Dans toute famille d'immigrants, semble-t-il, il y a quelqu'un qui se sent étranger dans le nouveau pays où ils se sont installés. C'est ressenti comme un exil permanent par le frère ou l'épouse qui n'acceptent qu'en silence leur sort à Boston, Londres ou Melbourne. J'en ai rencontré beaucoup qui demeuraient hantés par le fantôme persistant d'un endroit précédent.