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Critiques de Nicholas Evans (205)
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La ligne de partage

Un très beau roman qui nous emporte dans une histoire familiale, avec ses secrets, ses colères, ses relations intimes et fortes. Un roman sur les valeurs, les passions, les erreurs, sur la culpabilité, sur la vie finalement... Une histoire qui traite de nombreux thèmes, une histoire qui m'a emportée, moi simple lectrice qui avait entamé ce livre un peu à reculons, à tort ! En refermant ce livre, je n'ai qu'un conseil : lisez ce roman qui vaut le détour...

Un joli coup de coeur. Une écriture simple, tellement nature, sans fioriture. Nicholas Evans est un écrivain qui transmet en beauté !

Ecrite en 2005, cette histoire est aujourd'hui encore très actuelle, et tellement vraie.

Ce roman, c'est la vie : drames, passions, remises en question, reconnaissance de soi, engagement, idéaux personnels, point de non retour... Une belle réussite.

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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

Un grand classique qu'il convient d'avoir lu. Un très beau roman sur une histoire touchante avec tout plein d'ingrédients qui font que c'est passionnant. Un univers dans lequel on se laisse embarquer même si vous n'êtes pas fan de chevaux. Les descriptions sont bluffantes de réalisme sur les paysages, les personnages. Les émotions sont au rendez-vous et lorsque l'on ferme le livre on est surpris de ne pas être dans le Montana.

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Le Coeur des flammes

Le Montana et ces grands espaces, majestueux mais aussi dangereux.

Ed Tullis se rend dans cet état avec sa petite amie Julia, lui comme parachutiste du feu, elle comme monitrice dans un camp d'ados difficiles. Ed retrouve son meilleur ami Connor Ford, Les deux potes exercent un métier terriblement dangereux mais riche en montée d'adrénaline. Alors qu'un gigantesque incendie ravage la région, plusieurs drames se jouent.

L'écriture de Nicholas Evans est très cinématographique, il a ce talent pour nous faire visualiser décors et personnages dès le début de l'intrigue.

Et il faut avouer que de ce côté là, il est plutôt pas mal aussi. Le roman s'évertue à suivre le parcours romanesque de ces trois héros, avec beaucoup d'empathie pour chacun d'eux, Evans rendant parfaitement la complexité de leurs sentiments. On peut peux-être reprocher à Evans certaines facilités narratives mais ces personnages sont suffisamment attachants et ces histoires profondément humaines pour nous toucher et nous faire voyager dans de somptueux paysages. L'écriture est vraiment agréable et j'ai passé de belles heures avec Connor, Ed et Julia.

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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

Avant d’être un film, « L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux » était un roman de Nicholas Evans, écrivain anglais qui s’est pris subitement de passion pour ces chevaux, ces chuchoteurs et ces plaines du Montana. Si la version cinématographique m’a donc laissé plus ou moins de marbre, le roman est une autre histoire. Il fut profondément émouvant avec en guise de prémices une introduction totalement tragique et bouleversante. Ces deux jeunes filles chevauchement fièrement sur leurs montures en promenade matinale, (ça respirait le bonheur et la joie de vivre) et ce camion de plusieurs tonnes lancé sur la route enneigée ; s’ensuivit un choc frontal, effroyable, terrible et cruel.



Mais ce n’est que le début du roman qui partant de ce fait va tenter de montrer comment après un tel accident une famille peut se reconstruire. Des vies ont été perdues, d’autres ont franchi presque la limite d’un non-retour mais ont résisté à l’attraction de la lumière blanche – presque malheureusement. Comment peut-on revivre après avoir vécu un tel drame, aussi traumatisant.



Et puis le cheval en question – Pilgrim – n’est pas sorti indemne non plus de cet accident. Fractures physiques et traumatismes psychiques. Le cheval a perdu toute sa raison. Mais pourquoi donc n’a-t-il pas été abattu ? Certainement, l’entêtement et la fierté humaine qui malgré les souffrances ne lui ont rien épargnés. Si les vétérinaires ont fait un travail admirable, le cheval a toujours un grain et personne ne semble prêt à s’en approcher à moins de vouloir recevoir des coups de sabot.



