Mo Hayder

Après un début plutôt lent et un peu confus, l'intrigue se révèle enfin quand on comprend ( ou croit comprendre) qui est le meurtrier. Les rebondissements s'enchaînent et on continue de lire pour connaître la fin. Ce qui est intéressant dans ce thriller noir ( parfois très noir !), c'est le personnage principal, le ténébreux Jack, qui est lui-même au centre d'une enquête concernant la disparition de son frère.

Un excellent polar, où le suspense est présent à chaque page. Une écriture efficace, des rebondissements et une plongée dans l'horreur et l'effroi notamment sur les cent dernières pages où le stress monte de plus en plus.



J'ai vraiment adoré (et tremblé, je n'étais pas fière d'être toute seule à la maison le soir en le lisant...). Par contre maintenant je ne laisse plus mes enfants dans la voiture seuls, même le temps de charger les courses !

Sur un parking de supermarché, une femme range ses courses dans le coffre de sa voiture. Elle est soudain jetée au sol par un individu qui lui vole sa voiture. Délit banal, à ceci près qu'à l'intérieur de la voiture se trouve une petite fille. Tous les enquêteurs sont sur les dents, pensant que la fillette va être rapidement relâchée. Mais ce n'est pas le cas et peu après, une deuxième petite fille est enlevée de la même manière. Le nouveau commissaire Caffery et le sergent Flea Marley vont devoir enquêter, et rapidement s'ils veulent avoir une chance de retrouver les fillettes vivantes.



Une nouvelle enquête du duo Caffery/Marley, pleine d'adrénaline et beaucoup plus intéressante que Rituel ! Globalement l'histoire est prenante, l'intrigue se tient vraiment bien, et on suit avidement les enquêteurs. J'ai plus apprécié Flea et notamment sur la culpabilité qu'elle ressent, même s'il aurait mieux fallu lire Skin avant. Caffery est égal à lui-même et Wellard, un collègue de Flea est très agréable à suivre comme personnage. J'ai quand même trouvé que parfois c'était assez brouillon, notamment au niveau des descriptions, et que les transitions sont parfois bizarres. Proies est un bon thriller avec une fin, très intense, qui m'a scotchée, mais je crois que le style de Mo Hayder n'est pas celui que je préfère.
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Qu'il a perdu en intensité, le style de Mo Hayder ! J'ai encore des souvenirs de « Tokyo » (2005) et de l'excellent « Pig island » (2007) dont l'écriture m'a bousculée par son originalité et son caractère cru. Un style brutal, violent, qui déstabilisait agréablement le lecteur. Un style qui s'est affadi au fil des années (« Les lames », notamment, m'avait beaucoup déçue) jusqu'à donner un thriller relativement convenu tel que « Viscères ».

Tout commence plutôt bien pourtant : une propriété isolée en guise de décor, un meurtre sanglant en fond d'intrigue, des personnages qui ne sont pas ce qu'ils semblent être... Une certaine tension s'installe et puis le rythme s'étiole. On attend que l'auteur nourrisse un peu la curiosité qu'elle a suscitée, mais... rien. A mi-parcours surgit un retournement de situation, mais trop tard, on a décroché. L'attention m'est revenue sur la fin, sans pour autant me captiver. Le commissaire Caffery tourne en boucle sur ses vieux démons depuis ses premières enquêtes, le personnage du Marcheur vagabond finit aussi par lasser avec son attitude étrange.

Un roman décevant au regard du talent de son auteur !

Un polar sombre et efficace, Fétiches de Mo Hayder, aux Presses de la Cité et Pocket.

