Critiques de Nicolas Keramidas (208)
D'aussi loin qu'il se souvienne, Nicolas s'est toujours vu avec cette grande cicatrice. Et pour cause, très rapidement après sa naissance, les médecins détectent une malformation cardiaque, la tétralogie de Fallot. Il est alors le premier bébé à subir, en France, une opération à cœur ouvert. Cette cicatrice, il la porte presque comme un trophée, n'hésitant pas à la montrer aux copains, leur racontant une histoire de bille avalée. Ce n'est que vers 10 ans qu'il apprend la vérité sur l'origine de cette cicatrice. À raison d'une visite puis deux chez le cardiologue, Nicolas vit pleinement, allant jusqu'à oublier qu'il avait subi une lourde opération... Jusqu'au 16 janvier 2016 où, lors d'un match de foot entre copains, son cœur s'emballe vite, bien trop vite. Il en informe son médecin et son cardiologue qui l'empressent, tous les deux, de consulter en urgence...
À partir de son journal de bord et des notes de sa femme, Nicolas Keramidas retrace son lourd parcours depuis sa crise lors d'un match de foot jusqu'à cet album. Il revient également sur ses premières années, de sa cicatrice qu'il arbore fièrement (surtout devant les filles) à sa réformation. Et si des décennies se sont passées sans anicroche et souci particulier, il ne se doute pas que cette crise subite va l'entraîner de chambres en couloirs d'hôpitaux et ce, sur une aussi longue période. Il se livre avec d'autant plus d'émotions qu'il ne cache ni ses peurs, ni ses larmes, ni ses angoisses (d'autant qu'il est papa de deux enfants). De ce sujet pourtant grave, il réussit à nous faire sourire et nous captiver, de par la description minutieuse mais jamais barbante de tout son long cheminement. Graphiquement, le trait tout en rondeur et le découpage travaillé et original apportent légèreté et humour à ce témoignage touchant et sincère...
À partir de son journal de bord et des notes de sa femme, Nicolas Keramidas retrace son lourd parcours depuis sa crise lors d'un match de foot jusqu'à cet album. Il revient également sur ses premières années, de sa cicatrice qu'il arbore fièrement (surtout devant les filles) à sa réformation. Et si des décennies se sont passées sans anicroche et souci particulier, il ne se doute pas que cette crise subite va l'entraîner de chambres en couloirs d'hôpitaux et ce, sur une aussi longue période. Il se livre avec d'autant plus d'émotions qu'il ne cache ni ses peurs, ni ses larmes, ni ses angoisses (d'autant qu'il est papa de deux enfants). De ce sujet pourtant grave, il réussit à nous faire sourire et nous captiver, de par la description minutieuse mais jamais barbante de tout son long cheminement. Graphiquement, le trait tout en rondeur et le découpage travaillé et original apportent légèreté et humour à ce témoignage touchant et sincère...
Si on recherche un divertissement léger et tonique, « Alice au pays des singes » est la B.D idéale. Ce mélange joyeusement foutraque d’Alice au pays des merveilles et du livre de la jungle n’est peut-être pas la B.D du siècle mais se lit avec beaucoup de plaisir. Il faut dire que Tebo, le scénariste, déploie une imagination débridée et propose une aventure assez dingue, pleine de trouvailles amusantes et d’idées originales. S’il n’est pas toujours fin, l’humour fait mouche. J’avoue, j’ai même ri aux blagues sur les crottes de nez, parfois ça fait du bien l’humour régressif. Le dessin de Keramidas et les couleurs de Nob sont tout aussi vitaminés que le scénario. Les décors sont foisonnants, les personnages sont expressifs, même la plante carnivore, les couleurs sont bien pétantes.
Tout ça m’a fait passer un très bon moment et je compte bien lire la suite des aventures de cette drôle de petite Alice et j’espère bien qu’on reverra son ami singe mangeur de crottes de nez.
Tout ça m’a fait passer un très bon moment et je compte bien lire la suite des aventures de cette drôle de petite Alice et j’espère bien qu’on reverra son ami singe mangeur de crottes de nez.
Il y a une quarantaine d’années , Nicolas Keramidas naissait avec une grave malformation cardiaque la tétralogie de Fallot , une intervention réussie grâce aux débuts des grands progrès de la chirurgie cardiaque .
Enfant , il est fier de sa longue cicatrice qui est sa particularité , il vit normalement jusqu’à l’aube de ses quarante où la maladie le rattrape , pas d’atermoiement possible , une nouvelle opération s’impose .
Sauf que ce n’est pas du tout la même chose d’opérer un nouveau né ou un adulte , l’angoisse monte chez le patient et sa famille .
Enfin le jour J arrive , Nicolas K fait une prouesse incroyable , celle de nous tenir en haleine en nous racontant son vécu d’opéré du cœur , sa souffrance , la vie de sa famille qui est en suspens .
C’est un récit rempli d’une grande humanité , d’une grande dignité .
J’ai beaucoup apprécié ce très beau témoignage qui n’oublie pas d’utiliser une légère touche d’humour .
Enfant , il est fier de sa longue cicatrice qui est sa particularité , il vit normalement jusqu’à l’aube de ses quarante où la maladie le rattrape , pas d’atermoiement possible , une nouvelle opération s’impose .
Sauf que ce n’est pas du tout la même chose d’opérer un nouveau né ou un adulte , l’angoisse monte chez le patient et sa famille .
Enfin le jour J arrive , Nicolas K fait une prouesse incroyable , celle de nous tenir en haleine en nous racontant son vécu d’opéré du cœur , sa souffrance , la vie de sa famille qui est en suspens .
C’est un récit rempli d’une grande humanité , d’une grande dignité .
J’ai beaucoup apprécié ce très beau témoignage qui n’oublie pas d’utiliser une légère touche d’humour .
Un grand merci à Babelio et aux Editions Casterman de m'avoir sélectionnée lors de la dernière Masse Critique et de m'avoir envoyé gracieusement ce livre graphique entièrement dédié à la chasse aux Space invaders ! Vous connaissez bien sûr ces petites mosaïques qui ont commencé à envahir les rues de Paris à la fin des années 90 puis se sont multipliées dans le monde entier : capitales, grandes et petites villes voire lieux insolites répartis sur les cinq continents. C'est un univers qui m'est assez familier, car même si je suis retraitée et donc entrant dans la catégorie des "seniors", moi aussi, je m'intéresse aux divers types de street art et je traque et collectionne les space invaders depuis plus d'une dizaine d'années, essentiellement à Paris et accessoirement dans d'autres villes. Appareil photo ou téléphone portable en poche, c'est un divertissement comme un autre de partir en balade et de parcourir les rues à la recherche de ces mosaïques pour les photographier. C'est aussi l'occasion d'explorer des quartiers et d'en apprécier les curiosités. Contrairement à d'autres je ne les flashe pas, mais je crois que je vais bientôt m'y mettre...
