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Critiques de Peter Härtling (22)
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Ben est amoureux d'Anna

Sur plusieurs sites, on explique ce qu'est le penchant amoureux, aux enfants et le (tomber amoureux!..) un accident délicieux et douloureux...





Ben a 9 ans et demande à son grand frère :

"- C'est comment, quand on est amoureux?

- Je la connais?

- Non! Ben a presque crié.

- Eh bien, quand on est amoureux, on pense tout le temps à la fille qu'on aime. C'est comme si on avait des coliques. Vraiment!"





Quand Trudi, le cochon d'Inde, est heureux, il siffle en jouant avec Ben. Lui est heureux et pas moi, se désole Ben, en pensant à Anna...





Sa pâleur, ses longs cheveux noirs, et ses yeux bruns, "immensément tristes". Anna est nouvelle dans la classe et venait de la Pologne...

Personne ne veut lui parler, les filles ne voulaient pas jouer avec elle...





En voulant lancer le ballon à Anna, toute seule dans la cour de récréation, Ben la cogne au front.

Un accident est si vite arrivé...

"Anna lui tournait le dos. Ses joues étaient toutes sales. Elle avait essuyé ses larmes avec ses mains. Ses yeux paraissaient plus tristes que jamais..."





Ben bredouille et veut s'excuser.

- Ce n'est pas grave.

- Mais, tu as pleuré, fit Ben.

- Parce que vous ne m'aimez pas!

- Mais si, moi je t'aime bien!

Elle le regarda, avec ses grands yeux si tristes...

Étonnée, mais avec un sourire si doux...





Cette fois, c'est un "Ben confus, qui pleure, en hurlant comme une sirène... " pendant qu'Anna, désolée, essaie de le réconforter...





Ben va trouver le courage d'écrire une lettre à Anna, et va se morfondre en attendant une réponse, jusqu'à ce que, devant toute la classe, Anna...





Et Vous?

Vous vous souvenez de votre premier émoi, votre premier amour d'enfant? Comment était-il/elle?

Il avait l'air si bête et si gauche... Elle ne faisait que parler... jusqu'à ce qu'il/ elle (ou Vous?) prenne votre petite main, dans la sienne et la serre fort, très fort..





"Bang, Bang!

Quand j'aperçois des enfants

Se poursuivre en s'amusant.

Bang bang, je me sens le coeur serré

Bang bang, je me souviens

Bang bang, tout me revient" . Sheila.
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Oma, ma grand-mère à moi

Kalle a cinq ans quand ses parents meurent dans un accident de voiture. Il part vivre chez sa grand-mère, Oma (« mamie » en allemand), qu’il ne connaît pas vraiment bien, puisqu’il ne la voyait qu’une ou deux fois par an avant cela. La vieille dame de 67 ans et le petit garçon vont devoir apprendre à vivre ensemble, malgré le fossé des générations qui les sépare. Kalle va devoir surmonter sa tristesse et Oma devra ré-apprendre à vivre avec une seconde personne. Le petit garçon s’adapte tant bien que mal, ne comprenant pas toujours les réactions de sa grand-mère, parfois un peu vieux jeu. Oma fait ce qu’elle peut pour s’adapter au monde de Kalle et se calquer aux modifications de la société actuelle, qui n’est pas celle dans laquelle elle a eu l’habitude de vivre. Un vrai lien d’amour va se tisser entre Kalle et Oma.



Ce roman est découpé en petits chapitres et dans chacun d’eux on découvre une scène de vie entre les deux personnages. La narration est externe, mais c’est le point de vue du petit garçon que l’on perçoit le plus. Puis, à chaque fin de chapitre, un ou deux paragraphes, apparemment tirés d’une sorte de journal intime (ou directement de la tête) d’Oma nous sont montrés. C’est finalement ce contraste et cette comparaison entre les deux textes dans chaque chapitre qui est le plus intéressant, par rapport au récit lui-même.