Le pitch: Tandis que le commissaire Jack Caffery ne parvient pas à clôturer une affaire, faute de pouvoir dévoiler toute la vérité et alors même qu'il sait parfaitement ou se trouve le corps, l'atmosphère est tendue à l'hôpital psychiatrique haute sécurité de Beechway. En effet, on raconte que "La Maude", fantôme d'une cruelle infirmière naine, serait revenue. Alors que l'infirmier en chef AJ se voit de plus en plus contraint de remplacer ses collègues pour assurer les gardes de nuit, celui-ci, ainsi que Mélanie Arrow, la directrice de l'établissement avec qui il a une idylle, commencent à douter. Mais lorsque des malades en viennent à s'automutiler et même à mourir dans des circonstances suspectes, AJ, plus cartésien et soupçonnant Isaac Handel, l'un des patients qui vient juste d'être libéré, décide d'alerter Jack Caffery afin de mettre un terme à ces atrocités et à l'hystérie collective qui s'empare de l'établissement.

Ayant succombé à la curiosité de découvrir l'univers de Mo Hayder, j'ai finalement jeté mon dévolu sur Fétiches et sa couverture particulièrement alléchante. Thriller efficace à l'intrigue bien ficelée, je n'ai pas eu le grand frisson escompté mais ai malgré tout passé un excellent moment de lecture, plongé dans cet univers lugubre et inquiétant. Le démarrage est certes un peu lent, mais permet d'installer cette ambiance vraiment glauque et étouffante au sein de cet asile remplis de patients dangereux et pourtant terrorisés. Bien que le dénouement soit évident, l'auteur respecte les règles classiques du polar et maintient brillamment le suspens.

En bref, un polar sombre et brillant.

Un peu déçue de ce livre. J'en avais entendu tellement de bien que j'en attendais sans doute plus. Le début et la fin ça allait. C'est le milieu qui m'a posé problème. Il n'y a avait pas assez de suspense... J'ai eu du mal à continuer à le lire. L'auteure ne m' a pas assez tenue en haleine. un peu trop long sans doute pour moi.

Sinon l'histoire est bien, une fois la lecture terminée. J'ai bien aimé ce découpage avec le retour sur l'invasion de la Chine par les Japonais en 1937. Cela fait 2 histoires à suivre. C'est un peu morbide, un peu glauque certaines fois mais ce n'est pas déplaisant.

J'essayerais quand même de lire un autre roman de Mo Hayder pour ne pas rester sur une mauvaise impression.

Cette 3ème aventure de l'inspecteur Caffery m'a beaucoup déçue. Oui, j'aime bien les personnages à qui l'auteur donne une certaine profondeur, mais j'ai assez entendu parler de la torture intérieure du policier concernant la disparition de son jeune frère.

Je ne connaissais pas Mo Hayder, mais j'en avais longtemps entendu parlé. Alors par curiosité, j'ai acheté le premier livre qui m'est tombé sous la main : Fétiches.

J'ai été absorbée par l'histoire, j'en ai frissonné, je me suis senti mal, heureuse, triste, perplexe, excité, en colère. C'est la première fois qu'un livre me rend si vivante et c'est sans compter sur l'intrigue.



Je me suis demandé où tout cela nous mènerait-il, et je suis tombée des nues. Heureuse d'en finir tant j'étais mal à l'aise de ne pas savoir !

Merci Mo pour cette chouette lecture !

Toujours autant de plaisir à lire Mo Hayder. J'ai découvert un thriller psychologique que j'ai eu de la peine à ne pas lire d'une traite. La révélation finale sur le sort d'Ewan a été une surprise totale.

Par contre seul bémol pour moi j'ai trouvé bien avant le dénouement l'identité des coupables ce qui est nouveau chez Mo Hayder

Un roman où l'on retrouve l'inspecteur Jack Caffery, découvert dans "Birdman". Mo Hayder fait à nouveau la preuve de son immense talent pour mener des intrigues et nous manipuler. Un roman noir et intriguant.

Nouvelle enquête pour Flea et Caffery sur des enlèvements de fillettes très étranges. Mieux que les précédentes à mon goût car on n'y retrouve pas l'influence du vaudou.