Nicolas Kéramidas, raconte ici avec humour et précision comment en 2016, grâce à un ami, il a découvert le monde des space invaders et s'est laissé entraîner dedans pour ne plus le quitter. Une véritable addiction ! Premier terrain de jeu : la ville où il demeure, Grenoble. C'était un peu restreint, bientôt il a vu plus grand, plus loin... Profitant d'occasions culturelles (concerts rock) ou de voyages professionnels (invitations à des salons, séances de dédicaces...) sa quête l'a mené à Paris, Marseille, Ljubljana, Vienne, Amsterdam, etc. et même jusqu'à Tokyo !
Cet ouvrage graphique dynamique, humoristique et instructif est agréable ; il est bon enfant et se lit facilement. L'auteur nous fait partager sa passion et nous plonge dans un univers que beaucoup jugent inutile, dérisoire et addictif. Mais qu'importe ! Il évoque de façon claire et simple l'application Flashinvaders créée en 2014, qui a fait des milliers d'adeptes. Il raconte les groupes qui se sont formés spontanément à cette occasion, l'organisation pendant quelques jours de "flash tours" combinant quête de mosaïques, tourisme, sport et gastronomie... Il éclaire aussi sur les opérations de réactivation afin de reproduire à l'identique les nombreux space invaders régulièrement détruits ou volés.
Bref tout un monde de passionnés et une communauté sympathique et solidaire, mais qui devrait accessoirement s'interroger sur son bilan carbone !
L'ouvrage a demandé près de deux ans de travail à Kéramidas, il a en outre été préfacé par Invader lui-même et reçu ses félicitations. Bravo !
Nicolas Kéramidas, raconte ici avec humour et précision comment en 2016, grâce à un ami, il a découvert le monde des space invaders et s'est laissé entraîner dedans pour ne plus le quitter. Une véritable addiction ! Premier terrain de jeu : la ville où il demeure, Grenoble. C'était un peu restreint, bientôt il a vu plus grand, plus loin... Profitant d'occasions culturelles (concerts rock) ou de voyages professionnels (invitations à des salons, séances de dédicaces...) sa quête l'a mené à Paris, Marseille, Ljubljana, Vienne, Amsterdam, etc. et même jusqu'à Tokyo !
Cet ouvrage graphique dynamique, humoristique et instructif est agréable ; il est bon enfant et se lit facilement. L'auteur nous fait partager sa passion et nous plonge dans un univers que beaucoup jugent inutile, dérisoire et addictif. Mais qu'importe ! Il évoque de façon claire et simple l'application Flashinvaders créée en 2014, qui a fait des milliers d'adeptes. Il raconte les groupes qui se sont formés spontanément à cette occasion, l'organisation pendant quelques jours de "flash tours" combinant quête de mosaïques, tourisme, sport et gastronomie... Il éclaire aussi sur les opérations de réactivation afin de reproduire à l'identique les nombreux space invaders régulièrement détruits ou volés.
Bref tout un monde de passionnés et une communauté sympathique et solidaire, mais qui devrait accessoirement s'interroger sur son bilan carbone !
L'ouvrage a demandé près de deux ans de travail à Kéramidas, il a en outre été préfacé par Invader lui-même et reçu ses félicitations. Bravo !
Parmi toutes les séries d'Arleston, je trouve que celle-ci est une excellente découverte. Mon affection pour Tykko a duré jusqu'à la fin du tome 3 et j'ai même été déçue que la série soit déjà finie. J'aurais bien aimé le suivre plus longtemps. L'histoire est plus compliquée qu'elle n'y paraît au premier abord et je suis allée de surprises en surprises tout au long de ma lecture.
On découvre un coin perdu de Troy, qui n'a pas un accès total à la magie mais cela n'a pas toujours été le cas. Par le biais de Tykko, on sait pourquoi et on apprend également quel est son rôle dans toute cette histoire. Les graphismes sont tel que je les aime, superbes, et qui donnent l'impression de voyager même si ce monde est totalement imaginaire.
Une excellente découverte donc pour ma part que je vous conseille très fortement de découvrir si vous voulez parfaire votre connaissance de monde de Troy.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
On découvre un coin perdu de Troy, qui n'a pas un accès total à la magie mais cela n'a pas toujours été le cas. Par le biais de Tykko, on sait pourquoi et on apprend également quel est son rôle dans toute cette histoire. Les graphismes sont tel que je les aime, superbes, et qui donnent l'impression de voyager même si ce monde est totalement imaginaire.
Une excellente découverte donc pour ma part que je vous conseille très fortement de découvrir si vous voulez parfaire votre connaissance de monde de Troy.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
La surprise du 1er tome est passée et finalement ce tome ressemble pas mal au précédent, l’histoire n’évolue pas et les ressorts sont un peu les mêmes. Pourtant, le charme opère autant que dans le 1er volet. Toujours aussi vitaminé et drôle, c’est le genre de B.D qui donne la pêche et qui se lit le sourire aux lèvres. Je suis impatiente de lire la suite.
Merci à Lewis Trondheim et Keramida de redonner vie et couleurs (Brigitte Findakly) dans ce nouvel album inédit des aventures de Donald. Avec ce superbe album Happiest Adventures, le lecteur retrouve non seulement un peu son âme d'enfant mais part, sur les pas de Donald à la recherche d'un secret plus profond encore : celui du bonheur ? Comme être heureux quand on a déjà tout ? C'est là que Donald ne comprend pas son oncle Picsou qui l'envoie une nouvelle fois en mission pour essayer de trouver un trésor aztèque? Mais que peut bien lui valoir un énième trésor à rajouter à la somme colossale d'argent qu'il garde déjà précieusement ? Le seul fait d'être riche ne suffirait-il pas donc à être pleinement heureux ? C'est donc sur cette piste que s'engage Donald : comment trouver le bonheur et comment savoir quand on l'a enfin trouvé ? Embarqué à bord d'un avion avec le professeur Donald Dingue vers un pays en pleine dictature, où les gens sont privés de tout et se contentent de si peu que Donald entreprend sa quête du bonheur ? Finira-t-il par la trouver et à apporter des réponses pour sauver son oncle Picsou de sa propre avarice ? Rien n'est moins sûr mais lui, parviendra-t-il à comprendre ce que signifie enfin cette notion du bonheur, lui qui se croit toujours malchanceux ?
