Michel Bernard est un journaliste et militant écologiste.
Il est le cofondateur de la Maison de l’Écologie de Lyon (1982), de la revue "S!lence" (1982), du parti politique Les Verts (1984), du salon Primevère (1986), des Européens contre Superphénix (1987), du Réseau Sortir du nucléaire (1997), du CNIID, Centre national pour une information indépendante sur les déchets (1998).
Il a notamment organisé et participé :
- à une marche de trois semaines entre Superphénix (Isère) et Paris en 1982 ;
- à une marche de cinq semaines entre Superphénix et Strasbourg puis Paris en 1994;
- à un jeûne de longue durée en 2004, jeûne de 36 jours à Paris avec Dominique Masset et André Larivière, pour demander un "véritable débat démocratique" sur le nucléaire et l'abandon du projet de troisième génération EPR.
Il a coordonné la publication de plusieurs ouvrages collectifs :
- "L'Aberration" (1984): faux numéro de Libération sur les liens nucléaires civil et militaire.
- "Paris-Dakar, pas d'accord" (1988)
- "Les énergies renouvelables" (1991)
- "Les métiers de l'écologie" (1993)
- "SEL : pour changer, échangeons" (1998)
- "L'écologisme à l'aube du 21e siècle" (1999)
- "Objectif décroissance, vers une société harmonieuse" (2003).
Il a préfacé et traduit de l’anglais (Inde) l'ouvrage de Mansoor Khan - "La voie de la sobriété" (2022).
Une bonne illustration est la ville riche peu polluée grâce à l'utilisation de la voiture électrique. La richesse aura permis de réduire la pollution atmosphérique locale mais certainement pas la pollution ou autre effets au niveau global.