Citations de Paulo Coelho (4377)
J'adore surprendre les gens par des opinions absurdes et déplacées.
Beaucoup de gens disent : le temps guérit tout. Mais ce n'est pas vrai.
Apparemment, le temps ne guérit que ces bonnes choses que nous aimerions garder pour toujours. Il nous dit : «Ne te laisse pas illusionner, voilà la réalité.»
J'aime et personne ne peut me retirer cela.
Nous ne choisissons pas nos vies, mais nous décidons quoi faire des joies et des tristesses que nous recevons.
Faire confiance à celui qu'on aime donne toujours de bons résultats.
La tristesse a duré quelques jours, ou quelques semaines, je ne me souviens pas bien. Mais le simple fait de ne pas m'en souvenir dit déjà une chose très importante : c'est passé.
Mais nous ne pleurons plus – sauf dans la salle de bains, quand personne ne nous entend – et nous ne sourions plus – sauf à nos enfants. Nous ne montrons pas nos sentiments parce que les gens pourraient nous juger vulnérables et en profiter.
Tout le monde n'a pas besoin d'être heureux en permanence. D'ailleurs, personne n'y parvient. Il faut apprendre à se colleter avec la réalité de la vie.
Alors je me rends compte que des mots comme « optimisme » ou « espoir », qu'on lit dans tous les livres qui essaient de nous rassurer et de nous préparer pour la vie, ne sont que cela : des mots.
Il avait tout , donc pas de voyante c est tout!!
L'amour est la force qui transforme
l'âme du monde et la rend meilleure.
Le désir profond, le désir le plus réel,
c'est celui de se rapprocher de quelqu'un
Dès lors commencent à se produire des réactions,
l'homme et la femme entrent en jeu, mais ce qui arrive avant
- l'attirance qui les a unit - est impossible à expliquer.
C'est le désir intouchable, à l'état pur.
En ce moment, je suis trop seule pour songer à l’amour, mais je dois me persuader que cela va passer, que je trouverai l’emploi qui me convient, et que je suis ici parce que j’ai choisi ce destin. Les montagnes russes, c’est ma vie. La vie est un jeu violent et hallucinant; la vie, c’est se jeter en parachute et prendre des risques, tomber et se relever, c’est de l’alpinisme, c’est vouloir monter au sommet de soi-même et être insatisfait et angoissé quand on n’y parvient pas. (p.61)
Mais, dans le fond de son coeur, il savait que c'était loin d'être sans importance. Et que les bergers, comme les marins, ou les commis voyageurs, connaissent toujours une ville où existe quelqu'un capable de leur faire oublier le plaisir de courir le monde en toute liberté.
Être homme, c’est avoir des doutes, et pourtant poursuivre son chemin.
Plus tu te connaîtras, mieux tu comprendras le monde.
La sagesse, c’est connaître et transformer.
Elle commence à faire une liste de choses qui semblent communes à tous ceux qui ont déjà visité ce qu’elle appelle « l’enfer ». L’incapacité à se lever de son lit. Les tâches les lus simples qui se transforment en efforts herculéens. La culpabilité de n’avoir aucune raison d’être dans cet état, alors que tant de gens dans le monde souffrent vraiment.
On confond normalement l'élégance avec la superficialité et l'apparence. Rien n'est plus faux. [...] L'élégance n'est pas une qualité extérieure, mais une partie de l'âme qui est visible aux autres. [...]
Elle n'est pas dans les vêtements que nous portons mais dans la manière dont nous les portons.
Elle n'est pas dans la façon dont nous saisissons l'épée, mais dans le dialogue qui peut éviter une guerre.