Un ouvrage aux teintes philosophiques plus qu'une simple bande dessinée, je dirais. A conseiller autant aux amateurs du 9e art, qu'à ceux qui se posent sans cesse des questions existentielles comme moi (même si je n'ai pas trouvé ma véritable réponse) mais aussi à tous les curieux, que ces derniers soient petits ou grands car il n'y a pas d'âge, non seulement pour les les aventures de Donald mais il n'y en a pas non plus pour se poser cette question : qu'est-ce que le bonheur ?
Un ouvrage aux teintes philosophiques plus qu'une simple bande dessinée, je dirais. A conseiller autant aux amateurs du 9e art, qu'à ceux qui se posent sans cesse des questions existentielles comme moi (même si je n'ai pas trouvé ma véritable réponse) mais aussi à tous les curieux, que ces derniers soient petits ou grands car il n'y a pas d'âge, non seulement pour les les aventures de Donald mais il n'y en a pas non plus pour se poser cette question : qu'est-ce que le bonheur ?
Passionnée de mythologie, j'ai emprunté cette série de complètement par hasard 'enfin, pas complètement puisque je me suis laissée guidée par le résumé qui se trouve en quatrième de couverture).
Ici, on découvre le personnage de Luuna, la fille du chef de tribu des Paumakos qui doit vivre sa Grande Nuit ce soir-là. Pourquoi dis-je Grande Nuit ? Il s'agit de celle où elle doit être initiée et passer la nuit entière au coeur de la forêt et rencontrer son Totem, c'est-à-dire, un esprit animal qui la guidera tout au long de sa vie.
Cependant, rien ne se passe comme prévu car il se trouve justement que cette nui-ci n'est pas une nuit comme les autres et qu'un esprit maléfique hante les lieux de la forêt, bien décidé à s'accaparer les pouvoirs de Luuna et de la convaincre à rejoindre les forces du Mal. De plus, le totem qui a choisi Luuna n'est pas Un mais Deux (ce qui est très mauvais signe) loups et qui sont bien décidés à la suivre, non pas uniquement en pensée mais également physiquement, où qu'elle se rende.
Le vieux chêne dans lequel se trouve un esprit pacifique lui conseille d'aller prendre conseil auprès du Grand Cerf Kayuyumari. Saura-t-il trouver les réponses aux questions qu'elle se pose ?
Parviendra-telle à rejoindre sa tribu saine et sauve ?
J'ai été un peu déçue par les couleurs que j'ai trouvé trop criardes mais le graphisme est très bien travaillé et l'intrigue s'annonce bien. A voir !
Ici, on découvre le personnage de Luuna, la fille du chef de tribu des Paumakos qui doit vivre sa Grande Nuit ce soir-là. Pourquoi dis-je Grande Nuit ? Il s'agit de celle où elle doit être initiée et passer la nuit entière au coeur de la forêt et rencontrer son Totem, c'est-à-dire, un esprit animal qui la guidera tout au long de sa vie.
Cependant, rien ne se passe comme prévu car il se trouve justement que cette nui-ci n'est pas une nuit comme les autres et qu'un esprit maléfique hante les lieux de la forêt, bien décidé à s'accaparer les pouvoirs de Luuna et de la convaincre à rejoindre les forces du Mal. De plus, le totem qui a choisi Luuna n'est pas Un mais Deux (ce qui est très mauvais signe) loups et qui sont bien décidés à la suivre, non pas uniquement en pensée mais également physiquement, où qu'elle se rende.
Le vieux chêne dans lequel se trouve un esprit pacifique lui conseille d'aller prendre conseil auprès du Grand Cerf Kayuyumari. Saura-t-il trouver les réponses aux questions qu'elle se pose ?
Parviendra-telle à rejoindre sa tribu saine et sauve ?
J'ai été un peu déçue par les couleurs que j'ai trouvé trop criardes mais le graphisme est très bien travaillé et l'intrigue s'annonce bien. A voir !
C'est en lisant le billet d'un ami de babelio "danslabibliothequedanne", que j'ai découvert ce livre qui m'a intrigué.
Et surtout j'ai appris la signification de ces petites mosaiques que je voyais souvent dans mes petits voyages et qui je dois dire attiraient mon regard. Je pensais donc jusqu'à ce jour qu'il n'y avait aucun lien entre toutes ces mosaiques. Lorsque je voyais une personne devant un invader, avec son mobile je pensais qu'elle prenait une photo mais voilà maintenant je suppose qu'elle le flashait probablement .
Me voilà donc un peu moins bête et avec une appli en plus car bien évidemment , sans être une future chasseuse d'invader je vais les scanner lorsque j'en verrai et je vais avoir un oeil encore plus attentif lorsque j'arpentrai les villes !!!
Je ne suis tout de même pas sûre d'avoir tout saisi mais tout de même j'en sais un peu plus.
L'album ne nécessitait cependant peut-être pas autant de planches, c'est un peu répétitif d'autant plus que s'il y a plein de couleurs, le graphisme ne me plait pas particulierement.
J'ai toutefois hâte de trouver mon premier SI !!!
Et surtout j'ai appris la signification de ces petites mosaiques que je voyais souvent dans mes petits voyages et qui je dois dire attiraient mon regard. Je pensais donc jusqu'à ce jour qu'il n'y avait aucun lien entre toutes ces mosaiques. Lorsque je voyais une personne devant un invader, avec son mobile je pensais qu'elle prenait une photo mais voilà maintenant je suppose qu'elle le flashait probablement .
Me voilà donc un peu moins bête et avec une appli en plus car bien évidemment , sans être une future chasseuse d'invader je vais les scanner lorsque j'en verrai et je vais avoir un oeil encore plus attentif lorsque j'arpentrai les villes !!!
Je ne suis tout de même pas sûre d'avoir tout saisi mais tout de même j'en sais un peu plus.
L'album ne nécessitait cependant peut-être pas autant de planches, c'est un peu répétitif d'autant plus que s'il y a plein de couleurs, le graphisme ne me plait pas particulierement.
J'ai toutefois hâte de trouver mon premier SI !!!
Je me suis remise à la saga en tombant par hasard sur le dernier tome sorti. Je dois dire que j'avais un peu peur de ne plus me retrouver dans l'histoire car ma dernière lecture remonte à une dizaine d’années je crois. Le tome 5 était le dernier lu et même si j’avais encore en tête une bonne partie des aventures de Luuna, les détails étaient très flous. Mais j’avais envie de reprendre cette saga qui avait su me charmer. C’est donc avec une petite appréhension que j’ai commencé La reine des loups.