En effet, je n’ai finalement pas plus accroché que ça au récit et aux anecdotes sur la vie des deux personnages qu’on y trouve. Le contraste entre les générations est intéressant, mais l’écriture ne m’a pas emportée. On passe trop facilement du coq à l’âne dans les dialogues comme dans la narration. De plus, l’édition que j’ai eu entre les mains n’était pas très bien relue, puisqu’il y a eu beaucoup d’erreurs de typo entre les espaces de dialogues et la narration. Beaucoup de paragraphes de narration commençaient par le fameux tiret qui caractérise les dialogues. Petite faute qui trouble la lecture au final, surtout pour des jeunes qui en sont encore à apprendre les signes à repérer dans un livre pour le lire correctement ou même écrire eux-mêmes comme il faut.



C’est donc le petit texte sur les pensées d’Oma à chaque fin de chapitre qui m’a permis de rester pleinement dans le récit et de l’apprécier à sa juste valeur. Dans chaque chapitre on assiste à un moment de vie entre Kalle et sa grand-mère avec un certain point de vue. On s’aperçoit dans ces moments de vie que la grand-mère a l’air assez sévère, parfois colérique pour rien et qu’elle ne comprend pas toujours le monde dans lequel vit son petit-fils. Puis, grâce aux quelques paragraphes finaux sur ses pensées, on comprend que ce que l’on a perçu auparavant ne reflète pas la réalité de ce que voudrait faire passer Oma. Par exemple, quand Oma gronde son petit-fils pour une bêtise en lui donnant une certaine raison, on s’aperçoit par la suite que la raison n’était pas la vraie.



Pour découvrir la suite de la critique, rendez-vous sur notre site !
Lien : http://lebazarlitteraire.fr/..
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Béquille

Ce livre est une belle histoire d'amitié entre un homme blessé physiquement et moralement et un enfant. Tout deux sont survivants de la seconde guerre mondiale. Béquille a perdu une jambe et Thomas le jeune garçon, sa mère. Grâce à Béquille cet homme courageux d'une trentaine d'années, Tom (Thomas) va vivre une grande aventure et un voyage épuisant pour retrouver sa mère, mais un voyage riche en enseignements.

J'ai aimé la lecture de ce beau roman.
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Oma, ma grand-mère à moi

QU'elle jolie histoire! émouvante, rigolote!
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Freuden des Lesens : Ben liebt Anna

Ben est amoureux d'Anna. Je l'ai lu en français - même si ma correspondante allemande me l'a offert en version originale par la suite - et je garde le souvenir d'une très belle histoire de premier amour d'enfance.
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Hölderlin

Le destin d'Hölderlin est exceptionnel car sa carrière de poète et philosophe a été brisée à l'âge de 36 ans: il a alors sombré dans la folie. Peter Härtling a écrit une biographie détaillée de ce génie fulgurant.



« Hölder » suivit des études pour devenir pasteur, mais ensuite abandonna cette voie. Il fit la connaissance de Schiller, Hegel, Schelling – rien que ça. N'ayant pas encore acquis de la notoriété, il vivota notamment dans une fonction de précepteur. La courte période qui commence en 1796 constitue le sommet de sa vie, et ce livre la raconte admirablement: il rencontre à Francfort Susette Gontard, la mère de son jeune élève Henry (dans le roman "Hypérion", elle sera nommée « Diotima »). Un amour intense, mais peut-être platonique, qu'il vit alors que les armées françaises "se promènent" en Allemagne. Ce lien secret finira par être découvert et, dès 1798, le mari chassera Hölderlin. Celui-ci n'a alors devant lui que quelques années, pendant laquelle il écrit beaucoup, notamment ses poésies les plus fameuses.



Hölderlin n'est pas un auteur facile, et certaines de ses poésies sont assez obscures. Mais l'homme dévoilé par Peter Härtling est attachant. Sa romance avec Susette pourrait être le sujet d'un très beau roman. En tout cas, cette biographie se lit très agréablement.

