En Willie Hughes, Shakespeare trouva non seulement un instrument d’une extraordinaire finesse pour la présentation de son art, mais aussi l’incarnation visible de son idéal de la beauté, et il n’est pas exagéré de dire qu’envers de jeune comédien, dont les ternes chroniqueurs du temps oublièrent de citer même le nom, le mouvement romantique dans la littérature anglaise a une dette considérable.