Je ne suis vraiment pas thriller. Pourtant, Mo Hayder a su me captiver une nuit entiere avec Tokyo. C’est donc sans hesiter que j’ai acheté Visceres. Malheureusement pour moi, je me suis ennuyé et n’ai pas retrouvé l’auteure qui avait reussi a me faire apprecier le genre. Je testerai un autre roman pour savoir lequel tenait de l’accident ‘Tokyo’ ou ‘Visceres’. J'ai vraiment ete frustré par cette lecture.

Apres deux enquetes de Jack Caffery centrées sur le personnage de Flea, on en revient au drame vécu par le heros petit garçon. Contre la promesse de connaitre enfin la vérité au sujet du kidnapping de son petit frère, Jack s'engage à rendre une petite chienne à ses propriétaires. Mais cette petite chienne n'est pas n'importe qui, elle appartient à une famille qui a vécu un drame atroce il y a 15 ans et qui va revivre des journées difficiles qui les conduiront à envoyer Ours chercher du secours au dehors. Thriller implacable, je défie quiconque de comprendre quoi que ce soit avant le dénouement pour le moins invraissemblable et en même temps implacable. Excellent, plus apre, et avec des personnages superbement dessinés. Ne pas oublier les dernières lignes, y aura t'il un huitième tome?

On ne retrouve pas l'univers glauque et sanglant qui avait tant fasciné le lecteur et fait le succès des deux premiers tomes des enquêtes de Jack Caffery ! L'enquête piétine infiniment avant de trouver un dénouement très imprévisible et l'auteure s'attarde davantage sur les problèmes personnels qui hantent ses deux principaux personnages. Une chasse aux démons sans grand intérêt, qui casse le rythme et égare le lecteur... C'est dommage car ce polar ultra-noir imprégné de magie noire et de superstitions africaine avait tout pour séduire les fans de la première heure...



Pour son grand retour, le héros de Birdman méritait une plongée en eaux troubles bien plus haletante ! Rituel est un polar décevant et très alambiqué, qui montre une Mo Hayder en petite forme. On s'attendait à bien mieux de la part de l'enfant terrible du polar anglais !
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J'aime Mo Hayder . Je l'ai découverte pour la première fois avec "L'homme du soir " et ce fut un coup de foudre ! Tant de macabre , d'angoisse , de violence cet auteur devait être un homme formidable ..... et là surprise Mo Hayder est une femme , blonde et fragile que je n'aurais jamais imaginé écrire de telles horreurs! mais elle le fait très très bien.



D'elle j'ai lu : Rituel, Skin , Les lames , Proies et Tokyo sublimissime ! Tous sont bons certains sont excellents , c'est donc avec confiance que j'ai pris "Fétiches" à la bibliothèque .



On retrouve Jack Caffery et Fléa Marley , deux enquêteurs récurrents chez Hayder .En vrais personnages de polars , ils cachent chacun leurs félures dans le travail et le célibat .



Cette fois-ci l'intrigue se passe en lien avec un hôpital psychiatrique , où les malades meurent de façons étranges et violentes au cours de panne d'électricité et avec la présence de "La Maud " , le fantôme d'une infirmière psy.....



A.J. l'infirmier psychiatrique en chef demande de l'aide à Caffery car il est inquiet tant pour ses patients que pour la directrice de l'hôpital . Caffery jongle entre cette enquête et la suite de l'affaire précédente
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C'est le premier roman de Mo Hayder que j'ai lu et il faut dire que j'ai adoré l'ambiance de ce livre. Secte isolée sur une île qui donne la chair de poule. Le diable qui rode. Des cochons qui mangent tout ce qu'ils trouvent (je vous laisse deviner de quoi je parle). Un enquêteur qui vous entraine dans ces réflexions. J'ai même adoré la fin que je n'avais pas devinée.

C'était vraiment un très bon moment. Je l'ai donc conseillé à ma cousine qui a 18 ans, qui adore lire, mais ne m'en a pas fait le retour que je souhaitais. Elle m'a dit qu'il y a trop d'incohérences et des sujets non élucidés. Ce n'est pas le souvenir que j'en ai.

