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Citations de Nicci French (446)


- Oui ?
- Je n'en peux plus .
- Vous n'en pouvez plus de quoi ?
- De tout. De travailler et de faire le ménage, de faire les courses et la cuisine, de parler et de répondre aux attentes de mon mari, de mon père, de mes enfants, de mes amis, de mes collègues de travail, de faire des efforts, d'une manière générale. Ça me prend toute mon énergie de ... je ne sais pas, moi... ramasser une chaussette sale par terre, ouvrir la bouche et prononcer les mots adéquats. Sourire. Pousser un Caddie dans un supermarché. Vous voyez le genre. Tout ça.
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- Quand j'étais petite, je haïssais les dimanches. (…)
C'était un jour de silence et d'ennui, où il n'y avait rien à faire à part aller à l'église et retrouver de la famille qu'on avait pas envie de voir.
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On croirait entendre un pyromane qui aurait mis le feu à une maison et qui voudrait qu'on le remercie de l'avoir éteint.
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- Il est possible que Frieda Klein n'ait rien à voir avec tout ça .[...]
- Tout comme il est possible , reprit-il , de tomber dans le bassin de requins sans que le requin ne vous mange . Mais mieux vaut être dans une cage .
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Il n’existe pas de vie qui ne soit ternie par la honte. Mieux vaut laisser les zones d’ombre dans le noir, où elles peuvent se cicatriser puis s’estomper. Mieux vaut écarter les tourments de la jalousie et de la curiosité paranoïaque.
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Karlsson examina la fenêtre fêlée, son rebord en train de se désagréger et les fins voilages orange. Michelle Doyce avait constitué des collections, et avançait dans ses trouvailles : un grand carton de mouchoirs roulés en boule, manifestement usagés ; un tiroir rempli de bouchons, rangés par couleurs ; un pot de confiture contenant une multitude de petits croissants jaunes, des rognures d'ongles.
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Les morts ne nous quittent jamais, je crois.
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- La moitié d'entre elles ont assassiné leurs enfants. Parfois, la nuit, on ne peut pas dormir tellement elles crient .
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- Ne jamais poser de question dont on ne détienne déjà la réponse .
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- Tu me fais penser à un truc (...) .
Au papillon qui se cogne à la lampe. C'est idiot, mais tu es comme ça . Tu t'es brûlé les ailes, encore et encore, et pourtant, tu retournes toujours à l'ampoule. Je pige pas .
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- Vous voulez parler de Joseph?
- Oui, c'est bien ça . Qui est-il ?
- Un ami de Frieda . Un maçon . Originaire d'Ukraine .
- Pourquoi une telle personne serait-elle amie avec Frieda Klein ?
- C'est une insulte envers les Ukrainiens ou les maçons ?
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Toutes mes condoléances.
Accident mortel.
Ce monde n'est pas le mien. Quelque chose ne va pas, ne tourne pas rond. Nous sommes un lundi soir d'octobre. Je suis Ellie Falkner, agée de 34 ans, mariée à Greg Manning. Même si deux agents de police viennent de me rendre visite pour m'annoncer qu'il est mort, je sais que ce n'est pas possible parce que cela arrive dans un autre monde, celui des autres.
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Tout le monde se dispute, rétorqua Dugstale. Même les couples mariés. Peut- être même surtout les couples mariés.
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Personne ne peut comprendre un mariage de l'extérieur .
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On entend parler de ruptures civilisées, sans rancune de part ou d"autre. Personnellement , je n'en ai jamais vu .
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Je suis morte deux fois. La première fois, j'ai voulu mourir. Je considérais la mort comme l'endroit où la douleur s'arrêterait, où la peur cesserait enfin.
La seconde fois, je n'ai pas voulu mourir. En dépit de la douleur et de la peur, j'avais décidé que la vie méritait d'être vécue. Cette vie compliquée, angoissante, fatigante, merveilleuse, blessante, avec son lot de ratés et sa tristesse, avec toutes ses joies soudaines et inattendues qui vous font fermer les yeux et dire : " Raccroche-toi à cela, ne l'oublie pas. "
[ Incipit ]
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Il détenait un alibi idéal. C'était là que résidait le problème. Les gens normaux n'ont pas d'alibi parfait.
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[psychothérapie]
(...) quand un patient vous pose une question, ce qu'on cherche normalement à faire, c'est essayer de suggérer que le patient connaît déjà la réponse et la redoute, et qu'il cherche à en transférer la responsabilité sur le thérapeute.
(p. 388)
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Nous qui menons nos vies là où l’air est épais et où l’esprit reste clair, sachons marquer une pause avant de juger les hommes qui s’aventurent dans ce pays des merveilles, ce royaume situé derrière le miroir, sur le toit du monde.
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Nous ne sommes que des feuilles sur l'arbre... Et l''automne vient.
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