Philippe Gourdin chez les deblogueurs
Philippe Gourdin présent à Saint Maur en poche 2012, nous parle de
La délicatesse de
David Foenkinos chez Folio
On n'est pas maître de tout ce qui nous arrive, mais on est maître de ce que l'on en fait
Je prends un goût à plonger dans les livres, à m'imbiber d'histoires, de réflexions, de citations. La lecture est un baume au coeur. Elle transpose ailleurs, tout en nous ramenant toujours à nous-mêmes au travers des réflexions des auteurs. C'est vraiment agréable.
Et nous sommes finalement restés ensemble, en équilibre instable, avec la distance de croyants qui pratiquent leur culte sans foi, avec le déni d’une tumeur installée dont on refuse de reconnaître l’existence. Un cheminement à maux couverts.
C'est avant tout d'émotions que nos existences sont tissées. Peut-être qu'il y a plus de destins qu'il n'y a de hasards. Et donner aux autres et bien plus qu'une inclination ponctuelle de l'âme, c'est un pas vers sa propre destinée.
Il existe des anges sur Terre... On appelle ça des enfants.
N'avez-vous jamais vu une femme amoureuse au téléphone ? Elle sourit à chaque phrase. Elle respire la voix de l'aimé. C'est quelque chose de très beau.
L'espérance fait grandir autant qu'elle fait avancer
Je n’allais pas te demander de m’aimer toujours, mais je te demande de toujours te souvenir de combien je t’ai aimée ce jour-là.
Qu'est-ce qui au fond est le pire ? Se résigner à être un autre ou se résigner à n'être que soi-même ?
Ne jamais dire jamais et ne jamais penser toujours.