Lé début de l’histoire m’a permis de replonger assez facilement, ce qui a été une excellente surprise. On assiste à un conseil avec les esprits de la forêt qui permet de retrouver le fil sans trop de problème et qui donne une assez bonne vision de ce nouvel arc. J’ai tout de même trouvé un peu déroutant le début de La reine des loups. Il y a un bon dans le temps et on se retrouve un peu perdu entre deux époques. Celle où Luuna existait et une autre où elle vit toujours mais des siècles plus tard. On apprend ce qu'elle est devenue par le biais de nouveaux personnages tout en continuant à découvrir la suite de sa vie dans sa véritable époque.
Quand je repense aux premiers tomes, revoir notre héroïne aussi changée et un choc. Il y avait toujours cette lueur d’espoir en elle et cette naïveté qui ici sont totalement éclipsés par sa soif de vengeance. Mais je trouve l’idée très intéressant. De voir comment les événements ont pu la toucher, la changer, et se demander s’il y aura une voie de rédemption possible.
Elle s’est coupée du monde, en un sens, et le peu de liens qu’elle pouvait encore avoir avec ses proches, notamment, ses anciens amis, les pipinuts qui l'accompagnaient tout le temps au cours de ses quêtes, n’existent plus. Du coup, on se demande si en ayant passé un pacte avec Unkui, Luuna a encore une chance de basculer du côté lumineux, ou du moins de dompter sa partie sombre. Il y a un réel potentiel à ce niveau-là, et j’ai hâte de voir ce que cela va donner.
La fin laisse entrevoir plus d'explications et sûrement un retour aux sources, du moins c'est ce que j'espère car ce tome ne m'a pas forcément convaincu à 100%. J'ai mis quatre étoiles cependant car je crois au potentiel de ce nouveau cycle. La reine des loups est surtout introductif pour moi, et je suis certaine qu’avec un peu plus d’explications, la suite saura me charmer.
Lé début de l’histoire m’a permis de replonger assez facilement, ce qui a été une excellente surprise. On assiste à un conseil avec les esprits de la forêt qui permet de retrouver le fil sans trop de problème et qui donne une assez bonne vision de ce nouvel arc. J’ai tout de même trouvé un peu déroutant le début de La reine des loups. Il y a un bon dans le temps et on se retrouve un peu perdu entre deux époques. Celle où Luuna existait et une autre où elle vit toujours mais des siècles plus tard. On apprend ce qu'elle est devenue par le biais de nouveaux personnages tout en continuant à découvrir la suite de sa vie dans sa véritable époque.
Quand je repense aux premiers tomes, revoir notre héroïne aussi changée et un choc. Il y avait toujours cette lueur d’espoir en elle et cette naïveté qui ici sont totalement éclipsés par sa soif de vengeance. Mais je trouve l’idée très intéressant. De voir comment les événements ont pu la toucher, la changer, et se demander s’il y aura une voie de rédemption possible.
Elle s’est coupée du monde, en un sens, et le peu de liens qu’elle pouvait encore avoir avec ses proches, notamment, ses anciens amis, les pipinuts qui l'accompagnaient tout le temps au cours de ses quêtes, n’existent plus. Du coup, on se demande si en ayant passé un pacte avec Unkui, Luuna a encore une chance de basculer du côté lumineux, ou du moins de dompter sa partie sombre. Il y a un réel potentiel à ce niveau-là, et j’ai hâte de voir ce que cela va donner.
La fin laisse entrevoir plus d'explications et sûrement un retour aux sources, du moins c'est ce que j'espère car ce tome ne m'a pas forcément convaincu à 100%. J'ai mis quatre étoiles cependant car je crois au potentiel de ce nouveau cycle. La reine des loups est surtout introductif pour moi, et je suis certaine qu’avec un peu plus d’explications, la suite saura me charmer.
Je repasse dans l'univers de Troy grâce à Tykko, un jeune homme qui vient de perdre sa mère et de découvrir son pouvoir, communiquer avec les morts. Il est brouzeux dans une caravane-sérail, il va gagner une course en mémoire de sa mère et lui offrir une tombe digne de ce nom. Il partira ensuite à l'aventure, à la recherche de son passé et de son futur, au sein d'une caravane de marchands.
Les graphismes sont superbes, très détaillés et originaux. Je me suis prise d'affection pour le jeune Tykko, il me tarde d'en savoir plus sur lui et sur son passé. Cette série est nettement plus intéressante que la précédente (« SinBad »), qui se passait aussi dans le désert. Arleston a vraiment une sacré imagination pour créer tout ça... Et je vais de ce pas en continuer la découverte !
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Les graphismes sont superbes, très détaillés et originaux. Je me suis prise d'affection pour le jeune Tykko, il me tarde d'en savoir plus sur lui et sur son passé. Cette série est nettement plus intéressante que la précédente (« SinBad »), qui se passait aussi dans le désert. Arleston a vraiment une sacré imagination pour créer tout ça... Et je vais de ce pas en continuer la découverte !
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Avec la série "Tykko des sables", Christophe Arleston continue d'exploiter le filon du Monde de Troy où tout le monde dispose de pouvoirs magiques à condition de se trouver dans la zone d'influence d'un mage relais (toute allusion à la magie des Nouvelles Technologique d'Information et de Communication n'est sans doute pas fortuite ^^). Sauf que dans le Désert de Delpont, la magie s'est tarie et qu'on doit toucher physiquement lesdits mages pour avoir accès à sa propre magie, et que lesdits mages opèrent à de tarifs à la seconde absolument exorbitants (oui nous vous voyons, messieurs les opérateurs téléphoniques qui se sont entendus pour arnaquer la population)…
Nous suivons dans ce tome 1, intitulé "Les Chevaucheurs des vents", les aventures du jeune Tykko qui travaille dans un caravansérail comme ramasseur de brouzes : il rêve d'exploits avec son kamlé préféré mais se retrouve constamment exploité et tyrannisé par le musculeux Flish (oui, nous vous avons reconnu messieurs les alter egos de Marty McFly et de Biff Tannen de "Retour vers le futur" ! ^^)…
Tykko échoue à sa sauver sa mère de la maladie qui la ronge depuis longtemps et se lance incognito dans le défi des treize tribus pour trouver les fonds nécessaires pour racheter sa dépouille mortelle aux marchands de cadavres (car oui, il y a un côté lutte des classes pleinement assumé !)… le destin fait qu'il prend connaissance de son pouvoir (parler aux mort, et il prend immédiatement contact avec la mystérieuse Ayasha qui va le hanter) et que son père biologique apprend son existence à lui (or ce dernier se réjouit, lui qui a tant rêvé d'un héritier !)… Et la caravane dans laquelle Tykko et Fush se sont engagés est ainsi attaquée par Kruug, le chef des Chevaucheurs des Vents : le premier rejoint le camp des vainqueurs tandis que le deuxième est transformé en esclave eunuque !