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Schubert

Le Schubert de Peter Härtling n'est pas une nouvelle biographie du musicien viennois, mais plutôt une tentative pour restituer le chant Schubertien "approche toujours incertaine" à partir d'images, (les dessins de Moritz von Schwind), et d'évocation musicale, œuvres pour piano seul ou avec voix, (ce qu'on appelle le «Lied», ce théâtre intime) et de donner à écouter cette voix singulière. Une musique corporelle apparaît à Peter Hartling, et il en dessine ainsi les contours : «j'entends ce que je vois et je vois ce que j'entends». Ce parcours dans l’œuvre de Schubert se constitue autour de douze moments musicaux qui sont autant d'ondes d'étrangeté ou de douleur se répercutant sur le musicien et rythmant les étapes de sa courte existence. Hartling, en poète qu'il est, marche avec le musicien, sent son corps, l'accompagne dans les lieux qu'il a habités, devenus partie de sa mémoire, et pour donner une assise à ce «jeu de piste» mental, il y ajoute un roman, construit à partir d'éléments biographiques, tissés de multiples voix. Précédant parfois Schubert, il lui fait se demander où aller ?, comment envisager l'avenir ? et, sachant que tout en lui est présent, que les âges de la vie se chevauchent, comment transmettre les pulsations de son inquiétude ? Ainsi Schubert se revoit-il, tour à tour, chanter pour sa mère, les mains de celle-ci posée sur sa tête ; jouer, à 16 ans, les vieillards ; être tourmenté par les amours impossibles avec Thérèse, et plus tard avec Caroline ; revivre l'éternel conflit avec le père qui veut faire de lui un maître d'école ; ou encore avoir la prescience d'une vie brève, trop entouré, déjà, de morts (depuis sa petite enfance puisque sa mère aura 14 enfants, dont quelques uns seulement survivront). En vivant de la sorte, dans le trop peu, la disparition, les mots et leur fadeur ne parviennent pas à consoler ses errances. En lui, c'est le chant qui domine ; composant dès que cela lui est possible, avec ou sans piano. Le langage des autres, il l'accueille, quelles que soient l'indigence et la banalité des vers, en se projetant dans ses «Lieder», à commencer par «Marguerite au rouet», sorte de journal intime de la perte amoureuse, «cet arpent d'âme» écrit Härtling. C'est donc la musique seule, sorte de nostalgie pacifiée, qui en est la consolatrice. Il ajoute : « c'est là que les trouvailles qui toujours se nourrissent à la fois de la vie et de la mort jaillissent et montent en graine». Un jour, son ami Schober lui demande : «qui t'inspire ces chants ?» ; par l'intermédiaire du Lied, Schubert répond curieusement : «il nous ouvre un ciel». Il passe ainsi constamment d'un monde musical à l'autre, du majeur au mineur, et inversement, cherchant la forme qui convient, le juste rapport entre émotion et texte, imaginant un lieu où tout s'ordonnerait en pures mélodies. De ce cosmos harmonique rêvé, on passe aux Schubertiades : les soirées conviviales, animées par Schubert pour quelques amis, et où ce dernier finit par se sentir de plus en plus étranger. Ce n'est que lorsqu'il découvre les poèmes de Wilhem Müller qu'il retrouve le chant. Deux frères de solitude se rencontrent alors, donnant deux cycles de Lieder : «la belle meunière» et «le voyage d'hiver» : «Ce Müller en savait autant que lui sur la glaciation entre les hommes», écrit Härtling. Les proches de Schubert ne comprennent pas l'atmosphère sombre des Lieder du «voyage d'hiver», cette marche solitaire du voyageur, dans un paysage sans repère, insensé. Schubert, alors au seuil de la mort, est pourtant au cÏur de son expérience intime : son rapport aux autres ne passe plus que par la musique ; «il compose et ne vit qu'accessoirement», écrit Härtling. Il a encore le temps de découvrir Heinrich Heine et de mettre en musique six poèmes, dont l'hallucinant «Doppelganger» (le double de lui-même qui marche à ses côtés). Il renouvelle ainsi sa vision en atteignant un degré de décantation que le musicologue André Tubeuf annonce comme son testament et le début de l'expressionnisme musical. C'est une grande réussite de Peter Härtling que de traduire ainsi les abîmes intérieures du musicien, comme il l'avait déjà fait avec Hölderlin. Le texte français de Claude Porcell en a rendu toutes les modulations ; et ses traductions des Lieder en restituent toute la justesse de ton et la simplicité.



