Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 25/04/1921
Mort(e) à : Évian-les-Bains , le 01/04/2009
Né(e) à : Paris , le 25/04/1921
Mort(e) à : Évian-les-Bains , le 01/04/2009
Biographie :
Paul Sala, nom de plume de René Mérillon, est un écrivain français, auteur de roman policier.
Policier jusqu'en 1976, année où il prend sa retraite, il utilise le nom de sa femme comme nom de plume.
En 1970, il publie son premier roman, intitulé "Le Savoyard" et mettant en scène un personnage atypique surnommé le Savoyard, un montagnard passionné de pêche, qui devient le héros de quarante-deux romans publiés entre 1970 et 1983 dans la collection Spécial Police au Fleuve noir.
Outre ses romans, il a rédigé un ouvrage: "Le Roy des Coquillards" (1971), une histoire aventureuse de François Villon dans la collection Grands Succès.
Ses romans sont au carrefour des genres policier, aventure et espionnage. Il a été aussi peintre.
+ Voir plusPaul Sala, nom de plume de René Mérillon, est un écrivain français, auteur de roman policier.
Policier jusqu'en 1976, année où il prend sa retraite, il utilise le nom de sa femme comme nom de plume.
En 1970, il publie son premier roman, intitulé "Le Savoyard" et mettant en scène un personnage atypique surnommé le Savoyard, un montagnard passionné de pêche, qui devient le héros de quarante-deux romans publiés entre 1970 et 1983 dans la collection Spécial Police au Fleuve noir.
Outre ses romans, il a rédigé un ouvrage: "Le Roy des Coquillards" (1971), une histoire aventureuse de François Villon dans la collection Grands Succès.
Ses romans sont au carrefour des genres policier, aventure et espionnage. Il a été aussi peintre.
Source : http://action-suspense.over-blog.com/
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Citations et extraits (7)
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L'eau clapota en venant heurter la proue du bateau sans étrave.
Rosseels jura, blasphéma car son hameçon ferrant malencontreusement un nénuphar, il venait de casser sa ligne. [.........]
Hardouin écartait les tiges de la main, se servait de sa rame comme d'une pagaie, piochant à bâbord, à tribord, s'aspergeant les genoux.
La barque s'enlisa brusquement dans quelque chose de mou mais de résistant.
Le commissaire se pencha, creusa l'eau de sa main, fit :
- Merde !
Deux yeux le regardaient, deux yeux vitreux, appartenant à la tête d'un homme qu'il ne connaissait pas.
Rosseels jura, blasphéma car son hameçon ferrant malencontreusement un nénuphar, il venait de casser sa ligne. [.........]
Hardouin écartait les tiges de la main, se servait de sa rame comme d'une pagaie, piochant à bâbord, à tribord, s'aspergeant les genoux.
La barque s'enlisa brusquement dans quelque chose de mou mais de résistant.
Le commissaire se pencha, creusa l'eau de sa main, fit :
- Merde !
Deux yeux le regardaient, deux yeux vitreux, appartenant à la tête d'un homme qu'il ne connaissait pas.
- Comprenez-moi, docteur, dit Perkins d'un timbre asexué. Je n'éprouve aucun plaisir à les étrangler. Ce n'est pas moi qui commande. Mes gestes semblent dictés par une force incontrôlable, une force marginale, étrangère, comme venue me rendre visite, s'installant chez moi et prenant empire sur mon conscient jusqu'à ce que je devienne son esclave.
Comment expliquez-vous cela, docteur ?
Comment expliquez-vous cela, docteur ?
- mon client est muet comme une tombe.
comment dans ces conditions, lui éviter d, y
descendre?
comment dans ces conditions, lui éviter d, y
descendre?
- quand l, appareil judiciaire se met en
branle, aucun magistrats ne peut arrêter
son cours, pas plus qu'un éclusier l,
inondation.
branle, aucun magistrats ne peut arrêter
son cours, pas plus qu'un éclusier l,
inondation.
Moi, j'étais émoustillé et John Morrisson ne s'y est pas trompé qui, tout le long du parcours et malgré le brouillard, a conduit d'une main. Ce qui fait qu'à la clairière...
- ...Il avait les deux mains libres !
Elle opina du chef.
- Je n'ai pas su résister...
Sa voix ne devint plus qu'un murmure :
- A vrai dire, je n'ai pas résisté du tout.
- ...Il avait les deux mains libres !
Elle opina du chef.
- Je n'ai pas su résister...
Sa voix ne devint plus qu'un murmure :
- A vrai dire, je n'ai pas résisté du tout.
La campagne ondulait, ses herbages tachetés de dômes encore pelés mais peuplés des bonnes laitières du Staffordshire, évadées des étables où l'hiver les avait claustrées.
Les faibles rayons du soleil printanier réchauffaient les brins de limaille verte, herbe rase, à fleur de terre, jusqu'à la rencontre d'un boqueteau où les rameaux effeuillés tremblaient sous l'effet d'une légère brise.
(incipit).
Les faibles rayons du soleil printanier réchauffaient les brins de limaille verte, herbe rase, à fleur de terre, jusqu'à la rencontre d'un boqueteau où les rameaux effeuillés tremblaient sous l'effet d'une légère brise.
(incipit).
- Tu peux y aller, Ange, c'est franc, assura Théo.
Le Corse entra dans la cabine, ramassa le combiné pose sur la tablette des annuaires.
- Oui, annonça-t-il.
Il reconnut l'accent andalou.
- Muy Bien, Ange. Viens me prendre au tabac de la porte Clichy, presto !
Le Corse entra dans la cabine, ramassa le combiné pose sur la tablette des annuaires.
- Oui, annonça-t-il.
Il reconnut l'accent andalou.
- Muy Bien, Ange. Viens me prendre au tabac de la porte Clichy, presto !
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