Olivier Saraja

Karim est agent d’entretien.

Depuis plusieurs mois, il nettoie le bâtiment d’une petite boîte d’ingénierie chimique, dans laquelle il n’est pas beaucoup considéré.

Lors d’un accident biochimique, il se retrouve enfermé et oublié dans les locaux. Il parvient à en sortir plus affamé que jamais. Il va ensuite à son second boulot, employé dans le kebab de son cousin…



Grrrrr





Il se rend compte assez rapidement que créer une armée de zombies c’est quand même plus fun que récurer des chiottes.

Quand vous vous attaquez à un livre où se côtoient dinosaures et extra-terrestres, le tout sur notre Terre à l'époque actuelle, vous vous formatez tout d'abord en vous disant qu'il vous faudra nécessairement consentir à la fameuse "suspension de l'incrédulité". Et vous priez je l'avoue un peu pour que l'auteur soit suffisamment doué pour vous faire passer un bon moment et ne pas vous faire regretter votre choix. Merci à la Masse Critique et aux éditions du 38 de m'avoir permis de vivre une telle expérience.



Eh bien le pari est réussi. Pour cela, l'auteur a fait le choix assez souvent payant dans les romans d'aventure-science fiction, celui de l'action avant tout, le moins de temps-mort possibles, des chapitres courts et rythmés, où de nouveaux évènements surviennent à chaque page. L'incrédulité n'a même pas le temps de naître car quelque chose de plus incroyable encore arrive juste après et on finit donc par lâcher prise avec délice.



Si le divertissement est donc bien présent, on pourrait craindre que la réflexion générale en pâtisse, puisqu'il est difficile d'amener un petit plus "philosophique" quand tout change continuellement. Les pages finales permettent néanmoins d'amener un regard plus global sur ce qu'une telle aventure peut nous apprendre sur l'humanité en général, même si rien de transcendental ne nous sera quand même révélé.



La crainte enfin pourrait être également dans une caractérisation insuffisante des personnages. le choix de stéréotypes habituels de ce genre de livres ou films, avec un duo vieux baroudeur-jeune intellectuelle permet sans prendre trop de risques de parvenir à une recette qui fonctionne. Les personnages secondaires ne sont que très rapidement brossés, mais le duo est malgré tout attachant et on frémit aux risques qu'ils prennent, espérant que la règle qui veut que les héros principaux ne meurent jamais dans ce type d'histoire se vérifiera ici aussi.



L'auteur se laisse intelligemment la possibilité d'une saga avec une fin assez ouverte. J'avoue que je serais assez tenté par une suite, peut-être parce que, malgré la frousse que ça occasionne, je serais assez tenté moi aussi par voir débarquer chez nous des extra-terrestres "alliés" à des dinosaures... si bien sûr je suis assuré moi aussi d'être le héros principal et pas un personnage secondaire !

Un aventurier, des extraterrestres et des dinosaures. Ce livre est un croisement entre Indiana Jones, Men in Black et Jurassic Park. Evidemment, quand vous mélangez une bonne dose de chaque, vous obtenez ce petit livre complètement farfelu et déjanté. Ça commence par une balade dans le désert où le duo Buck et Amanda se rencontre, et ça nous emmène loin dans un délire qui part en vrille très rapidement.

L'action est présente jusqu'au bout, les rebondissements s'enchaînent avec une imagination loufoque et débordante. On n'est pas sur des réflexions très profondes, les personnages secondaires sont un peu faiblards, mais Amanda et Buck ont suffisamment de présence pour passer au-delà.

Ce mélange des genres est un peu risqué, car ça peut vite tourner au grand n'importe quoi, à une overdose de trucs bizarres et devenir incompréhensible. Ici, c'est bien dosé et bien écrit, ce n'est pas trop long et j'avoue avoir bien ri aussi.

Cette lecture fut une bonne découverte. Merci à la masse critique de Babelio et aux éditions du 38 pour ce partage.
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Olivier Saraja revisite dans un roman plein d’action le mythe des vampires.

