Citations de Philippe Thirault (74)
Par respect et pour l'honneur de cette famille, je ne révélerai pas dans quelles conditions ignominieuses cet homme est mort.
La vérité, comme l'amour, n'a que deux ennemis : le trop et le trop peu.
Les dieux n'ont jamais existé ! Mais le mal oui...
_Vous ne pouvez pas m'enlever cette guibole, mon capitaine ! L'ai dix-neuf ans ! Dix-nef ans !
_Justement, dix-neuf ans c'est pas un âge pour mourir, tu m'entends Murray ??
Tu vas revenir avec une jambe en moins, mais pour ta famille tu seras entier, et même mieux que ça !
"Malgré la difficulté de la tâche, nous devons investir tous nos efforts pour enseigner à nos enfants de ne pas haïr celui qui est "autre" différent ou étranger et de respecter ses droits dans l'égalité et l'humanisme. Le racisme est un danger pour l'humanité tout entière"
Sarah Shner. Fondatrice du musée des combattants des ghettos.
La pénitence précède l'absolution.
Il n'est de pire mensonge que le reflet de la vérité.
- Il est toujours amoureux de Seena.
- Pourquoi a-t-il couché avec toi, alors, et pas avec elle ?
- Va comprendre les hommes.
_J'en ai assez Epidamnos...assez de voir que partout où nous passons, la bêtise et la superstition sont la nourriture donnée en pâture par les puissants aux ignorants.
- Arrête-toi, Nayon ! Qui sont ces...
- Des Assurichés, Mr Graham...
- Ce sont quoi ? Des clochards ? Des pilleurs de tombes ?
- Non, M. Graham. Ce sont des non-vivants !...
- Qu'est-ce que tu racontes ??!
- Je repars, monsieur... Il ne faut pas rester là...
- Des non-vivants ! On m'avait dit que les Birmans étaient superstitieux, mais alors là !
- Il y a des choses dont on ne parlera jamais dans vos journaux, M. Graham,ni dans vos livres... Surtout lorsque ce sont des gens sérieux et civilisés qui les écrivent !... Vous êtes ici depuis peu de temps, M. Graham... Très peu de temps...
- Qu'est-ce que c'est ? Je... Je vois mal.
- Vieille technique égyptienne. Le corps est enduit d'une substance qui éloigne les prédateurs... on laisse suffisamment d'espace en terre pour que le supplicié respire... et pour les insectes amateurs de chair puissent lui dévorer lentement la tête.
- C'est pas toujours un cadeau d'avoir des pères et des mères !
- Dire que quand on sera grands, on sera peut-être aussi bêtes qu'eux...
- Nous passerons ces pays par le feu ! D'ailleurs qu'importe ! Pourvu qu'au final il reste un Byzantin de plus qu'un Vandale ou un Goth !
La littérature enfantine est bien anémique, sinon inexistante, lorsqu'il s'agit de traiter de sujets comme la misère, la faim, la violence et les catastrophes qui sévissent sur nos vallées de larmes. D'autant plus que nous vivons dans une société matérialiste de consommation qui développe l'égoïsme et la rapacité. Les persécutions, en général, s'acharnent sur la différence des identités raciales ou religieuses.
Et s'il faut traumatiser les enfants pour leur donner une prise de conscience, faisons-le vite - c'est une question d'orientation.
A savoir : tous égaux et tous différents.
Tomi Ungerer (Préface)
- Il a rien sur lui.
- Pas une lime à ongle. J'ai bien une arme, mais elle est pas répertoriée dans ton catalogue.
- ça s'appelle l'intelligence. Cherche pas sur toi, ça te ferait mal à la tête. (pl. 16)
Sur cette terre Huguenote, la mémoire des persécutions anciennes avait donné aux habitants une haute idée de la nécessité de l'aide à apporter aux réfugiés de toute sorte. C'était un devoir. Mieux : c'était parfaitement naturel.
Dans ces "Collines inspirées", à celui qui frappait, on ouvrait [la porte].
Shanghai ?
C'est le Hollywood de l'extrême-Orient. Là-bas je pourrai travailler, en attendant d'émigrer tous vers les États-Unis.
Le visage est le miroir du coeur.
SALUONS L'AVENEMENT DE LA CIVILISATION MODERNE QUI DEVORE SES PROPRES ENFANTS AU NOM DU PROGRÈS.
Appelez des renforts ! Il va en falloir pour ramener cette furie chez nous !