On ne va se pas mentir, les emprunts au premier épisode de la saga cinématographique "Star Wars" intitulé "La Menace fantôme" sont assez gros. Mais cela respire la bonne volonté et la bonne humeur, donc l'ensemble reste satisfaisant d'autant plus que les partis pris jeunesse sont assez sympathiques.
Pas fan des dessins du dénommé Keramadas : plein de bonnes choses pourtant dans la mise en scène et le découpage, mais l'anatomie humaine est d'autant plus mise à rude épreuve que certaines personnages changent de morphologie d'une planche à l'autre, voire d'une case à l'autre… Par contre les couleurs de Bruno Garcia, assisté de Cyril Vincent, sont elles très agréables et tire la série vers le haut !
Sur le fond la série est victime de gros défauts, mais je préfère en parler dans la critique du tome 3…
Nous suivons dans ce tome 1, intitulé "Les Chevaucheurs des vents", les aventures du jeune Tykko qui travaille dans un caravansérail comme ramasseur de brouzes : il rêve d'exploits avec son kamlé préféré mais se retrouve constamment exploité et tyrannisé par le musculeux Flish (oui, nous vous avons reconnu messieurs les alter egos de Marty McFly et de Biff Tannen de "Retour vers le futur" ! ^^)…
Tykko échoue à sa sauver sa mère de la maladie qui la ronge depuis longtemps et se lance incognito dans le défi des treize tribus pour trouver les fonds nécessaires pour racheter sa dépouille mortelle aux marchands de cadavres (car oui, il y a un côté lutte des classes pleinement assumé !)… le destin fait qu'il prend connaissance de son pouvoir (parler aux mort, et il prend immédiatement contact avec la mystérieuse Ayasha qui va le hanter) et que son père biologique apprend son existence à lui (or ce dernier se réjouit, lui qui a tant rêvé d'un héritier !)… Et la caravane dans laquelle Tykko et Fush se sont engagés est ainsi attaquée par Kruug, le chef des Chevaucheurs des Vents : le premier rejoint le camp des vainqueurs tandis que le deuxième est transformé en esclave eunuque !
On ne va se pas mentir, les emprunts au premier épisode de la saga cinématographique "Star Wars" intitulé "La Menace fantôme" sont assez gros. Mais cela respire la bonne volonté et la bonne humeur, donc l'ensemble reste satisfaisant d'autant plus que les partis pris jeunesse sont assez sympathiques.
Pas fan des dessins du dénommé Keramadas : plein de bonnes choses pourtant dans la mise en scène et le découpage, mais l'anatomie humaine est d'autant plus mise à rude épreuve que certaines personnages changent de morphologie d'une planche à l'autre, voire d'une case à l'autre… Par contre les couleurs de Bruno Garcia, assisté de Cyril Vincent, sont elles très agréables et tire la série vers le haut !
Sur le fond la série est victime de gros défauts, mais je préfère en parler dans la critique du tome 3…
Peter pan a encore fait une farce au capitaine crochet. Il lui a fait boire une potion qui le transforme peu à peu en crocodile. Il lui faut vite trouver l'antidote ! Alice (au pays des merveilles) se joint à l'aventure...
Une bande dessinée pleine d'humour qui revisite les contes. Les dessins sont vifs et beaux, les répliques sont enlevée. Une réussite pour petits et grands.
Une bande dessinée pleine d'humour qui revisite les contes. Les dessins sont vifs et beaux, les répliques sont enlevée. Une réussite pour petits et grands.
Dans ce cinquième tome, qui est aussi la fin du premier cycle, Luna doit affronter ses propres démons, c'est-à-dire, la force obscure qui est en elle. C'est du moins ce que le grand chaman de la Cité d’Émeraude lui a confirmé. Pour être débarrassée de la malédiction que le grand esprit maléfique Unkui lui a lancé en la dotant de deux totems, l'un bon et l'autre mauvais (et qui, malgré leur disparition, continuent à la hanter), aucune potion n'est capable de la guérir. Elle seule a le pouvoir de se délivrer mais, pour cela, elle devra affronter de dures épreuves. Accompagnée et guidée par le prince Tchotapak, elle se rend donc, en esprit, grâce au cercle des miroirs, dans un endroit où nul être humain n'est accepté, la cité du treizième cercle. Elle y fait la connaissance du prince des ténèbres, le dieu-jaguar Tezcatlipaca qui, s'il l'accepte, la mènera vers son destin. Parviendra-t-elle à terrasser les démons qui l'habitent ? Et si oui, au prix de quels sacrifices ?
Une fin de cycle qui laisse le lecteur sur sa faim avec un scénario rondement bien mené et un graphisme toujours aussi bien travaillé. Pour ce qui est des couleurs, bien qu'elles soient moins criardes qu'au début (ce qui est logique étant donné qu'au fil des tomes l'histoire s'obscurcit), je m'y suis finalement peu à peu habituée ! De plus, ce que j'ai bien aimé dans ce tome, c'est que le lecteur voit l'apparition d'une trame de ce qui pourrait bien être une histoire d'amour mais...
Je ne vous en dis pas plus. A découvrir !
Une fin de cycle qui laisse le lecteur sur sa faim avec un scénario rondement bien mené et un graphisme toujours aussi bien travaillé. Pour ce qui est des couleurs, bien qu'elles soient moins criardes qu'au début (ce qui est logique étant donné qu'au fil des tomes l'histoire s'obscurcit), je m'y suis finalement peu à peu habituée ! De plus, ce que j'ai bien aimé dans ce tome, c'est que le lecteur voit l'apparition d'une trame de ce qui pourrait bien être une histoire d'amour mais...
Je ne vous en dis pas plus. A découvrir !
Trois personnages oiseaux racontent qu’ils aimeraient être des humains, mais dans le contexte, c’est parce qu’il s’agit de robots et leur réflexion n’a rien à voir avec le fait d’être des oiseaux. C’est tout le génie des auteurs de cette série, toujours glissant sur le décalage et le second degré. De plus, ils nous abreuvent de références multiples, il y a même un clin d'œil malicieux à Isaac Asimov !
