Citations de Paulo Coelho (4377)
Qu'est-ce qui est le plus important dans cette vie : vivre ou faire semblant d'avoir vécu ?
ILs n'avaient pas trouvé ce qu'ils cherchaient, parce qu'ils avaient emporté avec eux, outre leurs bagages, le poids de leur échec passé.
Il est inutile de parler d'amour, car l'amour possède sa propre voix, et parle de lui-même.
Les choses simples sont les plus extraordinaires et seuls les savants peuvent les voir.
Il eut soudain le sentiment qu'il pouvait regarder le monde soit comme la malheureuse victime d'un voleur, soit comme un aventurier en quête d'un trésor.
C'est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante.
Il essayait de vivre ce moment avec les leçons de son passé et les rêves de son futur.
Un guerrier fait confiance aux autres parce que, d'abord, il a confiance en lui.
Laisse croire à ton ennemi que tu ne tireras pas grand avantage de ta décision de l'attaquer ; de cette manière tu diminueras son enthousiasme.
J'en fais partie moi aussi de cette oeuvre invisible.Et comme eux,tout en étant d'ailleurs je suis d'ici.
(Irène Frain)
Onze minutes. L'axe autour duquel le monde tournait se résumait o onze minutes à peine
Comme il est facile d'être difficile.
Tu n’es plus ici. Il est temps de partir pour revenir au présent
P244 : "S'avez-vous pourquoi j'ai réussi à montrer mon talent ? A cause de quelque chose dont je n'aurais jamais imaginé que cela arriverait dans ma vie : je suis tombé amoureuse d'une femme....Une femme qui, par sa douceur et sa rigueur, a réussi à envahir mon âme en libérant ce qu'il ya de pire et de meilleur dans les souterrains de l'esprit."
L'homme a besoin de ce qu'il y a de pire en lui pour atteindre ce qu'il a de meilleur en lui.
Le défi n'attend pas. La vie ne regarde pas en arrière. Une semaine, c'est une fraction de temps plus que suffisante pour savoir si nous acceptons ou non notre destin.
Nous sommes responsables de l'Univers, parce que nous sommes l'Univers.
Il se demanda quel était le motif de son existence, et n'obtint pas de réponse.
Il se demanda où il devait se rendre, et comprit qu'il était cerné.
Le lendemain, il ferait demi-tour et se livrerait, bien que la peur de la mort fût revenue.
Il tenta de se réjouir puisqu'il lui restait quelques heures à vivre. En vain. Il venait de découvrir que l'homme a rarement le pouvoir de prendre une décision.
Les ailes de la mort ont frôlé mon visage aujourd'hui, et elle frappera à ma porte demain, ou un peu plus tard.
dans les steppes on emploie toujours le mot bleu pour décrire le ciel, même s’il est gris, car on sait qu’au-dessus des nuages, il demeure bleu.