Pourtant, il y a un homme, Tom Booker, qui parait-il aurait ce pouvoir – cette sorcellerie – de causer aux chevaux, de rentrer dans leur intimité psychique et de leur parler directement d’âme à âme. Son travail sera donc de rééduquer Pilgrim, tout en douceur, de lui faire reprendre confiance avec les hommes. Si le traumatise ne s’oubliera jamais, peut-être que le cheval parviendra-t-il à se laisser de nouveau approcher par l’homme. Et puis si le cheval va mieux, il en sera peut-être de même de sa cavalière, Grace, amputée et qui semble en vouloir tellement à sa mère, Annie.



Tom Booker serait-il donc une sorte de thérapeute qui soigne les chevaux traumatisés et les familles en voie de décomposition ? En plus, il a installé son « cabinet de consultations » dans un immense ranch familial dans les grandes plaines du Montana. Une vision idyllique à chaque réveil où prendre une tasse de café brûlant en regardant le soleil traverser les persiennes de la cuisine semble sortie tout droit d’un rêve inaccessible pour le bison des villes que je suis. Je passe rapidement sur l’idylle amoureuse ou sexuelle qui inévitablement va rapprocher Tom et la mère de Grace. Les romans à l’eau-de-rose même au Montana ne m’émeuvent que si peu, mais faut bien émoustiller les bisonnes – pardon, les lectrices – qui fantasmeraient sur le beau cow-boy un peu rustre, mais si prévenant. Non, moi je préfère surtout retenir le courage de la jeune fille, dont la courte vie vient de basculer irrémédiablement, retenir le courage du cheval qui à force de patience et d’amour de Tom Booker se laissera de nouveau amadouer. L’amour et la confiance semble être le moteur de la vie dans le Montana.
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Le cercle des loups

Nicholas Evans auréolé du succès de « L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux » signe un roman attachant et plutôt efficace. La petite bourgade de Hope dans le Montana, est en ébullition, des loups attaquent le bétail des fermiers mené par le puissant Buck Calder, bien décider à éradiquer la meute. Mais le loup est une espèce protégée, la jeune Hélen Ross débarque pour tracer les loups et ramener le calme dans la communauté. Prise à partie, elle se heurte aux fermiers bien décidés à régler le problème à leur manière. Seul Luke, le propre fils de Calder semble prêt à soutenir la jeune femme.

Nicholas Evans signe un roman de belle facture, avec toujours en toile de fond les magnifiques paysages de son cher Montana. On prend bien évidemment fait et cause pour Hélen Ross, ardente défenseuse du projet. Mais Evans n’oublie pas le point de vue des éleveurs victimes en premier lieu, la réintroduction des loups, sujet au combien sensible devant se faire en bonne intelligence. Mais les rancœurs sont tenaces et la peur du loup ancestrale. Evans confirme ces talents narratifs, l’écriture est toujours agréable, ces personnages suffisamment complexes pour les rendre crédibles. Roman dépaysant par excellence. Un bon bol d’air pur.

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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

On reconnaît un grand livre au fait qu'on le dévore d'une traite, sans pouvoir le lâcher, alors même qu'on connaît déjà son histoire, ou en tout cas une partie. J'avais vu L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux à sa sortie, en 1996, et j'avais adoré. C'était grâce à ce film que je m'étais plongée dans Le cercle des loups, le deuxième livre de Nicholas Evans, puis que j'avais dévoré tous ses autres romans, en attendant parfois de longues années entre leurs sorties respectives. Finalement, parce que le dernier, Les blessures invisibles, m'avait laissée sur ma faim et parce que L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux était le seul qui manquait encore à ma collection, je suis revenue aux sources et j'ai de nouveau été éblouie par le talent de Nicholas Evans.



J'avais beaucoup aimé le film. Il était porté par de superbes paysages et des acteurs talentueux au service d'une très belle histoire de guérison. J'ai trouvé le livre encore meilleur, sans doute parce qu'il va plus loin dans son propos. Dès les premières pages, il m'a pris aux tripes, alors que je savais pourtant ce qui m'attendait. Avec un sens du détail que je n'ai malheureusement pas retrouvé dans son dernier roman, Nicholas Evans prend le temps d'installer son histoire et nous fait vivre presque chaque seconde d'une matinée fatidique. Sur le papier, l'accident de Grace et de son amie Judith est bien plus violent qu'à l'écran. On se croirait presque dans un récit horrifique ! Mais c'est bien ce sens du détail que j'aime dans les premières œuvres d'Evans, cette façon qu'il a de rendre vivant un événement, un paysage, un personnage... Il met à nu les défauts et les tourments de ses héros sans jamais les juger, avec beaucoup de compassion et d'humanité, tout en déroulant le fil d'une intrigue qui ne manque pas de retournements de situation. Il sait jouer avec nos attentes en nous livrant les scènes que l'on souhaite pour mieux nous surprendre ensuite. La fin est très différente de celle du film. Moins hollywoodienne, j'ai trouvé qu'elle correspondait mieux à l'esprit de cette histoire.



