(...) Seuls me fascinaient quelques mystiques, seuls me troublaient les rites shinto ou bouddhique tels qu'ils se pratiquaient au Japon, où tout, me semblait-il, avait à voir avec notre finitude, notre dérisoire petitesse face au monde et à la vie, notre appartenance au vivant, à la nature, ce sentiment océanique dont j'étais si souvent la proie.