J'ai trouvé au contraire que le sujet de ce livre changeait et que j'en avait jamais lu avant qui le traiter et que c'était vraiment une réussite.
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Le commissaire Jack Caffery se trouve chargé d'une enquête complexe concernant des enlèvements d'enfants . Le commissaire , qui n'a jamais oublié l'enlèvement de son frère , est particulièrement sensible à la détresse des familles . Le sergent Flea Marley est , elle aussi de la partie , elle doit convaincre que son unité est compétente malgré une mauvaise passe qui dure depuis six mois . Flea qui a couvert son frère , s'est retrouvée impliquée dans une sale histoire et elle a délaissée la direction de son unité . Elle doit de plus se confronter à la froideur de Cafferty alors qu'elle avait espérer le début d'une histoire .



Le kidnappeur est brillant et traine l'équipe de piste en piste en ayant toujours une longueur d'avance. Il va falloir beaucoup d'énergie et d'intelligence à Caffery et à Flea pour le démasquer . Le temps est compté car chacun sait que le temps est un élément essentiel pour retrouver les enfants vivants .....


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Comme j'ai aimé Mo Hayder. Comme je l'ai portée aux nues après son merveilleux « Tokyo ». Et comme j'ai chuté de haut après le déjà oublié « Fétiches », indigne pour moi de cette excellente auteure capable du pire comme du meilleur.

La curiosité de découvrir son dernier opus était à la hauteur de ma précédente déception et c'est d'une plume clinique, une fois n'est pas coutume, que je rédige mon billet.

Un titre peu engageant, voire racoleur, choisi par l'éditeur. Pourquoi ce choix  alors que le titre originale : Wolf, aurait tout à fait convenu à un public francophone ? Une couverture bien moins sombre que la version anglophone remplacée par ce lombric accroché à son hameçon qui, même s'il suggère subtilement le rapport à l'histoire , me semble bien moins vendeur. Constat marketing qui, somme toute, à son importance, mais qui ne fait pas, non plus, oublier l'essentiel...

Et l'essentiel le voilà car 0 joie, O espoir, O romancière amie : Mo Hayder a recouvré son talent et son imagination, Mo Hayder est revenue aux origines de sa plume acérée et livre un huis clos pesant et angoissant.

Le rythme lent, qui est habituel chez Mo Hayder, en lassera certains mais cette nonchalance est parsemée de parts sombres, très angoissantes, qui ne sont pas sans rappeler le film « Funny games » ( un vrai moment de frayeur). Le talent de Mo Hayder réside, en partie, dans cette façon qu'elle a de jouer avec la psychologie de ses personnages comme une petite fille avec ses poupées. Elle emmène son lecteur dans une direction pour mieux renverser ses certitudes, parsemant son chemin de subtils indices, de petit cailloux blancs qui amènent vers une conclusion aussi étonnante qu'évidente.

Là où je trouvais l'évolution de Jack Caffery ennuyeuse et redondante dans « Fétiches », c'est par petites touches qu'elle est ajoutée au tableau pour passer presque en second plan tout en restant essentielle, guidant même le pinceau de l'intrigue sans en prendre la place. Un paradoxe étonnant pour un style maîtrisé.

Mo Hayder is back, elle est en forme et j'aime ça.

Merci à Babelio et aux Presses de la Cité
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Mo Hayder est énorme ! Avec cette histoire de serial killer, je me suis posé les questions récurrentes : Qui est ce tueur ? Quel est le mobile de ses meurtres? Comment choisit-il ses victimes ? Et surtout pourquoi glisse-t-il un oisillon dans le torse de ses victimes ?

La peur au ventre …

Voilà longtemps qu’on n’avait ouvert un livre de Mo Hayder , depuis le terrible et envoûtant Tokyo je crois.

Mo Hayder qui est réputée pour ses polars ou thrillers sacrément horrifiques.

Alors avec un titre pareil : Viscères (paru dans la collection Sang d’encre !), mieux vaut s’armer de courage et vérifier qu’on a les volets bien clos, la porte fermée à double tour et l’estomac bien accroché.