Voici donc un épisode de la série Donjon Monsters, qui se déroule en parallèle de Donjon Zénith, Cormor est au centre de l’intrigue, il a retrouvé le grimoire du premier duc de Vaucanson, ce grimoire permet de construire des automates pensants, ce grimoire va attirer bien des convoitises et provoquer bien des péripéties, souvent très drôles.
J’aime le graphisme Disneyen de Keramidas, les personnages ont l’air de petits Mickey, l’histoire n’en est que plus burlesque, et c’est plus mignon, cet aspect cartoonesque, quand ça zigouille et ça charcute. Les décors de volutes et de rondeurs sont rococo dans leur style, mais les lumières inclinent vers plus de noirceur, le tout est plein d’imagination, de fantastique graphique, et de merveilleux.
L’aventure peut paraître anecdotique par rapport à l’ensemble de la série, mais il renferme encore quelques clés ; à chaque nouvelle lecture donjonesque, je découvre de nouveaux éclaircissements sur d’autres épisodes, quelques pierres se rajoutent à l’édifice qui dévoile sa monumentalité au compte goutte, impossible de s’en lasser, au contraire, plus j’avance, plus j’en veux !
Voici donc un épisode de la série Donjon Monsters, qui se déroule en parallèle de Donjon Zénith, Cormor est au centre de l’intrigue, il a retrouvé le grimoire du premier duc de Vaucanson, ce grimoire permet de construire des automates pensants, ce grimoire va attirer bien des convoitises et provoquer bien des péripéties, souvent très drôles.
J’aime le graphisme Disneyen de Keramidas, les personnages ont l’air de petits Mickey, l’histoire n’en est que plus burlesque, et c’est plus mignon, cet aspect cartoonesque, quand ça zigouille et ça charcute. Les décors de volutes et de rondeurs sont rococo dans leur style, mais les lumières inclinent vers plus de noirceur, le tout est plein d’imagination, de fantastique graphique, et de merveilleux.
L’aventure peut paraître anecdotique par rapport à l’ensemble de la série, mais il renferme encore quelques clés ; à chaque nouvelle lecture donjonesque, je découvre de nouveaux éclaircissements sur d’autres épisodes, quelques pierres se rajoutent à l’édifice qui dévoile sa monumentalité au compte goutte, impossible de s’en lasser, au contraire, plus j’avance, plus j’en veux !
C'est dingue comme on peut changer d'opinion d'un tome à l'autre ! Et qui plus est, en bien ! Dans ce tome, l'on rencontre un nouveau personnage, un très vieil homme qui se fait appeler "Lynx invisible" qui est aussi connu sous le nom du "Gardien-des-Grandes-choses-passées". J'ai trouvé ce dernier très attachant car, n'ayant pas pu devenir guerrier quand il vivait encore auprès de sa tribu, il est devenu conteur. Il a donc raconté plusieurs histoires à Luuna, dont la sienne qui est assez dramatique d'ailleurs. Il lui enseigne que dans toute histoire, il y a une morale à tirer et que cette même morale, qu'elle soit bonne ou mauvaise, nous enseigne la vie, tout simplement !
Cette nuit-là, étant soir de pleine lune, c'est le totem du mal qui prend possession de le jeune Paumanok, celui au service de l'esprit maléfique Unkui, assoiffé de sang.
Bien qu'elle soit aidée par ses jeunes amis esprits pipinuts, des sortes de petites marmottes rouges, Luuna parviendra-t-elle à contenir ses esprits meurtriers ?
Réussira-t-elle à aider, comme elle le lui a promis, le vieillard qui ne dort plus depuis que son propre totem l'a abandonné et qu'il a vu sa femme tuée sous ses yeux et son fils enlevé ?
Un tome rondement bien mené et une histoire très touchante ! A découvrir ! En ce qui me concerne, j'ai hâte de me plonger dans le troisième tome !
Cette nuit-là, étant soir de pleine lune, c'est le totem du mal qui prend possession de le jeune Paumanok, celui au service de l'esprit maléfique Unkui, assoiffé de sang.
Bien qu'elle soit aidée par ses jeunes amis esprits pipinuts, des sortes de petites marmottes rouges, Luuna parviendra-t-elle à contenir ses esprits meurtriers ?
Réussira-t-elle à aider, comme elle le lui a promis, le vieillard qui ne dort plus depuis que son propre totem l'a abandonné et qu'il a vu sa femme tuée sous ses yeux et son fils enlevé ?
Un tome rondement bien mené et une histoire très touchante ! A découvrir ! En ce qui me concerne, j'ai hâte de me plonger dans le troisième tome !
Je remercie énormément les Éditions Dupuis pour l'envoi, via net galley, du roman graphique : A cœur ouvert de Nicolas Keramidas.
L'auteur est atteint d'une malformation cardiaque à la naissance, la tétralogie de Fallot, ce qui l'oblige à subir une opération délicate et surtout inexpérimentée en 1973 : il devient ainsi le premier bébé en France à être opéré à cœur ouvert.
43 ans plus tard, lorsque son cœur s'emballe sur un terrain de foot, le mal se réveille et le conduit vers une nouvelle opération à cœur ouvert. Une expérience angoissante et douloureuse qu'il parvient à surmonter avec sa femme, Chloé, qui, comme lui, a tenu un carnet au jour le jour. C'est à partir de ces notes qu'il retrace en détails toutes les étapes de cette descente aux enfers médicale jusqu'à sa sortie définitive de l'hôpital.
A cœur ouvert est un excellent roman graphique que je recommande sans aucune hésitation. J'ai adoré ma lecture.
L'auteur nous relate son histoire avec énormément d'humour. C'est très touchant mais à aucun moment ce n'est larmoyant.
Évidemment, il y a des passages un peu plus difficiles que d'autre, notamment quand il est à l’hôpital. Il se fait opérer de nouveau pour une pathologie extrêmement lourde. Ce ne sera pas une balade de santé et ça, le lecteur en est conscient.
Certains passages sont plus techniques que d'autres mais comme dans ces cas là c'est le cœur qui parle directement, ça passe très bien.
Il n'y a pas de longueurs, de lourdeurs et j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman graphique.
En fait, je dirais que l'auteur a beaucoup de recul sur son histoire, il réussit à nous captiver grâce à son sens de l'humour. C'est une opération lourde, ce qu'il nous relate est grave et pourtant j'ai sourit à de nombreuses reprises car l'ensemble est très positif.
Certaines réflexions du corps médical sont surprenantes car un peu maladroites, comme il l'explique très bien, toujours avec beaucoup d'humour.
Les graphismes sont très chouettes, il a travaillé pour les studios d'animation Walt Disney de Montreuil et ses dessins ont des traits qui me plaisent beaucoup.