Joël Vincent
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Ben est amoureux d'Anna

Anna est nouvelle dans la classe de Ben. Elle est différence : elle porte des robes et a les yeux d'un marron profond. Elle est allemande mais a toujours vécu en Pologne. Ben aime Anna.

Lisez la suite en cliquant sur le lien !
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On l'appelait Filot

Ecrit en 1973, ce petit livre jeunesse dénonce le traitement subi par les enfants différents. Ceux qui sont peu attachants, pas très beaux, bizarres, colériques, qu'on ne comprend pas.



Filot est un de ces enfants, le lecteur s'y attache, tout comme certains personnages, mais pas assez, pas au stade de pouvoir le sauver, et Finot finira par disparaitre, broyer par le système, oublié de tous.



C'est un livre fort et touchant, certains passages sont boulversants, comme le moment où Finot comprend que le médecin qui a déjà adopté 3 enfants, ne l'adoptera pas lui, et qu'il commence à lacher prise et à perdre pied.



Un "petit" roman sans concessions ni fioritures



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Bozena

A travers la vie de celle qui fut la secrétaire fidèle de son père (mort dans un camp de prisonniers en 1946) Peter Hardling nous offre un très beau portrait de femme et nous raconte, avec beaucoup d'émotion, quelques pages de l'histoire compliquée et douloureuse de son pays. Après les Accords de Munich les troupes allemandes sont entrées en Tchécoslovaquie et Reynard Heydrich y a fait fermer les universités. Quarante ans après ces évènements, Bozena, une vieille femme qui vit seule dans sa cahute se souvient...

A dix-huit ans, elle doit interrompre ses études de droit et elle est engagée comme secrétaire par un avocat, un vieil ami de la famille. Quand celui-ci prend sa retraite elle est maintenue à son poste par son successeur, un avocat allemand dont elle tombe rapidement amoureuse. Cet homme droit et intègre n'hésite pas à apporter son aide à tous ceux qui entrent dans son cabinet, qu'ils soient allemands, tchèques ou juifs. Cette attitude contraire aux doctrines nazies lui vaut une terrible sanction : il est envoyé au front et le cabinet est fermé.

A la fin de la guerre, la Tchécoslovaquie est reconstituée et des tribunaux militaires sont créés pour juger les criminels nazis et leurs complices. Tous les Allemands sont chassés de la région, leurs biens réquisitionnés et redistribués. Bozena, l'ex-collaboratrice d'un allemand, devient alors pour tous une "pute à nazis". Bien qu'innocente de tout ce dont on l'accuse, elle est arrêtée, persécutée et condamnée à de pénibles travaux : remettre des sols en état, lessiver des murs, travailler la terre, déblayer la neige ... "elle trime à n'en plus pouvoir". Cruelle dérision : en tant que Tchèque elle était victime des Allemands qui l'ont empêchée de poursuivre ses études, les Allemands vaincus, ce sont les Tchèques, ses compatriotes qui l'ont condamnée!

Pour s'échapper de ce quotidien désespérant elle tient un journal intime sous la forme de lettres qu'elle adresse (sans jamais les expédier) à son ancien patron, son "Cher Docteur" dont elle ignore ce qu'il est devenu. C'est avec lucidité, amertume mais aussi une pointe d'humour qu'elle raconte les évènements difficiles qu'elle doit surmonter dans sa nouvelle vie.

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Béquille

Un beau récit sur l'amitié entre un vieil homme éclopé et un enfant à la fin de la guerre.
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Paul, l'enfant de l'immeuble

L'auteur allemand met le doigt là où ça fait mal avec finesse et sans jugement.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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Oma, ma grand-mère à moi

Une histoire un peu vieillotte où il ne se passe pas grand chose et où je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages et à l'histoire.