Que vous ayez ou non vu le film de Robert Redford, je vous recommande vivement de lire L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux. Vous y découvrirez un auteur au sommet de son art et une histoire infiniment touchante.
Lien : http://www.aufildisa.com/201..
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Le cercle des loups

Rendu célèbre avec L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, Nicholas Evans lâche ici les équidés pour les loups. Ou plus exactement pour les détracteurs de leur réintroduction.



Hope est une petite bourgade du Montana, où les fermiers, sous la direction du puissant - et antipathique - Buck Calder veulent se lancer dans une croisade contre ce qu'ils estiment être leur ennemi séculaire, le loup. Helen Ross, une jeune zoologiste en charge de la protection de l'espèce, débarque à Hope pour contrecarrer les plans des fermiers du coin. Et surtout Buck Calder. Seul le fils de ce dernier, Luke, en désaccord avec la haine viscérale familiale, vient en aide à la jeune femme.



Avec les descriptions du Montana, le roman s'offre comme un moment de dépaysement. Sans être d'une grande originalité, il procure une lecture plaisante. J'aurais aimé qu'il aborde un peu plus les loups cependant. On ne peut pas tout avoir. La question de leur réintroduction reste sujette à de nombreux débats, souvent véhéments, aux États-Unis comme en France d'ailleurs. Certaines scènes du livre ont été difficiles à lire à cause de la cruauté des méthodes en usage à Hope (et que dire de ce chemin constitué de fragments d'os de loups décimés par les générations précédentes). Au-delà de la plainte des éleveurs par rapport aux risques encourus par leur cheptel, il demeure une peur et une haine ataviques de l'animal, qui échappent à toute argumentation raisonnée et pédagogique.



Nicholas Evans se montre efficace dans la conduite de son histoire et on est vite pris par ses développements.
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Les blessures invisibles

Voici un roman de vacances, simple, alternant le passé et le présent autour du héros : Tom enfant et Tom adulte, les drames et les bonheurs de son existence : maltraitance, manque d'affection, passion vibrante pour les westerns, alcoolisme, drame.......

Un livre agréable à lire dont les fils conducteurs sont de lourds secrets de famille, une relation père- fils poignante, émouvante, douloureuse remarquablement décrite.

Nous suivons les mythes de l'Ouest Américain, ses indiens et ses cow- boys,la pauvreté artificielle des décors hollywoodiens, la jalousie, la cruauté des acteurs et des personnages qui gravitent autour, beaucoup de non- dits, une violence latente, une quête désespérée d'amour autour des failles et des ratés des héros, les conséquences puissantes et dévastatrices de secrets de famille étouffés, trop longtemps tus......

Un ouvrage de vacances captivant , lu à l'ombre, que l'on croirait écrit comme si l'on regardait un film hollywoodien....emprunté par hasard à la médiathéque.

Une fin apaisée .......
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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

J’ai longtemps hésité à lire cet ouvrage. J’avais trop peur de me rendre spectateur de séances de thérapie douce entre l’homme et l’animal. Mais je me suis rendu compte à la lecture de cet ouvrage qu’il est aussi et surtout une histoire d’amour et que l’homme qui murmure à l’oreille des chevaux sait aussi le faire à celle des dames. Et que la sauvegarde de l’animal blessé pourrait bien mettre en péril celle d’un ménage jusque-là harmonieux.



La morale de l’Amérique puritaine saura-t-elle faire valoir ses droits ? Je connais désormais le dénouement de ce roman que j’ai apprécié dans toutes ses pages. J’ai désormais hâte de rattraper mon retard et voir ce que le cinéma a fait de son adaptation avec Robert Redford, séducteur s’il en est.
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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

C’est une histoire magnifique qui nous est confiée là, l’une de ces histoires que l’on se conte à soi-même le soir avant de s’endormir, pour oublier les dures contraintes de la vie. Dans un style fluide, l’auteur alterne actions, réflexions et dialogues de ses différents personnages pour tisser une parenthèse enchantée dans les grands espaces du Montana. Il décrit avec une grande justesse, sans jugement mais aussi sans condescendance, toute la palette des sentiments qui relient Annie à sa fille, à Tom, aux Booker, à son mari, à son travail. C’est un petit bijou dont la fin (à laquelle je n’ai trop adhéré…) arrive bien trop vite !
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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

