Les relations hommes-femmes ? Un thème certes récurrent, mais ô combien passionnant avec une déclinaison infinie d’exemples…
Encore célibataire à plus de quarante ans ? Et pourquoi pas ? Une vie de contraintes et de compromis, non merci, très peu pour moi. Le même homme pendant toute une vie, matin, midi et soir, comme ma tablette de médicaments ? Tout simplement inconcevable. Et pourtant, pas d’homme, donc pas d’amour, pas de famille. Sacré dilemme.
Toutefois, les couches-culottes de mes enfants et celles plus tardives de mon homme à l’âge de l’adénome de la prostate, pas vraiment mon activité favorite…
Retour en arrière avec de merveilleux souvenirs de rencontres inespérées, de jeux interdits, de désirs inavouables sous le regard un peu trop persistant d’un jeune brun ténébreux. L’adolescence, période bénie d’insouciance avec son lot de découvertes et de premiers émois.
Et maintenant ?
Le célibat au terme de trop nombreuses expériences, parfois cocasses, souvent tristes, mais toujours constructives comme celles-ci...
Zia, aime la terre autant que les gens et tu seras une grande archéologue. J'ai confiance en toi, tu feras de grandes découvertes.
La circulation était dense et, en souriant, elle songea qu'elle ne se ferait jamais aux taxis mexicains. Aucun chauffeur ne respectait le code de la route. Lors de son premier séjour, lorsqu'elle avait demandé au conducteur pourquoi il brûlait les feux rouges, il lui avait répondu que s'il s'arrêtait, il ne redémarrerait probablement pas, car personne ne le laisserait passer !
Sauf que...mission impossible pour un hypocondriaque ! Et constat affligeant de sa vraie nature. Celle d'un homme avec toujours un pet de travers, accro à ses pilules "Smarties" de toutes les couleurs, adepte inconditionnel du Docteur House et lecteur chevronné du Larousse Médical.
Avec la ménopause qui pointe le bout de son nez, les bouffées de chaleur et les crises de larmes à répétition, il ne me reste que peu de temps avant de trouver la perle rare qui acceptera de me chérir tout en acceptant de vivre chez lui mais en s'impliquant toutefois dans une relation durable. J'ai longtemps été la maîtresse d'un collègue de bureau. Je sais, c'est mal ! Cette situation bâtarde suppose un certain état d'esprit auquel je ne me suis jamais habituée. Etre seule, le jour de son anniversaire, la Saint valentin et les fins de semaine suppose un certain état d'esprit. J'ai dû poser mon mouchoir sur les dates anniversaires de notre premier baiser, du premier câlin. La seconde roue du carrosse n'a pas droit à tout cela.
Il prit le manuscrit entre ses mains et le contempla longtemps. Il ne s’était pas écoulé un seul jour sans qu'il sacrifie à ce rituel. Le simple fait de le toucher lui avait procuré un plaisir sans limites. Encore quelques jours et il devrait retourner là où était sa vraie place. Il soupira et remit le manuscrit dans le coffre. Il ne doutait pas qu'il y aurait d'autres batailles à mener, d'autres pièges à éviter, de nouveaux ennemis à combattre. Un jour peut-être.
Mais pour l'instant, le monde n’était pas prêt. Il poussa complètement la porte du coffre, confinant ainsi le trésor dans l’obscurité la plus profonde.
La souffrance peut aussi être aussi porteuse d'un sens, qu'elle peut si on le souhaite vraiment nous éclairer sur nous mêmes et sur les autres mais plus important encore, que l'exprimer autrement que par la colère est possible.
Malgré un certain goût pour le Mâle,
Un avenir de célibataire tant bien que Mâle,
Une vie sans amour avec plus de peur que de
Mâle
Un repli de la vie affective bon gré Mâle gré,
Une plongée dans les tréfonds d'un Mâle
imaginaire,
Sans pensée à Mâle !
Un projet de farniente sous les Tropiques avec, au programme, cocktails et séances de bronzage sous le soleil ? Sauf qu'avec lui, pas besoin de maillots et de robes légères, mais des impers durant les deux semaines de mousson non prévues par la météo !
Rupture difficile, mais obligatoire avant le naufrage inévitable dans...
La dépression. Journées léthargiques en pyjama devant les feux de l'amour. Des gens beaux, riches et...malheureux quel réconfort !