Olivier TaDuc

Les tribulations d'un chinois Chen Long Anh en Californie.

Envoyé dans le nouveau monde pour contrôler la bonne marche des affaires commerciales des doyens il rompt avec le système des triades quand il s'aperçoit à ses dépends qu'il est un jouet entre leurs mains.

Mis au banc de sa société il accepte d'être rebaptisé par les Blancs, il s'appellera désormais John Chinaman.

Nous l'accompagnons dans son périple à travers l'ouest américain de la seconde moitié du XIXe siècle, une société raciste où il devra se frayer un chemin à la force du poignet.

Notre homme, rompu aux arts martiaux qui ne se fera pas tant remarquer pour ses qualités physiques que pour ses valeurs humaines, où la voie du Tao rejoint la voie du poing.

Nous cheminons en sa compagnie au sein d'une caravane, puis nous partageons quelques temps la vie des constructeurs du fleuve d'acier où la concurrence est rude entre Irlandais et Chinois.

L'ouest américain est finement croqué par TaDuc paysages et personnages sont dessinés avec une précision d'orfèvre. Le tout desservi par les dialogues de Le Tendre qui, par son écriture rend bien la dualité du destin d'un homme dans un univers rude et fruste luttant pour ses valeurs: l'honnêteté, la solidarité et le courage.

Go west my son, it's a land of opportunity!

Wild, Wild west...

Si le western est un genre largement visité en B.D il me semble que très peu de B.D se sont intéressées à la communauté chinoise au far west, aspect pourtant très intéressant de ce pan de l’Histoire des Etats-Unis. Cet angle permet aux auteurs de poser un regard original sur une période bien connue et dont l’imagerie est rentrée dans l’imaginaire collectif.



Le scénario de Le Tendre m’a pas mal fait penser à certains chambara. Oui, je sais la B.D parle de la communauté chinoise et le chambara c’est japonais. Mais le chambara et le western ont pas mal de points communs, d’ailleurs un certain nombre de chambaras ont été remakés sous forme de westerns et je pense que certains chambaras se sont également volontairement imprégnés d’une imagerie western. J’ai vraiment ressenti ça dans ce 1er tome de « Chinaman ». Jusque dans la conclusion qui annonce un héros récurrent qui se lance sur les routes tel un Sanjuro, un Ogami Ito, un Tange Sazen ou comme un lonesome cowboy.

En mettant en scène la communauté chinoise, Le Tendre donne une touche d’originalité à son scénario par ailleurs très classique dans les grandes lignes.

L’auteur fait également preuve d’une belle sensibilité dans la caractérisation des personnages dont certains sont très touchants.



Le dessin de Taduc est lui aussi très classique mais ça fonctionne très bien, c’est très bien fait. La colorisation est très réussie.



Bref, ce 1er volet est une jolie découverte. Je vais continuer la série avec plaisir.

Ce neuvième tome vient conclure l’arc « Wild Cathy – Horace – Zed » de jolie façon. Si on peut regretter que le sujet de la communauté chinoise au Far-West ne soit pas évoqué dans ce tome et que le personnage de Chinaman y est finalement plutôt en retrait, Le Tendre propose un scénario encore une fois subtil et peuplé de beaux personnages. L’intrigue est joliment mise en valeur par un dessin toujours aussi agréable à l’œil.



Cette série m’a fait passer de très bons moments de lecture. Pour le moment aucune suite n’est prévue, Dupuis ne souhaitant pas éditer un dixième tome. Je le regrette vraiment, certains éléments sont restés en suspens (par exemple la grossesse d’Ada) et j’aurais aimé en connaitre les développements. Mais en l’état, ces 9 volets se suffisent à eux-mêmes et constituent une bien jolie série.

Le 5ème tome était légèrement en demi-teinte et constituait en fait une sorte d'introduction à ce 6ème volet qui s'avère très plaisant.



