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3.97/5 (sur 908 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Londres, Royaume Uni , le 04/06/1955
Biographie :

Paul Stewart né en 1955 à Londres est un écrivain anglais

Il habite aujourd'hui à Brighton avec son épouse et ses deux enfants. Il a étudié l'anglais à l'université de Lancaster et a suivi des cours d'écriture créatrice à l'université d'East Anglia. À la fin de l'année, sa première histoire courte a été éditée.

En 1979, il est parti à l'étranger et a voyagé autour de la Grèce, puis il a enseigné en Allemagne pendant trois années et a ensuite voyagé au Sri Lanka, en Inde, en Thaïlande, en Australie. En 1984, il a enseigné dans une école de langues à Brighton, ce qu'il a continué pendant les six années suivantes. En 1990 il a cessé d'enseigner pour écrire à plein temps et s'occuper de son fils.

Source : Wikipédia.fr
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Citations et extraits (53) Voir plus Ajouter une citation
J'ai entendu des gens s'exclamer qu'ils préféreraient être morts - des lavandières épuisées travaillant de nuit dans des sous-sols humides, des mendiants déguenillés près du palais de justice, d'élégantes demoiselles repoussées lors d'un bal de la haute société... Mais s'ils avaient vu ce que j'ai vu par cette froide nuit brumeuse, ils auraient vite compris la sottise de leur parole.
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- L'histoire n'est pas terminée, dit-il d'une voix tremblante d'émotion. Et nous avons toute la nuit pour lui donner une fin heureuse.
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Avant que Jean-Michel ait eu le temps de poser la moindre question, l'horloge, au-dessus de la cheminée, émit un bruit bizarre : une espèce de toux - comme si un tout petit animal s'éclaircissait la gorge. Il y eut ensuite un raclement de bottes et une porte minuscule s'ouvrit. Un elfe, minuscule lui aussi, vêtu d'un caleçon pas très propre, un élastique noué autour de la taille, plongea dans le vide.
- Il est cinq heures ! hurla-t-il d'une voix stridente.
Et aussitôt son élastique le remonta et la porte se referma sur lui.
- Cinq heures? s'étonna Randalf, mais il fait nuit !
La porte s'ouvrit une seconde fois et l'elfe passa la tête à l'extérieur.
- Peut-être qu'il est trois heures ou un truc comme ça, dit-il avant de disparaitre à nouveau.
- Cet elfe retarde encore, grommela le magicien. Il a sans doute besoin d'un bon nettoyage.
- Je suis d'accord, commenta Véronica. Y'a qu'à voir son caleçon.
- Véronica, tais-toi, dis Randalf
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Une odeur. Une odeur délicieuse. Le parfum le plus merveilleux du monde entier.
- Florentins ! murmura Fergus.
Mme Bonheur faisait des gâteaux toute la journée : des croissants dès le matin, des cakes et des pâtisseries pour le déjeuner ; des brioches, des viennoiseries et toutes sortes de tartes, l'après-midi. Mais ce n'était pas une odeur de croissants qui emplissaient les narines de Fergus. Ni de beignets à la confiture de myrtille... C'était le parfum inimitable de noisettes, de chocolat, de caramel du plus merveilleux des gâteaux.
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La meilleure conduite à tenir sur les quais de la Mitraille, c'est d'arriver et de repartir aussi vite qu'un furet qui file entre les jambes d'un gros fermier.
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- Tu voulais savoir comment c'est d'être accueilli, de sentir qu'on est aimé et qu'on a manqué à quelqu'un ?
Le capitaine acquiesça. une étrange expression était peinte sur son visage.
- Entre, lui dit Fergus. Et tu le sauras.
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Oui, tout le monde connaissait Fergus, le fils de Lucia Bonheur, qui parfois aidait sa mère à la boulangerie-pâtisserie Beiderbecker. Quand ils l'apercevaient, les voisins de Fergus pensaient à la vitrine emplie de cornets à la crème, de macarons au chocolat, de tartes à la framboise ou encore - c'était le meilleur de tous les gâteaux - de florentins Archiduc Ferdinand. Pas étonnant qu'ils soient souriants.
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La vue, depuis la chambre mansardée, était magnifique : c'était un véritable paysage de toits, de cheminées, de flèches dressées, dans un patchwork de gris, de mauves et bruns orangés, niché au pied des montagnes.
Fergus attendit patiemment que le soleil se couche et qu'à l'horizon le ciel se strie d'orange et de rouge. Lentement, la lumière du jour faiblit et les étoiles s'allumèrent.
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Jean-Michel n'en croyait pas ses yeux. D'abord, il n'y avait pas une lune dans le ciel, mais trois : une violette, une jaune, et une verte. Et le paysage ! Ca ne ressemblait à rien de ce qu'il avait vu jusqu'à présent : aux abords d'une immense forêt vert fluo, s'étendait une vaste lande caillouteuse ; et dans le lointain, s'élevaient de hautes montagnes fumantes.
Il se rendit compte par la même occasion qu'il n'était pas sur la terre ferme mais sur une sorte de bateau.
Et il y en avait cinq, non, six autres semblables qui flottaient sur un lac... non, c'était impossible. Jean-Michel ferma les yeux et les rouvrit.
Il n'y avait pas de doute : le lac était suspendu dans les airs et ne tenait à rien.
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- Un jour, je quitterai la cité et je voyagerai, songea Fergus à voix haute, par-delà les montagnes, ou par-delà les mers.
"La mer, la mer", semblait murmurer le vent.
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