Et ça commence évidemment très fort lorsque Matilda et Oliver Anchor-Ferrers découvrent des entrailles suspendues à un buisson de leur délicieux jardin du Somerset.



[…] Nous espérions que ça provenait d’un animal, dit-elle.

- Vous pensez que c’est possible ? demande Oliver aux policiers avec une pointe d’espoir dans la voix. Un cerf, peut-être ?

- Un cerf ? J’en doute, répond l’inspecteur Honey à voix basse.

- Il y a dans le coin des chiens assez costauds pour faire ça à un cerf, argüe Oliver.

- Et accrocher leurs entrailles dans les arbres ?



De quoi remuer nos tripes et de vieilles affaires : il y a quinze ans, Kable, un déséquilibré, trucidait salement deux jeunes gens dans cette même région paisible du Somerset.



[…] Kable a signé son acte en vidant les deux victimes de leurs entrailles. Il a tressé leurs intestins ensemble et les accrochés aux arbres au-dessus des cadavres en leur donnant la forme d’un cœur. Exactement comme ceux découverts aujourd’hui.



Mais l’inspecteur Honey et son acolyte ne semblent pas tout à fait cleans. Le week-end à la campagne de la bourgeoise famille Anchor-Ferrers va bien vite tourner au cauchemar et cette première partie du bouquin lorgne même du côté de Funny Games … sans être vraiment convaincante.

Il faudra attendre l’entrée en scène de l’inspecteur fétiche de Mo Hayder, l’inspecteur Jack Caffery qui erre comme une âme en peine sans avoir jamais pu découvrir ce qu’est réellement devenu son jeune frère victime des pédophiles, il y a déjà de longues années.

L’entrée en scène de Caffery et de sa mystérieuse âme damnée : le Marcheur.

Toute cette entrée en matière est un peu laborieuse et franchement capilotractée jusqu’à ce que ces deux-là croisent (enfin !) le chien égaré des Anchor-Ferrers …

Comme si l’auteure avait eu plusieurs pièces de puzzle à assembler, pas tout à fait assorties.

Et alors, l’affreux Kable est-il vraiment sorti de prison ?

On est d’autant plus stressé par la construction du bouquin qui alterne, de façon assez classique, les chapitres entre au moins deux histoires parallèles : chacun de ces chapitres se clôt sur une petite virevolte, une question, un revirement, une angoisse … et hop, on repasse sur l’autre histoire et il faudra donc attendre quelques pages avant de tranquilliser notre esprit en alerte, de rassurer notre inquiétude en suspens, mais l’autre histoire aura ouvert de nouvelles questions, et … épuisant !

Mais peu à peu, le bouquin s’avère finalement moins gore qu’annoncé par la une de couverture (et la lecture n’en est que plus confortable).

Après quelques chapitres, on en vient même à se dire que, mis à part ces entrailles de cerf (de cerf ?) qui pendouillent ici ou là, on en vient même à se dire que Kable est toujours en taule, que le titre de la VF et les boyaux dans les arbres n’étaient peut-être finalement qu’un leurre : d’ailleurs le titre en VO c’est Wolf …

Oui, cette histoire de boyaux n’était peut-être qu’un leurre.

Peut-être.

Mais, ne serait-on pas en train de se rassurer à bon compte ? d’oublier trop rapidement l’esprit retors de Mo Hayder ? de croire trop facilement que la dame va manquer ainsi à sa réputation ?

Le château de cartes patiemment assemblé va bien évidemment s’écrouler et chacune de ces cartes va s’abattre mais pas du côté attendu : une série de surprises nous attend !

Réservé à celles et ceux qui aiment se faire emberlificoter et qui aiment les histoires (un peu trop) abracadabrantes.



Ce bouquin nous a été offert par Babelio et les Presses de la Cité dans le cadre de l’opération Masse Critique.
Lien : http://bmr-mam.blogspot.fr/