Une rangée de crânes servait de presse-livres et de décoration sur une longue étagère du salon. On les avait méticuleusement nettoyés et peints avec une laque grise qui leur donnait un air artificiel, comme des masques de Halloween. (Les livres entre les crânes étaient surtout des livres de cuisine et des manuels de savoir-vivre ayant appartenu à Florence Dragonette.)