L'INFANTE : L'amour est un tyran qui n'épargne personne :
Ce jeune cavalier, cet amant que je donne,
Je l'aime.
LÉONOR : Vous l'aimez !
L'INFANTE : Mets ta main sur mon cœur,
Et vois comme il se trouble au nom de son vainqueur,
Comme il le reconnaît.
Acte I, Scène 2 : (v. 81-85).