A cœur ouvert est un témoignage sincère, écrit sans concession mais avec beaucoup de pudeur.
J'ai adoré cette découverte qui mérite un énorme cinq étoiles.
L'auteur est atteint d'une malformation cardiaque à la naissance, la tétralogie de Fallot, ce qui l'oblige à subir une opération délicate et surtout inexpérimentée en 1973 : il devient ainsi le premier bébé en France à être opéré à cœur ouvert.
43 ans plus tard, lorsque son cœur s'emballe sur un terrain de foot, le mal se réveille et le conduit vers une nouvelle opération à cœur ouvert. Une expérience angoissante et douloureuse qu'il parvient à surmonter avec sa femme, Chloé, qui, comme lui, a tenu un carnet au jour le jour. C'est à partir de ces notes qu'il retrace en détails toutes les étapes de cette descente aux enfers médicale jusqu'à sa sortie définitive de l'hôpital.
A cœur ouvert est un excellent roman graphique que je recommande sans aucune hésitation. J'ai adoré ma lecture.
L'auteur nous relate son histoire avec énormément d'humour. C'est très touchant mais à aucun moment ce n'est larmoyant.
Évidemment, il y a des passages un peu plus difficiles que d'autre, notamment quand il est à l’hôpital. Il se fait opérer de nouveau pour une pathologie extrêmement lourde. Ce ne sera pas une balade de santé et ça, le lecteur en est conscient.
Certains passages sont plus techniques que d'autres mais comme dans ces cas là c'est le cœur qui parle directement, ça passe très bien.
Il n'y a pas de longueurs, de lourdeurs et j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman graphique.
En fait, je dirais que l'auteur a beaucoup de recul sur son histoire, il réussit à nous captiver grâce à son sens de l'humour. C'est une opération lourde, ce qu'il nous relate est grave et pourtant j'ai sourit à de nombreuses reprises car l'ensemble est très positif.
Certaines réflexions du corps médical sont surprenantes car un peu maladroites, comme il l'explique très bien, toujours avec beaucoup d'humour.
Les graphismes sont très chouettes, il a travaillé pour les studios d'animation Walt Disney de Montreuil et ses dessins ont des traits qui me plaisent beaucoup.
A cœur ouvert est un témoignage sincère, écrit sans concession mais avec beaucoup de pudeur.
J'ai adoré cette découverte qui mérite un énorme cinq étoiles.
Avec la série "Tykko des sables", Christophe Arleston continue d'exploiter le filon du Monde de Troy où tout le monde dispose de pouvoirs magiques à condition de se trouver dans la zone d'influence d'un mage relais (toute allusion à la magie des Nouvelles Technologique d'Information et de Communication n'est sans doute pas fortuite ^^). Sauf que dans le Désert de Delpont, la magie s'est tarie et qu'on doit toucher physiquement lesdits mages pour avoir accès à sa propre magie, et que lesdits mages opèrent à de tarifs à la seconde absolument exorbitants (oui nous vous voyons, opérateurs téléphoniques qui se sont entendus pour arnaquer la population en sa totalité)…
Dans ce tome 3, pour accomplir la prophétie et sauver Ayasha et son peuple du Néant, Tykko rejoint la colline des cent temples. Christophe Arleston se fait plaisir en se plongeant et en nous plongeant dans les aventures picaresques à la Jack Vance dont il est un grand fan, ici avec une série de cultes tous plus baroques et plus déjantés les uns que les autres (les adorateurs de Ganult, le dieu à tête de kamle, des babacools new age et des féministes fanatiques et intégristes), mais on retrouve aussi le dénouement torché plein d'incohérences des familles dont l'auteur américain est coutumier...
On sent bien que quelques tomes de plus étaient prévus pour raconter l'histoire, mais après 4 ans et ½ d'attente on a une conclusion précipitée un peu ratée et on aurait pu espérer un peu mieux des professionnels du milieu même si l'ensemble retombe sur pieds.
Dans ce tome 3, pour accomplir la prophétie et sauver Ayasha et son peuple du Néant, Tykko rejoint la colline des cent temples. Christophe Arleston se fait plaisir en se plongeant et en nous plongeant dans les aventures picaresques à la Jack Vance dont il est un grand fan, ici avec une série de cultes tous plus baroques et plus déjantés les uns que les autres (les adorateurs de Ganult, le dieu à tête de kamle, des babacools new age et des féministes fanatiques et intégristes), mais on retrouve aussi le dénouement torché plein d'incohérences des familles dont l'auteur américain est coutumier...
On sent bien que quelques tomes de plus étaient prévus pour raconter l'histoire, mais après 4 ans et ½ d'attente on a une conclusion précipitée un peu ratée et on aurait pu espérer un peu mieux des professionnels du milieu même si l'ensemble retombe sur pieds.
Eh oui, comme je vous le disais dans ma critique du deuxième tome, il arrive souvent que d'un tome à l'autre, l'on devienne de plus en plus enthousiaste ou bien, au contraire, que l'on revienne sur sa première impression. Ce fut mon cas ici (mais j'espère bien que cela va changer en lisant les quatre tomes qu'ils me reste encore à découvrir !).
Bref, revenons-en à l'histoire : Luuna, la fille du grand Sachem des Paumanok, erre toujours dans le monde parfois cruel de la forêt, accompagnée de ses pipinuts, petits génies rouges et de ses deux totems, deux loups, l'un blanc et l'autre noir, représentant tous deux les deux forces qui s'opposent en chacun de nous, le Bien et le Mal.Bien que le totem noir de Luuna, celui représentant le Mal (vous l'aurez tous compris) et qui est au service de l'esprit maléfique Unkui n'ait d'ordinaire d'emprise sur Luuna que les soirs où la lune est pleine, il va néanmoins s'emparer de son esprit plus souvent que ce qu'il était prévu dans la malédiction dont la jeune Paumanok est atteinte, la poussant ainsi à répandre le mal autour d'elle et à faire des choses qu'elle sera amenée à regretter par la suite. Guidée par les spinakas, des sortes de petites abeilles bleues, Luuna se rend dans un lieu magique, source de vie, afin de tenter -non pas de réparer- mais au moins de se faire pardonner des Dieux, de ses mauvaises actions qu'elle ne peut, à son grand regret, pas contrôler. Mais ces dernières sont-elles toutes pardonnables ? Et le plus dur n'est-il pas d'arriver à se pardonner à soi-même ? Luuna y parviendra-t-elle quand elle réalisera ce qu'elle fait lorsqu'elle est sou l'emprise de l'esprit du Mal ?
