Pourtant ce qui se passe dans ce pays depuis trois ans aurait dû te guérir de la comédie. Il y a tant de sang, tant de souffrance, tant de morts. Mais non. Le sang tu crois que c’est de la teinture ; les morts étalé par dizaines dans ton journal chaque matin tu attend qu’ils se lèvent après la représentation, et pour un peu tu irais les féliciter après la pièce dans les coulisses…