Un sérieux changement de décor on quitte les habituels châteaux, pyramides et temples anciens pour une base spatiale.



En résumé : trois vampires qualifiés d’« Immortels » se réveillent d’un très long « sommeil » dans une gigantesque station spatiale.

La terre ravagée a été abandonnée. Les stations sont le dernier refuge de l’humanité.

Mais ils ne sont pas les seuls. Ils vont découvrir une société bien différente de celles qu’ils ont connues.



Les « immortels » vont traverser la station immense. Ils vont rencontrer des femmes, des hommes et bien d’autres choses.

Les frontières de l’humanité sont bien plus floues qu’aujourd’hui.

On découvre peu à peu ce qui structure la société et qui dirige la station et ceux qui la peuplent.

Je ne divulgâcherais pas les moteurs du fonctionnement de la vie dans la station…



Le rythme est rapide. Pas de répit. Les adversaires sont nombreux et déterminés à garder leurs privilèges.

Le récit mélange un environment futuriste et rites, valeurs et point de vue d’êtres très anciens.

Bémols



Les « immortels » même affaiblis après leur long sommeil ont des talents assez inouïs. Ils sont inarrêtables.

En conclusion



Un récit divertissant qui réactualise une thématique ancienne et connue dans la littérature fantastique.
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Je me suis embarqué avec bonheur dans un roman bourré d'action et de trouvailles : un bon roman pulp . On ne perd pas de temps à mettre en place des personnages pendant 3 ou 4 chapitres. Un chapitre et on rentre dans l'action. Action qui durera jusqu'à la toute fin.



Quelle action d'ailleurs ?



L'humanité est menacée par des dinosaures et des extra-terrestres. Oui des extra-terrestres larguent des hordes de dinosaures sur terre, provoquant le chaos. La survie de l'humanité semble en jeu à court terme.

Aussi incroyables que cela puisse paraitre ces deux ingrédients, dinosaures et invasion alien, fonctionnent très bien ensemble (je ne divulguerais pas pourquoi les aliens nous envoient ces petites bêtes)



Mais, mais et les personnages ?



Les principaux personnages sont peu nombreux. On les découvre en route appuyé par quelques flashbacks courts, placés aux débuts des premiers chapitres. Le dosage de flashbacks est un sujet peu évident. Là ils sont réussis et donnent de la juste profondeur temporelle au récit. Tout n'arrive pas d'un seul coup il y a eu des signes annonciateurs, mais cachés.



Ramasser le récit sur deux voir trop personnages principaux est une bonne idée. Un tome suivant pour faire sortir les rôles secondaires de l'ombre ?



Mais l'histoire ? La narration ne passe pas trop temps sur les éléments les plus éloignés de l'action.



Pas grave le temps presse ! Il y a urgence.



L'action est variée et progressive. Chaque phase apporte ses nouveautés et les situations les plus folles s'enchainent crescendo tout naturellement.



En conclusion :

À la recherche d'action, de dinosaures, d'extra-terrestres ... allez-y.

Si vous cherchez un roman psychologique au rythme modéré, je peux vous conseiller plein d'autres romans.



En conclusion 2 : Olivier, tu es autorisé à persister dans cet univers en écrivant un suite ou sur les aventures passées de Buck.
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J’ai découvert Olivier Saraja avec Spores pour j’ai pris le temps de donner mon opinion. Mais j’ai également lu Sanctum Corpus et Les aventures occultes de Lady Bradsley. Mais j’avoue être passer à côté de ses autres productions.



C’est donc avec plaisir que j’ai redécouvert sa plume dans Séculaires.