Un très beau roman, avec des différences par rapport au film mais il n'en demeure pas moins émouvant. Cette histoire est digne de son titre de best-seller et Nicholas Evans a beaucoup de talent. Bien qu'on a un petit peu de mal à se plonger au début dans l'histoire, la suite vaut vraiment le détour car on voyage avec les personnages et on comprend leurs sentiments. La fin m'a beaucoup touché et tout au long du livre, j'ai adoré découvrir ce que font ces hommes, qui murmurent à l'oreille des chevaux...
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Le cercle des loups

Des vacances à la montagne

J'ai beaucoup apprécié ce voyage dans le Montana, on 'y plonge avec délectation.

Les personnages principaux sont attachants.

Le destin des loups , leurs habitudes ,et la nature .... une vraie leçon de vie et un vrai bonheur de lecture
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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

J'ai été passionnée par l'aventure vécue par cette petite fille et par le don qu'ont certaines personnes de communiquer avec les animaux. Cette histoire est un hymne à la vie, elle nous apprend qu'il faut accepter les difficultés jusqu'à vivre "l'enfer" afin d'en ressortir plus forts.
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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

Suite à un terrible accident qui a couté la vie à sa meilleure amie et son cheval, Grace reste enfermée dans la douleur de cette perte ainsi que de celle de sa jambe. Pilgrim, son cheval miraculé, se remet de ses blessures physiques sans trop de difficulté mais reste si bouleverser par l’accident (il s’est quand même fait percuté par un quarante tonnes) qu’il est devenu agressif et indomptable. Effrayant tout le monde il survit au fin fond d’une grange dans le noir et les immondices. Même le vétérinaire ne veut plus l’approcher jugeant intolérable de le maintenir dans cette non-vie. Mais c’est sans compter sur la détermination d’Annie, mère de Grace, qui comprend que l’état de ces deux êtres est étroitement lié. Persuadée que la guérison de l’un dépend de celle de l’autre, elle entraine fille et cheval à l’autre bout du pays, au fin fond du Montana, quémander l’aide de Tom Booker, un chuchoteur dont on dit qu’il soigne les cas les plus désespérés…



Dans des décors à couper le souffle, Nicholas Evans signe un récit poignant et bouleversant; sorte de récit initiatique au cours duquel une adolescente et son cheval vont se reconstruire et se redonner une chance de vivre. Dressant le portrait de chacun de ses personnages, il leur donne consistance et attire la sympathie des lecteurs par la justesse des émotions qu’ils véhiculent, ponctuant son texte de petites touches d’humour qui viennent alléger le contexte et la douleur que dégagent Grace, Pilgrim… mais aussi Annie.



Rapidement, le drame laisse place à l’histoire d’amour qui passe sur le devant de la scène, magnifiquement servie par le Montana et ses paysages, les cowboys et leur vie si singulière. Le lecteur devient alors le témoin d’une relation forte et sincère, l’auteur nous entraînant dans les plaisirs émotionnels et charnels de l’amour. Pourtant rapidement il nous ramène en arrière, nous rappelant que personne n’est à l’abri d’un accident nous entrainant avec stupeur sur un final aussi tragique et bouleversant qu’inattendu.



L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux est un roman initiatique dramatique sur fond de romance qui ne peut laisser indifférent. Très visuel, il fait parti de ces oeuvres dont on ne ressort pas indemne après les avoir lus parce qu’ils véhiculent des émotions véritables d’une grande justesse.
Lien : https://sirthisandladythat.w..
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La ligne de partage

Le corps d'une jeune femme est retrouvée dans la glace par un skieur hors piste dans les montagnes rocheuses. Qui est-elle ? Il s'avère que la morte est recherchée par la police. Issue d'une famille aisée, choyée par ses parents, l'auteur va nous raconter en flashback, le chemin tortueux d'une femme dont la vie bascule par amour jusqu'à la tragédie.

