Les dix dernières années qui se sont écoulées depuis sa mort m'ont donné tout le temps de méditer sur la personnalité de Holmes, et j'en suis venu à prendre conscience d'une chose que j'ai toujours sue (sans savoir que je le savais), c'est à dire que Holmes était un être profondément passionné. L'émotivité était un élément de sa nature qu'il cherchait presque physiquement à supprimer. Il est certain que Holmes considérait ses émotions comme une distraction et même une responsabilité.