Produire un film, c’était la promesse d’un merdier sans nom, avec des difficultés à tous les étages. Une météo récalcitrante, des accidents, des crises de nerfs, des tracasseries avec la bureaucratie locale, des dialogues à récrire, des acteurs névrosés, jaloux, insupportables, égocentriques, alcooliques, ou toujours en retard.