Le décalage des générations auraient pu être intéressant, amusant ou dramatique, mais là il n'y a rien de tout ça : on effleure ces sentiments sans jamais les atteindre.

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Oma, ma grand-mère à moi

Même si nous n'avons pas affaire à de la haute littérature ici, j'ai souvent fait lire ce court roman à mes élèves de CM2 car il permettait d'aborder bien des faits de société et servait de point de départ à des discussions parfois d'une grande richesse. Pas de véritable intrigue mais une succession de tableaux du quotidien et un regard subtil sur les relations entre une grand-mère et son petit fils.
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Paul, l'enfant de l'immeuble

L'immeuble est sympa,peuplé de gens serviables,avec des situations familiales différentes.

Mais je trouve que trop c'est trop..

Les parents travaillent,mais ensuite s'ajoute la maladie,le divorce...l’accumulation des situations n'est pas convaincante, notre ado est balloté chez les uns chez les autres.

Un peu invraisemblable!

Par contre la description des sentiments de Paul au sujet du divorce de ses parents est bien vue.
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Paul, l'enfant de l'immeuble

Si vous souhaitez un roman avec du suspense, ce roman n’est pas fait pour vous. Et pourtant, je l’ai vraiment apprécié. La lecture est agréable pour ce que l’on peut ressentir, de la solitude à la compassion. Paul vit dans un immeuble. Son père et sa mère s’absente souvent pour leur travail et le laisse seul sous la surveillance des voisins que l’on découvrira un par un dans ce roman. On ressent la solitude de Paul dans tout ce roman, son mal-être à force de devoir aller dormir chez plusieurs de ces voisins alors qu’il aurait juste besoins de rester chez lui, d’avoir son chez soi. Mais Paul a surtout besoin de l’amour de ces parents. Ce livre aborde plusieurs thèmes intéressants : le divorce, l’entraide, la solitude, l’amitié. Une très bonne fin à mon goût mais je ne vous en dis pas plus et je vous laisse le découvrir.
Lien : http://ladyh.canalblog.com/a..
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Paul, l'enfant de l'immeuble

Paul est un enfant un peu délaissé par ses parents qui voyagent beaucoup et de ce fait est régulièrement recueilli par les voisins de l’immeuble. Il souffre de cette situation et devra faire face durant ce récit au divorce de ces parents. Durant ce difficile passage, il va séjourner encore plus souvent chez les voisins qui vont beaucoup l’aider. Cela passe par la baisse des résultats scolaires, la fuite… En arrière plan, il y a une petite enquête sur le vol de vélos que Paul va résoudre. La fin est un peu nul je trouve car cela se termine sur un coup de fil où sa mère lui annonce qu’elle ne veut pas de lui et que son père aura sa garde. Mais dans l’ensemble le livre est bien fait et vaut le coup.
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Ben est amoureux d'Anna

Chassé-croisé amoureux de pré-ados
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On l'appelait Filot

Filot est un enfant pas comme les autres; incurable, disent les médecins; il va de foyer en clinique; son comportement est pénible mais il est tout de même attachant et a une voix d'or
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Paul, l'enfant de l'immeuble

Paul n'a pas envie de fêter son anniversaire seul avec les habitants de son immeuble. Sa mère est aux Etats-Unis pour son travail et son père est en voyage. L'enfant est confié à la garde de la concierge, puis à un autre habitant.



Peter devient l'enfant de l'immeuble. Il souffre de l'absence de ses parents et s'interroge sur leur absence. Il découvre aussi des styles de vie différents au contact des autres.



Un roman qui parle de divorce, de maladie, de solidarité et d'entraide aussi.



Un romancier allemand à découvrir qui a marqué la littérature de jeunesse avec des titres plus anciens comme Oma ou Béquille.


Lien : http://lespapotisdesophie.ha..
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