Mais peut-on parler sans écrire le V*** ? Nos trois héros sont des immortels qui se réveillent d’un long sommeil pour découvrir une humanité déshumanisée réfugiée dans des stations spatiales gigantesques. Il ne leur faut que quelques heures pour prendre la décision de renverser l’ordre établi. Mais ont-ils vraiment le choix ? Pas dit. La chronologie n’est pas clairement donnée, mais toute l’aventure se déroule en quelques heures — au plus quelques jours.



C’est d’ailleurs un élément qui m’a perturbé. Comme Olivier nous raconte cela, il ne leur faut que quelques heures pour se rendre en navette sur la Lune. Comme elle est à 350 000 km au dessus de la station, l’engin doit se déplacer à plusieurs dizaines de milliers de km/h pour que ça colle. Mais à la lecture, j’ai eu le sentiment que le déplacement était relativement lent. De la même façon, j’ai eu un peu de mal avec la disposition de la station. Il est question de cinq pétales. J’ai aussitôt pensé à une disposition en couronne, comme dans une fleur. Mais au fil de la narration, je me suis demandé s’il y avait six pétales ou si leur disposition n’était pas plutôt en ligne. C’est perturbant, mais ça n’enlève rien à l’histoire.



Le mixe technologie futuriste et fantastique est réussi. J’aurais toutefois aimé avoir un peu plus de précisions sur certaines capacités de nos héros. Oh, bien sûr pas sur les capacités de combattants acquises au cours de nombreux siècles, mais plutôt sur les pouvoir « magique » de certains des protagonistes.



En bref : Une histoire rondement menée que j’ai eu envie de lire d’une traite... mais je n’avais plus de café... et puis faut bien dormir de temps en temps... et il y a le boulot... Enfin ! À la première occasion j’attrapais ce livre pour en lire quelques lignes de plus.
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Une nouvelle post-apocalyptique, courte mais efficace, une immersion rapide dans ce monde envahi par la végétation comme son titre et sa couverture l'indiquent. Et je n'en dirait pas plus car pour une nouvelle aussi courte il serait facile de poiler.

Malgré le petit nombre de pages, grâce au style narratif et aux descriptions on a l'impression de voir non seulement le décor mais aussi les personnages évoluer dans ce milieu, imaginant peu à peu leur futur et leur passé au fur et a mesure des révélations, même si tout ne nous est pas dit.

Un auteur auto-édité qui est a découvrir puisqu'il n'a pour l'instant sorti que des nouvelles, donc abordables, qui permettent de se faire une première idée, en espérant qu'il s'attaque à des formats plus longs bientôt.



Challenge multi-défis 2019

Challenge mauvais genre 2018-2019

Challenge déductions élémentaires

Une histoire qui se lit vite avec cette petite nouvelle de 60 pages qui entraine le lecteur vers un monde assez sombre. On y trouve une ambiance savamment dosée et une écriture de qualité.



L’auteur offre la possibilité à ses lecteurs de s’interroger sur la nature humaine dans ce qu’elle a de plus sombre et c’est assez intéressant.



J’ai trouvé dommage que l’on en sache pas plus sur les « ombres » que cela ne soit pas plus poussé, plus original… En même temps il est difficile de faire un traitement complet sur 60 pages… Même si ce genre a déjà pu être abordé, l’enchainement de l’intrigue est très bien et on passe un bon moment.
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Une nouvelle post-apo dans laquelle on ne s'ennuie pas une seconde mais très courte et pliée en 40 minutes :/



Ça m'a fait pensé un peu au roman "Le jour des Tryphides" mais en plus moderne et avec un final inattendu et plaisant, par contre je n'ais pas trop accroché aux personnages qui de par le format "nouvelle" ne peuvent pas êtres assez développé.



À lire tout de même pour les amateurs du genre !

J'ai passé un bon moment à lire cette nouvelle. Elle tient un peu de Nausicaa de la vallée du vent sur certains points.

Bien construite et bien écrite, je lirais avec plaisir d'autres récits du même auteur.



L'intrigue est très prenante.

Son seul défaut : elle est trop courte !

