Les réformes qu'il a mises en œuvre continuent à tisser notre vie quotidienne. Et pas seulement en raison des écoles qu'il a rendu gratuites, obligatoires et laïques, et auxquelles on pense toujours quand on l'évoque. Car nous achetons au kiosque le journal de notre choix, sans crainte de la censure et sans restriction aucune, et nous avons oublié son rôle dans l'acquisition de cette liberté fondamentale. S'il nous est permis de nous réunir librement et , pour défendre nos intérêts légitimes, de rejoindre un syndicat, nous le lui devons aussi.