On découvre un Chen sous un jour un peu différent. Il est un homme à la fois inquiet, il sait que le couple qu'il forme avec Ada n'est pas du goût de tout le monde, et plein d'espérance. Il veut croire leur bonheur possible, espoir renforcé par le voisinage d'une famille composée d'un homme blanc, d'une femme chinoise et de leurs deux enfants.

L'histoire n'est pas particulièrement originale mais elle est bien menée et permet de clore un certain nombre d'arcs. Ainsi on retrouve avec plaisir Chow mais également le gros méchant Hopper et les triades refont leur apparition.

Le contexte historique est une fois de plus évoqué en arrière-plan ce qui apporte un intérêt supplémentaire au récit. D'ailleurs, ce contexte historique de l'immigration chinoise au Far West fait l'objet d'un petit supplément documentaire très intéressant.

Ce 4ème tome de Chinaman est très réussi, sans doute un des meilleurs de la série. On y retrouve avec grand plaisir notre héros charismatique dans une intrigue qui met à l’honneur un pan passionnant de l’Histoire de l’Ouest américain. En effet, la construction d’un chemin de fer est au centre de ces « mangeurs de rouille ». Si j’avais passé de très bons moments avec les tomes précédents, je regrettais tout de même un peu que le côté historique soit mis de côté et que le fait que le héros soit chinois n’était finalement qu’un prétexte pour qu’il se batte avec ses pieds et ses poings plutôt qu’une arme à feu. Or, on sait bien l’importance qu’a eu la communauté chinoise dans la construction des chemins de fer… Cet élément est au cœur d’une intrigue passionnante et très bien menée. Par ailleurs, outre la construction du rail, d’autres éléments viennent étoffer le contexte en arrière-plan.



« Les mangeurs de rouille » est un excellent tome qui propose une histoire solide et bien traitée, servie par un dessin toujours aussi chouette. Vite le 5ème tome !

Après un 7ème tome au ton dramatique, « les pendus » est un volet un peu plus léger. Chinaman fait la connaissance d’un tricheur professionnel et leur duo fonctionne comme un buddy-movie. L’humour est donc assez présent.

Ce tome met en place une intrigue qui trouvera sa conclusion plus tard. L’action n’est donc pas aussi importante que dans les volets précédents. Par contre, on rencontre des personnages qui auront sans doute par la suite un rôle important à jouer. Ainsi le duo Chinaman / Zed va vite être rejoint par Curry, un homme meurtri par son passé. Ils seront sans doute confrontés à la redoutable Wild Catty.



Si ce tome n’est pas le plus réjouissant, il constitue une mise en place alléchante pour la suite.

Ce 7ème tome met en avant les difficultés des familles "mixtes". Avec les lois d'exclusion des chinois, la menace qui pèse sur ces familles est constante. Comme leurs voisins Charlie et Lalu, Ada et Chinaman n'y échappent pas et se heurtent à l'hostilité croissante des habitants de Blue Hill.

De plus, Chinaman n'est pas un immigré chinois comme les autres. Sa réputation le précède et le maître d'une école d'arts martiaux, fraîchement arrivé, rêve de l'affronter pour l'honneur et la gloire.



Ce tome est très bien équilibré entre action et émotion. Les combats sont tendus et bien menés tandis que l'évolution de l'histoire entre Ada et Chinaman est très touchante. Quant au contexte historique, il n'es pas juste un décor, il est bien exploité pour créer les enjeux du récit.



Je suis très impatiente de lire la suite.

« Chinaman » est décidément une série bien sympathique. Après un premier tome réussi qui proposait une incursion intéressante dans la communauté chinoise du far-west et qui introduisait de jolie façon un personnage principal prometteur, ce 2ème volet vient confirmer la bonne impression du précédent.



« A armes égales » est peut-être même encore meilleur que le 1er tome. On retrouve plein d’ingrédients d’un western classique : la caravane de pionniers qui traverse le pays, le sheriff qui escorte un prisonnier, les bandits sans foi ni loi… A ces éléments très classiques du western, la petite touche asiatique vient apporter une saveur très agréable. On a ainsi droit à de jolis combats au sabre.