Evans depuis "L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" collectionne les succès. Et il est vrai qu'avec ce roman ces fans ne seront pas déçus. Abordant les thèmes de la famille, du militantisme écologique, du terrorisme ou de la trahison, l'horizon est vaste et chacun y trouvera un écho. Evans se sert aussi de façon magnifique des paysages sauvages du Montana. Mené comme un thriller, Evans nous captive jusqu'aux dernières pages même si la fin est connue dès le début. Ne boudez pas votre plaisir.
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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

Je viens de terminer mon premier coup de coeur de l'année ! Je n'avais pas vu le film et n'avais qu'une vague idée de l'histoire. J'ai été transportée du début à la fin par ce magnifique roman. J'ai aussi beaucoup pleuré, d'horreur lors de l'accident du début, d'émerveillement devant ces grands espaces du Montana, de douleur avec les souffrances de Pilgrim et de Grace, de joie et de tristesse avec Annie et Tom... Bref un excellent moment de lecture que je conseille fortement :)
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La ligne de partage

Le corps d'une jeune femme a été retrouvé dans un lac gelé du Montana. Il s'agit d'Abbie Cooper, une éco-terroriste recherchée pour meurtre.

Tout au long du roman, nous allons apprendre quelles circonstances ont fait que cette fille choyée promise à un bel avenir est devenue une criminelle en cavale.



La ligne de partage, c'est celle du partage des eaux, cette frontière naturelle dont on trouve la description dans l'ouvrage. Mais c'est aussi celle entre le bien et le mal, la limite entre l'idéalisme et le fanatisme. Le moment où une mauvaise rencontre transforme les convictions et les discours argumentés en actes revendicatifs et violents.



Plus qu'un thriller, ce roman est l'histoire d'une famille dont les parents se déchirent. Ben, le père, est banni parce qu'il est tombé amoureux d'une autre. Tandis que son fils Josh tente de se construire, il subit les remarques cruelles de Sarah, son épouse meurtrie qui le tient pour responsable de la mort de leur fille Abbie.



Ménageant le suspense alors que l'on connaît quasiment tout le dénouement dès le premier chapitre, l'auteur mêle habilement poésie des paysages et présentation des relations humaines dans toutes leur ambiguïté. Quand la haine se mêle à l'amour, la soumission à la passion, l'idéal à l'horreur.



J'ai été happée par cette histoire, lisant les derniers chapitres avec avidité et émotion. Je le recommande chaudement!
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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

J'ai découvert l'histoire de L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux grâce au film de Robert Redford. Si le film m'a moyennement enthousiasmée, il m'a donné envie de lire le bouquin de Nicholas Evans.



Et j'ai bien fait car, autant le film est un chouia cucul, autant le livre est émouvant et passionnant. Je me suis immédiatement prise d'affection pour la jeune Grace au corps meurtri et pour sa mère Annie qui ne sait plus comment atteindre sa fille. J'ai également eu de la tendresse pour Pilgrim, ce cheval héroïque prêt à se sacrifier pour sauver sa jeune amie.

J'ai eu le sentiment d'être dans le Montana avec eux et Tom Booker, de respirer l'air pur des montagnes et l'odeur forte des chevaux.



Un grand merci à Robert Redford de m'avoir fait découvrir ce livre et cet auteur ! ;-)
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L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux

Une histoire d'amour que je ne suis pas prête d'oublier. J'hésitais à le lire car je ne m’intéresse pas vraiment aux chevaux et j'avais peur de m'ennuyer. Mais en fait, le roman est plutôt centré sur l'histoire d'amour entre deux êtres opposés dans leur façon de vivre et quelle histoire j'en ai pleuré !

En plus de cela, on voyage dans les somptueux paysages du Montana.



Ce livre est un pur bonheur à lire.

Maintenant, place au film, qui paraît-il est un chef d'oeuvre dans le genre.



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Le cercle des loups

Une lecture en demi-teinte, en effet, le cercle des loups traitent plus du problème des éleveurs qui s'opposent à la réintroduction de loups plutôt qu'une description approfondie sur eux-mêmes.



Toutefois, le roman est plaisant et bien mené, aucun ennui, même si des passages semblent inutiles dans l'histoire comme la vie de la famille d'Helen puisque c'est un moment mineur qui n'a pas de lien avec le reste de l'histoire.



La majeure partie de l'histoire tourne autour des habitants de Hope et tout particulièrement la famille du terrible et imposant Buck Calder, et des agent fédéraux qui mènent un bras de fer contre tout ce petit monde là. Une histoire d'amour se trame, d'autres s'effondrent, la vie en somme de tout à chacun sous un fond de Montana.



Pour ceux qui comme moi s'attendent à un roman réellement sur les loups, vous n'y trouverez pas votre compte, toutefois, on y apprend quand même quelques points sur ces animaux tant redoutés.



Une lecture agréable malgré tout.
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