Notre foi peut en effet, sans se débarasser de sa particularité, sans cesser d'être elle-même, prendre quelques teintes chinoises. Frère Mahdad, à toi, homme de langues et de lettres, d'essayer de donner un nom chinois à notre sainte religion. Tu sais mieux que moi que les termes de dyophysites, monophysites, catholiques et chrétiens n'ont ici aucun sens. On nous accusera de diffuser une littérature pernicieuse, car incompréhensible.