Les personnages sont bien brossés et on retrouve avec plaisir des archétypes du genre. Le héros prend une dimension plus humaine, plus attachante.

Le dessin est toujours aussi agréable à l’œil. C’est du très classique mais c’est très bien fait, très efficace, tout comme la colorisation qui fonctionne très bien également.



Avec Chinaman Le Tendre et TaDuc ont créé un très bon personnage récurrent que je prends plaisir à suivre. J’ai hâte de savoir dans quelle situation les auteurs vont le placer dans le prochain tome.

Ce 5ème tome est la suite directe du précédent dans lequel Chinaman sauvait une prostituée. Pour se venger, le « propriétaire » de la prostituée accuse Chinaman de traite de femmes et notre héros voit donc sa tête mise à prix. Tandis qu’il est poursuivi par des chasseurs de prime, sa route croise celle d’une jeune femme de caractère qu’il va escorter.



Difficile de venir après le formidable 4ème tome ! Ce 5ème volet est clairement en-dessous. L’intrigue est très classique et assez anecdotique. Mais bon, il s’agit sans doute d’un tome de transition, la fin annonçant un changement dans la vie de Chinaman.

Et puis, l’histoire reste malgré tout agréable à suivre. Et puis, c’est toujours un plaisir de retrouver Chinaman qui est un superbe héros récurrent. On ne craint jamais pour sa vie, il est bien trop fort, face à d’impitoyables salauds, il n’a même pas besoin d’un flingue, une pirouette kung-fu et un coup de tatane bien senti font l’affaire. Si son intégrité physique n’est jamais menacée on se demande par contre s’il connaitra un jour le bonheur.



Même si ce 5ème tome est un peu moins bon que les précédents, j’ai passé un agréable moment de lecture et c’est avec plaisir que je vais poursuivre la série.

Cette série me plait décidément beaucoup. Chinaman est un superbe personnage qu’on prend grand plaisir à suivre dans chacune de ses aventures. Toujours aussi charismatique, il prend dans ce 3ème volet une dimension plus touchante. Dans ce volet intitulé « pour Rose » notre héros va se retrouver au milieu d’un conflit familial pour la garde d’une petite fille. Au contact de cette dernière, Chinaman apparait plus sensible, plus enclin à laisser parler son cœur. Et puis, il y a des passages assez amusants, ce qui humanise encore d’avantage le héros. L’intrigue est bien menée même si le dénouement est un peu rapide et attendu mais ça fonctionne bien. Quant au dessin, il est toujours aussi chouette. Les paysages enneigés sont magnifiques, les personnages très expressifs. Le trait n’est jamais figé et le découpage est clair et plein d’impact. L’action et les mouvements sont toujours lisibles. C’est du bon travail que font Le Tendre et TaDuc sur cette série.

Un nouvel opus de la série XIII mystery, consacré à Jonathan Fly (Le père adoptif de Jason ). J'ai trouvé le scénario très crédible s'intercalant bien entre les épisodes de la série mère. Le dessin est réaliste.

l'univers de XIII semble inépuisable, du moins la série des "mystery" avec des nouveautés scénaristiques qui enrichissent les personnages.

Avec cet antépénultième album de la série XIII Mystery, Luc Brunschwig et Olivier Taduc permettront aux adeptes de la série historique de se réconcilier avec le dytique consacré à Greenfalls, souvent déconsidéré. Ce onzième album de la série parallèle reste l’exact contrepoint du précédent, consacré à Calvin Wax, tout en rappelant, à son début, Little Jones.



Le scénario est – comme il fallait s’y attendre – particulièrement bien ficelé. Les explications laissées par Brunschwig permettent de saisir le supplément d’âme de cette histoire. Les rapports entre Jonathan et Jason paraissent ici surprenantes tant elles sont… réalistes ! Celles-ci sont d’ailleurs le fil rouge d’un épisode qui se lit avec plaisir et avec un frisson dans le dos lorsque l’on connaît la destinée de Jonathan. Une ellipse particulièrement bien choisie tombera à point nommé. Osé mais bien vu !



