- Allons, mon amie, ce n'est pas le moment de gâter votre lait. Un courrier est parti prévenir votre mari et vous m'avez dit vous-même que la nourrice qui attend votre fils est de toute confiance. Vous n'avez plus désormais qu'à vous laisser mener. Votre personne est très précieuse car de vous dépend la santé du prince ou de la princesse qui nous arrive.