de Noël de cette année, et malheureusement, ce n’est celui qui m’a le plus transcendé, j’ai eu du mal à accrocher. Il reste distrayant, quoiqu’un peu ennuyant.



Dans ce roman qui se découpe en trois histoires distinctes et pourtant liée, nous suivons trois protagonistes qui vont partager le réveillon le plus insolite de leur vie.



Le 24 décembre, dans une bourgade perdue au milieu de nulle part, les événements s’enchaînent. Une terrible tempête, un train bloqué dans la neige, des routes enneigées et des flocons qui ne cessent de tomber.



C’est alors que des rencontres inattendues se multiplient dans cette petite ville. Les couples se défont et se refondent. Louvoyant entre les flocons, les flèches de Cupidon qui pleuvent sur la ville ne laisseront personne de glaces !



Nuit des miracles ? Ou des catastrophes ?



Ces trois intrigues sympathiques, drôles et sans prise de tête m’ont transportées dans une ambiance enneigée qui sied à merveille en ces fêtes de fin d’année. J’ai aimé la façon dont se découpe le livre, et dont chaque partie se regroupe à la fin.



Je n’ai pourtant pas totalement accroché, tout était prévisible, la simplicité des récits et des intrigues m’ont ennuyées. Rien de transcendant.



En ce qui concerne les personnages, la longueur des recueils ne me permettait pas de m’y attacher complétement. J’ai tout de même beaucoup ri avec Monsieur Alu, un habitant hors du commun.



Si je devais choisir une seule histoire, je choisirais sans aucun doute, la première, celle de Jubilé que j’ai adoré. Après un enchaînement de complications, se retrouvant bloqué dans une petite ville, elle fait une rencontre qui remet en question ses choix et sa situation. La plume de l’autrice nous révèle une profonde histoire aussi rafraîchissante qu’amusante.



Malgré les défauts, je ne regrette pas ma lecture. Trois romances drôles, touchantes, qui s’enchevêtrent dans la magie de noël. Face au mauvais temps de l'hiver que vous dépeignent ces histoires, blottissez-vous dans votre plaid avec un chocolat chaud et préparez-vous au voyage.

Si tu aimes le froid, la neige et les tempêtes. Ce livre est fait pour toi!

Ce livre comporte trois histoires( par trois auteurs différents ) pour ne faire plus qu'un.

Une écriture à six mains... Le roman est donc raconté par divers points de vues en fonctions des personnages.



C'est une belle histoire mais qui n'en fera pas le roman de l'année

Je n’ai malheureusement pas aimé ce livre. Je n’ai pas réussi à le finir; j’ai abandonné au milieu de mes 3eme histoire.

J’ai trouvé la première trop enfantine surtout a cause de la mère de Stuart.

J’ai trouvé ma deuxième histoire tout simple nulle du fait qu’elle soit remplie de clichés inutiles à l’histoire.

Et je n’ai malheureusement pas accroché à la 3eme histoire car le personnage d’Addie m’a tout simplement énervée a cause de sa superficialité.

En revanche je peux comprendre que ce types d’ouvrage puissent plaire à certaines personnes, mais malheureusement je n’en fais pas partie.

Trois auteur.e.s trois histoires qui s'entremêlent parfaitement



On se retrouve donc pour parler de ce roman à trois voix, trois histoires différentes, mais qui se rejoignent sur certains points. Comme la rencontre d'un homme papier-alu par exemple.



Les personnages sont jeunes, les intentions sont assez innocentes. On a un texte jeunesse qui aborde l'amour et le chagrin d'amour sous des tonnes de neiges.



J'ai bien aimé, surtout la première partie. C'est assez mièvre sur certains points. Mais c'est une belle petite lecture pour une semaine de Noël.



Je suis absolument conquise par l'ambiance qu'ont réussis à créer les auteur.e.s. C'est assez formidable de se sentir soi-même enliser dans une tempête de neige alors que tu es au chaud sous les plaids

Prenez une bourgade américaine, un 24 décembre, bloquée sous une tempête de neige et saupoudrez-la d’adolescents à la répartie cinglante et à l’humour décalé. Trois histoires dans une même ville, trois points de vue, trois écritures. Un roman de Noël savoureux, parfait pour la saison, qui se dévore avec gourmandise.

~ Les aventures de Ginny sont prenantes. Je n’ai pas tellement aimé l’écriture, mais l’idée est particulièrement intéressante. On a parfois du mal à rester dans l’époque de l'histoire, pas si lointaine mais beaucoup moins fournie en technologies. Combien de fois me suis-je dit « mais prends ton téléphone ! ». Comme quoi nous sommes réellement formatés, mais bon il faut vivre avec son temps…



~ Suivre Ginny dans sa quête c’est comme redécouvrir un monde dans lequel nous avons vécu sans nous en rendre compte. Et quel plaisir de découvrir les villes d’Europe, l’art, la création dans une optique plus ou moins distante de la réalisation artistique elle-même.

La timidité du personnage est tellement réaliste que parfois je me voyais à travers les lignes! Pourtant rien ne l’empêche d’achever les demandes saugrenues de sa tante Peg.



~ Quoi qu’il en soit, en refermant le livre j’avais juste envie de prendre mon sac à dos et de partir à travers l’Europe. C’est marrant car parfois les lettres de tante Peg mènent à des symboles qui caractérisent certaines capitales quand d’autre nous en font découvrir des aspects cachés. L’art est approché à travers le regard mi innocent, mi initié de Ginny et sa signification majoritaire ici est la création liée aux épreuves de la vie et les liens affectifs.



~ Je garde un très bon souvenir de ce roman et ai hâte de découvrir la suite !