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3.59/5 (sur 327 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Greensboro, Alabama , 1939
Mort(e) à : New-York , 2017
Biographie :

Ned Crabb est un journaliste et un écrivain américain de roman policier.

Il fait ses études à l'université de Miami. Il y obtient une licence d'histoire et devient journaliste, d'abord au Miami Herald et au The Miami News, puis au New York Daily News et au Wall Street Journal à New York.

Durant 32 ans, Ned Crabb a été rédacteur en chef, journaliste et illustrateur pour le Wall Street Journal, auquel il collabore toujours occasionnellement.

En 1978, il fait paraître "La bouffe est chouette à Fatchakulla" (Ralph or What's Eating the Folks in Fatchakulla County), qui raconte l'enquête délirante et farcie d'humour noir d'un shérif de Floride du comté fictif de Fatchakulla qui tente de démasquer un tueur en série qui lacère et déchiquette ses victimes.

En 1993, il est finaliste pour l'American Society of Newspaper Editors Award.

Ce n’est qu’en 2014 qu’il publie son second roman policier : "Meurtres à Willow Pond" (Lightning Strikes), qui se passe cette fois au bord des lacs du Maine, dans le milieu des guides de pêche et de leurs clients.

Ned Crabb et sa femme, Elizabeth Kay Spencer Crabb, ont deux filles et vivent dans la ville de New York. La famille passe la plupart de leurs étés à North Pond, dans le Maine.
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Source : Gallmeister
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Citations et extraits (81) Voir plus Ajouter une citation
Contrairement au mythe populaire, les flics ne s'endurcissaient jamais , ils faisaient semblant, pour ne pas s'écrouler .
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Je suis comme Maggie , la Chatte sur un toit brûlant , sans ce connard de Brick , son mari . Je m'appartiens . Ce corps m'appartient .Mais dans dix ans , mon titre de propriété commencera à être contesté , car l'âge réclame impitoyablement les intérêts du prêt .
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"Un gentleman ne boit jamais de bon whisky au goulot ".
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Et bien moi, j'ai essayé plein de fois de me représenter ce que ça ferait de prendre un flingue pour la descendre ...la descendre ...au moment où elle me cassait les couilles.[...]Lieutenant, on m'a souvent castré , mais ça repousse toujours.
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Et puis dans le Maine , il y avait toujours , absolument toujours le risque de voir soudain débouler d'entre les arbres un animal rôdant la nuit : un cerf , un renard, un dindon sauvage ou, surtout , perspective terrifiante ...
Un caribou, [..]. Il ne manquerait plus que ça , un putain de caribou qui arrive au galop .
Tous les ans, les gens se tuaient en percutant un caribou sur l'autoroute , même sur l'I-95, pourtant si large . A l'auto-école KMD de Waterville, la première leçon consistait toujours à expliquer aux apprentis conducteurs quelle attitude adopter si un caribou apparaissait devant eux.
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Tous deux continuèrent à enseigner , et Alicia mit au monde deux filles qu'ils chérirent et élevèrent pour en faire des adultes équilibrées (en théorie ,car on n'en est jamais sûr).
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Module Lunaire Barlow était le neuvième enfant et le dernier (du moins tout le monde l’espérait) d’Early et Lawanda Barlow. Il était sorti, rouge et hurlant, de la matrice fatiguée de Lawanda, le jour où les cosmonautes d’Appolo XI avaient aluni sur la mer de la tranquillité. Ses parents y avaient vu un signe du ciel et lui avaient donc donné le nom du véhicule utilisés par ces pionniers de l’espace. Dans la région, les gens gênés, ne l’appelaient que M. L.

L'enfant au nom improbable qui découvre le premier décès à FatChakulla
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La haine inspirée par Oren Purvis avait été à peu près générale, et presque tout le monde avait eu la possibilité de lui faire la peau, puisqu'il appréciait les longues promenades solitaires dans des zones boisées et désertes. Quant à Flozetta Cooms, toutes les femmes mariées la détestaient, elle, son gros cul et ses gros nichons ; et comme un bon nombre d'hommes avaient découvert les mystères douloureux des maladies vénériennes à la suite d'un contact avec Flozetta, elle ne manquait pas d'ennemis.
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[...] , Bruno distingua une silhouette sombre dans l'encadrement de la porte . Il se tapit alors que la silhouette se dirigeait vers les voitures et passa devant l'arbre ; l'homme - ou la femme , il ne fallait jamais sous-estimer les femmes , [...]
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Vivre serait subir un chagrin sans fin, mourir serait un "sursis à la douleur" comme l'écrivait Poe.
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