Mais au fond, mourir d’ignorance ou mourir sous les milliers de pas d’hommes redevenus libres, il n’y a au vrai aucune espèce de différence. On ferme les yeux, et puis, il n’y a plus rien. Et la mort n’est jamais difficile. Elle ne réclame ni héros ni esclave. Elle mange ce qu’on lui donne. P 144