La Fée des Grèves ! l’être étrange dont le nom revenait toujours dans les épopées rustiques, racontées au coin du foyer.
Le lutin caché dans les grands brouillards.
Le feu follet des nuits d’automne.
L’esprit qui danse parmi la poudre éblouissante des mirages de midi.
Le fantôme qui glisse sur les lises* dans les ténèbres de minuit.
La fée des Grèves ! avec son manteau d’azur et sa couronne d’étoiles ! (p. 30, Chapitre 5, “Un Breton, un Français, un Normand”).