Je sais. C'est une nouvelle. Elle ne comporte que deux personnages et donc son nombre de pages est adapté.

Cependant, l'univers est intéressant et j'aurais lu avec plaisir un roman plus ambitieux avec d'autres personnages secondaires.



C'est un bon début. J'espère pouvoir lire d'autres écrits.
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Abandonné après deux aventures, ce n'est pas un livre pour moi: je ne me suis pas attaché à l'héroïne et n'est trouvé que peu de saveur aux aventures assez convenues finalement. Certainement que d'autres aimeront ce style de roman d'aventures, je vais de mon côté passer à autre chose.

Je ressors de cette lecture avec un bon sentiment. Le thème accrocheur d’extraterrestres qui débarquent sur Terre pour y lâcher une tripotée de dinosaures dans notre monde en ferait saliver plus d’un. Bien que le pitch, tout comme l’histoire, nous laisse une impression de visionnage d’un film de série B, l’ensemble est bien mené et on se laisse transporter sans bouder notre plaisir dans ce récit d’aventure Pulp aux allures de Weird West. De l’action à gogo, un personnage principal fort et de la réflexion sur de nombreux sujets pour une lecture qui se veut Chill et sans prise de tête. Le texte est rapide et fluide dans sa lecture et son découpage, bien que j’aurai souhaité un tout petit plus de style dans l’écriture (exigence, quand tu nous tiens). Le deuxième personnage, en la personne d’Amanda Summers, qui n’aura pas su m’émouvoir et des personnages secondaires trop en retrait ou totalement clichés viennent légèrement ternir le tableau mais le récit, relativement court, ne laisse que peu de place à leur développement. Enfin, l’épilogue nous donne une fin surprenante pour le héros mais nous laisse sur un goût de frustration concernant les autres protagonistes dont on aurait souhaité connaître le sort. Au final, une lecture qui aura réussi son pari, faire passer un bon moment au lecteur, et c’est tout ce qui compte finalement.

Pour l'ensemble de la chronique, c'est par ici -->
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Sanctum Corpus (2016) est une novella post-apocalyptique d'Olivier Saraja.

Viktor est un scientifique qui mène une vie paisible dans la cité de Gamma, protégée par un mur d'énergie. Victime d'un accident à la suite d'une attaque, il va découvrir une autre facette de l'humanité. Un récit à la construction classique mais bien mené et plaisant.

L'appétit des ombres (2016) est une nouvelle post-apocalyptique d'Olivier Saraja. L'humanité a quasiment disparu à cause d'ombres mystérieuses qui surgissent la nuit. Wade un ancien taulard violent et Angie, une adolescente rebelle, tentent de rejoindre Genève où un groupe de survivants s'organise. Un récit à la construction classique mais bien mené et plaisant.

Spores (2014) est une nouvelle post-apocalyptique d'Olivier Saraja. L'humanité a quasiment disparu à cause d'une espèce de mousse aux spores mortels. Pieter et sa fille Enora, qui survivent tant bien que mal, rencontrent une scientifique qui détient peut-être la clé de la survie humaine. Une fable écologique assez classique mais agréable à lire.

Vous attendez des films d’aventure à l’ “Indiana Jones”, mais :



Pas de film annoncé (sauf le retour des bandelettes de la momie IV)

Vous avez peur d’être déçu (ah les adaptions, les suites de trop …)

Pourquoi encore avec un beau gosse en personnage principal ?



Et bien “Les Aventures occultes de Lady Bradsley” sont là pour vous !

Surtout si vous voulez en plus de l’occultisme.

Rassurez-vous ! Moi à qui l’occultisme hérisse le poil, je n’ai pas été dérangé par cet aspect. Il y a le juste recul nécessaire.



Le roman est une suite d’aventures de Lady Bradsley.

Chaque aventure est indépendante. Pas de grand méchant, de secte … récurrents qui serviraient de fil rouge.

Le seul lien de tous les épisodes c’est Lady Bradsley elle-même.



