Nous nous devons d'endurer les duretés de l'existence. De les embrasser, même. [...] C'est cela. Il nous faut embrasser la tristesse, la colère, la douleur ou alors les repousser complètement, les faire disparaître à tout jamais, sous peine de les voir prendre le pas sur tout le reste. Toutefois, croyez-moi, mon petit, quand nous vivons avec, cela finit par devenir une partie de nous-mêmes. (p19)