Les dessins de Taduc sont réalistes et collent bien avec le ton général de la série historique. Pas d’hésitations, mais de la précision, des couleurs adaptées à l’histoire : tout cela reflète un important travail qui est apprécié à sa juste valeur ! Au-delà des dessins, l’histoire nous permet de composer avec un nouveau personnage qui agit comme une métaphore qui reste pleinement dans le ton de la série.



L’on pourra toutefois regretter que certains personnages attendus n’apparaissent pas ici ou que d’autres (notamment le couple d’aubergistes) n’aient pas été rajeunis ou soient cantonnés à des rôles très secondaires (Zeke). Mais il s’agit là de point de détails. Malgré ses grandes qualités, le scénario fonctionne sur un rythme binaire. S’il semble plus étoffé dans sa première partie, il laisse ensuite la place à l’action, entraînant une accélération trop rapide de la lecture. Mais il s’agit là de la remarque du lecteur déçu de devoir quitter sa lecture arrivée à son terme.



Ce onzième album est donc une réussite. Il n’y a pas à lambiner ni à hésiter. Longuement attendu, il tient toutes ses promesses. Bravo !

Greenfalls est un village paumé des Etats-Unis, il ne s'y passe pas grand chose sauf quand le directeur du FBI décide d'y passer un week-end. Ce qui intéresse tout particulièrement le journaliste Jonathan Fly.



Ce onzième tome de XIII mystéry va donc revenir sur deux personnages phare de la série mère : Jonathan et Jason Fly.

Le scénario est bien construit amenant parfaitement cette sordide histoire du directeur du FBI que l'on trouve antipathique dès le départ. Les personnages sont bien travaillés que ça soit l'obsession de Jonathan au attente du fils. Je trouve cette relation père-fils vraie et émouvante, c'est le véritable fil rouge de l'histoire au final.

Le dessin réaliste est précis et net, s'accordant parfaitement à l'histoire et à la continuité entre les tomes. Du bon travail!

Comment ne pas faire d’éloges de cet album époustouflant. Je n’ai pas lu la série Chinaman (mais l’ai commandé) mais j’ai été bluffé par la qualité de cet épisode qui conclut cette série et que l’on peut entièrement lire indépendamment. Une réussite autant sur le plan graphique que scénaristique. L’une des meilleures BD western que j’aurais pu lire. Un équilibre parfait entre violence et sensibilité.

Cet album de la série XIII mystery est consacré à Jonathan Fly, et il se déroule dans les jours qui ont précédé la nuit du 3 août.

On y retrouve tous les habitants de Greenfalls: Zeke Hathaway, Dwight et David Rigby, mais aussi un nouveau personnage : le directeur du FBI JK Glover, fortement inspiré de John Edgar Hoover.

Cet album offre un éclairage complémentaire sur les événements qui se sont déroulés à Greenfalls et qui ont conduit à l’assassinat de Jonathan Fly.

Mais ce que j’ai préféré, c’est le personnage du jeune Jason Fly, qui est particulièrement attachant.

J’ai également apprécié que les auteurs dressent un portrait tout en nuances de Jonathan Fly, car il n’a pas vraiment le beau rôle dans cet album, et en tout cas beaucoup moins que dans la série d’origine. Il sacrifie clairement son fils à la recherche de la vérité qu’il mène en tant que journaliste. Cela donne une histoire plutôt triste, mais intéressante et bien menée.

Pourquoi avoir attendu aussi longtemps ? Cette BD me faisait de l’œil sur l’étagère et elle a réveillé le tigre …



On n’arrive pas à décrocher de l’histoire, c’est speed, un peu violent, un western moderne vers la ruée de l’or noir.

Des traîtres, des racistes, des puants, des ordures et il y en a beaucoup - Le jeune Matt Monroe est à la recherche de son père Chen Long. Mais qui est cet homme solitaire, malade, en manque d’opium ? Pourquoi toute cette hargne en lui ? Un vrai combattant , le réveil du tigre a sonné et la vengeance est terrifiante !