C’est une bonne lecture divertissante et dépaysante.

Les décors sont variés : on voyage pas mal en Asie, en Afrique puis à Londres.

Chaque épisode, qui est quasiment indépendant des précédents, se déroule dans des circonstances différentes avec une progression croissante des enjeux.
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J’ai toujours beaucoup de mal à chroniquer une nouvelle isolée. En effet, il est souvent très difficile d’en parler sans lâcher des informations sur la trame... surtout quand la présentation faite par l’auteur lui-même la résume aussi bien. Mais attention, cette présentation ne rend pas justice au côté SF de la nouvelle qui est nettement marqué. Rassurez-vous, ou pas. J’ai eu le plaisir de la lire en avant première et je peux vous dire que si je lui avais trouvé des défauts rédhibitoires je vous le dirais et l’auteur en aurait été informé. Franchement, n’hésitez pas à la lire.
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J’avoue : en présence d’un dinosaure dans un ouvrage de fiction, je perd rapidement toute objectivité. Ce qui me permet d’apprécier largement l’intégralité des Jurassic Park et autres Jurassic World au cinéma sans m’arrêter sur les gouffres logiques des scénarios. Ce qui fait que j’ai un faible pour Sauron en tant que méchant des X-Men. Et qui fait que je me suis régalée à lire Dino Hunter d’Olivier Saraja, avant de me le faire piquer par toute la famille.

Publié dans la collection Pulp des défuntes Éditions Walrus, Dino Hunter ne se prend pas au sérieux. Il y a de l’action, des dinosaures, des extra-terrestres et des situations invraisemblables à gogo. Pour autant, avec ce titre Olivier Saraja ne prend pas ses lecteurs pour des idiots. Bien au contraire, il les rend complices de son délire en jouant habilement avec les clichés du genre et en les entraînant là où ils ne s’attendent pas.

Tout commence pourtant par une simple balade le long du Rio Grande avant de virer au Jurassic Park moderne pour se terminer en invasion extra-terrestre grandiloquente… Et visiblement, une fin ouverte pour, éventuellement, lire un jour la suite des aventures d’Howard Buck. Comme tout bon roman pulp, ne vous attendez pas à des explications logiques : des vaisseaux sortent tout droit du cœur du soleil, des ptéranodons vivent encore à l’état sauvage à la frontière entre le Mexique et les États-Unis, et les motels américains laissent des squatteurs s’installer chez eux sans pantalon à l’heure du déjeuner… Laissez-vous simplement porter par les aventures de Buck et d’Amanda, imaginez-vous chevauchant votre dinosaure favori dans un décor de Far West et appréciez ce livre.

En revanche, comme les éditions Walrus ont fermé, si vous voulez vous le procurer, vous n’aurez plus cette belle couverture orange. A partir de septembre 2018, ce sont les éditions du 38 et la collection Le Fou qui accueille Dino Hunter. Et Olivier Saraja a annoncé qu’il y aura une suite.
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Un indispensable pour tous ceux qui veulent se lancer dans la création 3D avec blender. Claire et complet, il permet à tous les curieux de prendre en main ce logique extraordinaire.
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J’ai retrouvé la plume fluide et entrainante d’Olivier Saraja avec plaisir.

Dès les premières pages, on entre dans une histoire de zombies très originale qui change énormément de celles que l’on peut lire habituellement. Je tire mon chapeau à l’auteur pour son imagination débordante et pour avoir réussi à innover dans le genre.

On se retrouve plongé dans un cocktail détonnant de suspense, d’horreur et d’humour et on a envie d’avancer pour savoir où Olivier Saraja va nous emmener.

On suit Hakim avec beaucoup d’intérêt et on ne peut que s’attacher à lui. Les autres protagonistes sont eux aussi très bien travaillés et apportent leur touche de gore et d’humour à l’histoire.

Arrivés à la fin, on en redemande et on espère très fort une suite.



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