Nicolas de La Casinière est un écrivain, journaliste, peintre et illustrateur.
Journaliste depuis 1980, il est correspondant de Libération, L'Express, Bretagne magazine, rédacteur en chef de la Revue en ligne de l'Observatoire géopolitique des criminalités, directeur de publication de l'irrégulomadaire satirique La lettre à Lulu...
Il signe également des papiers dans les journaux Le Monde diplomatique, CQFD et sur le média en ligne Reporterre.
Journaliste et enquêteur des faits de société et de la politique, il est licencié en 2005 du journal Ouest-France, après dix-sept années de collaboration.
Il a publié, en 2012, un "Guide secret de Nantes et de ses environs" et, en 2013, "Le Guide du promeneur de Nantes".
Avec la parution de son ouvrage, "Les Prédateurs du Béton, enquête sur la multinationale Vinci" (2013), Nicolas de la Casinière analyse l'entreprise multinationale Vinci, à travers les autoroutes, les parkings, le BTP, la distribution d’eau, etc.
Il a illustré de nombreux ouvrages parus aux éditions L'Atalante.
Le marché des autoroutes relève d’un capitalisme d’accointance. Une exception française. Après avoir imposé le système du péage, l’État a privatisé ses investissements, organisant la captation de latente au profit de quelques grands groupes.
Un petit livre à lire pour voir l'envers du monde merveilleux du BTP.
Du passé sombre de Vinci, ou plutôt de ses nombreuses sociétés de naissance, profitant de la guerre au greenwashing actuel, ce petit livre énumère assez bien les pratiques minables des bétonneurs.
Ou plutôt d'un bétonneur, et à mon sens c'est là que le livre est perfectible : pourquoi ne s'en prendre qu'à Vinci ? Ce qui aurait été parfait, ça aurait été d'épingler également Eiffage et Bouygues (ils sont évoqués mais de manière très rapide), dont les pratiques ne doivent pas voler bien plus haut.
Façonnée par les Latins et les Celtes, Nantes doit autant aux matins qu'aux terriens, voire aux hérauts de la Table ronde, au peuple des fées et aux chevaliers.
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