Cette histoire est la suite d’une longue saga que les auteurs avaient créée il y a vingt ans de cela. « Chinaman », la longue errance d’un chinois, pour cette histoire qui pourra se lire seule, une fin dans un superbe album de 134 pages.

Un dessin toujours aussi vif, un western pour une grande fresque.



« Je suis bien ton fils, Chen Long. Je porte en moi cette violence qui t’a accompagné tout au long de ta vie. »

Bande dessinée dont la montagne d’or est le premier des neuf tomes déjà parus.

Une histoire qui se déroule fin 19ème siècle à San Fransisco et aux alentours avec le débarquement de près de 200000 chinois venus travailler pour un avenir meilleur et en solidaritéavec les anciens restésau pays, enfin c’est ce qu’on leur a vendu.

Des autochtones aux "parrains "de la pègre chinoise, se sont les moins nantis qui triment et payent pour eux mais aussi qui se font dépouiller et meurent au bon vouloir des chefs.

Violence, malversations, meurtres tout y est pour faire de cette histoire un récit prenant, proche des réalités ce ce temps.

Je ne le savais pas quand j'ai abordé cette lecture mais c'est un album qui forme une conclusion à la saga « Chinaman » des mêmes auteurs qui retraçait à travers neuf albums les errances d'un Chinois durant la conquête de l'Ouest sur le sol américain. Il avait quitté en effet son pays natal pourchassé par les fameuses triades.



Le réveil du tigre se situe 20 années après alors qu'il est devenu une ruine humaine de par l’opium et les mauvais souvenirs traumatisants de la guerre de Sécession. Notre héros va se réveiller afin d'aider son fils caché qu'il vient de découvrir d'une ancienne relation. A noter que ce fils fait partie de la fameuse agence Pinkerton pour régler à la manière forte certains problèmes de droit.



Il y a toujours ce thème récurrent d'un plaidoyer pour la justice sans utiliser d'arme à feu. Il est vrai que le sabre est parfois plus efficace. L'intrigue est très facile à suivre et prenante, l'obsession du personnage est palpable, ce qui le rend attachant. Néanmoins, il n'y aura pas de réelles surprises dans ce récit.



Un mot sur le dessin semi-réaliste de Taduc pour dire qu'il reste toujours aussi classique que ce soit pour les personnages ou les paysages. Ce graphisme aide clairement à la fluidité de la lecture.



C'est une belle conclusion en forme de diptyque pour une série qui nous avait plu dans le temps.

Cette fois, la série XIII MYSTERY approfondit l' histoire racontée dans Le Dossier Jason Fly et La nuit du 13 aout.

Nous voilà repartis à Green Fall, ou Jason Fly va rencontrer le pire ennemi de son père...qui n'est autre que le sosie de papier d'un certain J. Edgard Hoover.



Ce récit soulève le tapis sous lequel sont cachées les pires saloperies commises au nom de la "liberté" des États-Unis.



Jonathan Fly, héros américain et journaliste, va le payer de sa vie.

Ce tome de la Bd XIII Mystery s’intéresse à Jonathan fly, c’est à dire à l’enfance de Jason. Une enfance à Greenfalls, dans un bled paumé, où a atterri Jonathan Fly, ancien journaliste de premier plan. Pourquoi est-il là ? Pourquoi cache t-il certaines choses à son fils (adoptif) ? Qu’est ce qui explique les déplacements réguliers dans la région du directeur du FBI (copie conforme de Edgar Hoover) ?

Un directeur du FBI, vantard, grande gueule, suprématiste blanc et absolument dénué de tous scrupules. Une belle ordure quoi...

Jason va découvrir quelques parcelles de vérité, malgré le côté brusque et taiseux d’un son père, qui cherche avant tout à le protéger de trop grands secrets.



Ce préquel se glisse habilement dans la longue histoire de XIII, mais le vrai plaisir provient des dessins de TaDuc, qui offrent une continuité de belle qualité. Un bon épisode pour les fans de la série.