Un tome que j'ai trouvé très noir, sans parler des palettes de couleurs de l'ouvrage qui sont toujours aussi éclatants au niveau des tons..(un peu trop à mon goût d'ailleurs) mais de l'histoire en elle-même et qui se termine d'ailleurs assez tragiquement. Je ne vous en direz pas plus (à vous de le découvrir) mais je suis curieuse de voir comment les auteurs vont poursuivre leur histoire. A suivre !
Bref, revenons-en à l'histoire : Luuna, la fille du grand Sachem des Paumanok, erre toujours dans le monde parfois cruel de la forêt, accompagnée de ses pipinuts, petits génies rouges et de ses deux totems, deux loups, l'un blanc et l'autre noir, représentant tous deux les deux forces qui s'opposent en chacun de nous, le Bien et le Mal.Bien que le totem noir de Luuna, celui représentant le Mal (vous l'aurez tous compris) et qui est au service de l'esprit maléfique Unkui n'ait d'ordinaire d'emprise sur Luuna que les soirs où la lune est pleine, il va néanmoins s'emparer de son esprit plus souvent que ce qu'il était prévu dans la malédiction dont la jeune Paumanok est atteinte, la poussant ainsi à répandre le mal autour d'elle et à faire des choses qu'elle sera amenée à regretter par la suite. Guidée par les spinakas, des sortes de petites abeilles bleues, Luuna se rend dans un lieu magique, source de vie, afin de tenter -non pas de réparer- mais au moins de se faire pardonner des Dieux, de ses mauvaises actions qu'elle ne peut, à son grand regret, pas contrôler. Mais ces dernières sont-elles toutes pardonnables ? Et le plus dur n'est-il pas d'arriver à se pardonner à soi-même ? Luuna y parviendra-t-elle quand elle réalisera ce qu'elle fait lorsqu'elle est sou l'emprise de l'esprit du Mal ?
Un tome que j'ai trouvé très noir, sans parler des palettes de couleurs de l'ouvrage qui sont toujours aussi éclatants au niveau des tons..(un peu trop à mon goût d'ailleurs) mais de l'histoire en elle-même et qui se termine d'ailleurs assez tragiquement. Je ne vous en direz pas plus (à vous de le découvrir) mais je suis curieuse de voir comment les auteurs vont poursuivre leur histoire. A suivre !
C'est dingue, à croire que c'est un autre scénariste et un autre dessinateur qui ont réalisé ce tome...mais non, ce sont bien les mêmes ! En tout cas, j'ai été agréablement surprise par ce sixième tome et le passage d'un cycle à l'autre est bien net.
Ici, le lecteur se retrouve en Norvège durant l'hiver 1620 et fait la connaissance de nouveaux personnages qui sont de passage. Il s'agit en particulier du noble Henrich von Buscher, qui, accompagné de ses deux fidèles acolytes, a décidé d'anéantir toutes les forces maléfiques et devenant chasseur de démons. Là, il a pour objectif d'anéantir celle que l'on connaît sous le nom de la Reine des loups, et si vous m'avez un peu suivi dans mes critiques précédentes, vous n'aurez pas de mal à deviner qu'il s'agit de Luuna. Cette dernière ayant en effet perdu ses deux totems et ayant vu toute sa tribu anéantie, presque sous ses yeux, elle a voué un pacte avec le grand esprit maléfique Unkui (voir tome un) et juré de faire vengeance elle-même. Aussi, prévoit-elle de faire couler beaucoup de sang...
Quand arrêtera-t-elle ce carnage ? Ses anciens amis, les pipinuts qui l'accompagnaient tout le temps au cours de ses quêtes ne pouvant dorénavant plus entrer en contact avec elle, étant donné qu'elle s'est tournée du côté des forces obscures, trouveront-ils un moyen de la ramener à la raison ? Et si oui, comment et surtout, ne sera-t-il pas déjà trop tard ?
Je crois que ce deuxième cycle va vraiment m'enchanter car l'on y rencontre plein de créatures fantastiques (j'adore), le graphisme est toujours aussi bien travaillé et j'accroche beaucoup plus avec les teintes qui ornent ces pages. J'ai hâte de découvrir le septième tome..jusqu'à ce que je tome sur le huitième (soit dans la médiathèque à laquelle je m'approvisionne soit ailleurs, qui sait...?). A découvrir !
Ici, le lecteur se retrouve en Norvège durant l'hiver 1620 et fait la connaissance de nouveaux personnages qui sont de passage. Il s'agit en particulier du noble Henrich von Buscher, qui, accompagné de ses deux fidèles acolytes, a décidé d'anéantir toutes les forces maléfiques et devenant chasseur de démons. Là, il a pour objectif d'anéantir celle que l'on connaît sous le nom de la Reine des loups, et si vous m'avez un peu suivi dans mes critiques précédentes, vous n'aurez pas de mal à deviner qu'il s'agit de Luuna. Cette dernière ayant en effet perdu ses deux totems et ayant vu toute sa tribu anéantie, presque sous ses yeux, elle a voué un pacte avec le grand esprit maléfique Unkui (voir tome un) et juré de faire vengeance elle-même. Aussi, prévoit-elle de faire couler beaucoup de sang...
Quand arrêtera-t-elle ce carnage ? Ses anciens amis, les pipinuts qui l'accompagnaient tout le temps au cours de ses quêtes ne pouvant dorénavant plus entrer en contact avec elle, étant donné qu'elle s'est tournée du côté des forces obscures, trouveront-ils un moyen de la ramener à la raison ? Et si oui, comment et surtout, ne sera-t-il pas déjà trop tard ?
Je crois que ce deuxième cycle va vraiment m'enchanter car l'on y rencontre plein de créatures fantastiques (j'adore), le graphisme est toujours aussi bien travaillé et j'accroche beaucoup plus avec les teintes qui ornent ces pages. J'ai hâte de découvrir le septième tome..jusqu'à ce que je tome sur le huitième (soit dans la médiathèque à laquelle je m'approvisionne soit ailleurs, qui sait...?). A découvrir !
Acheter les livres de cet auteur sur
Les Dernières Actualités
Voir plus
Auteurs proches de Nicolas Keramidas
Quiz
Voir plus
Un couple : un chef d'oeuvre et son musée (n°2/2)
"Impression, soleil levant" de Monet
Musée d'Orsay à Paris
Musée Marmottan-Monet à Paris
10 questions
50 lecteurs ont répondu
Thèmes :
peinture
, art
, culture généraleCréer un quiz sur cet auteur50 lecteurs ont répondu