BÉRÉNICE : Tout ce qu’en sa faveur je crois m’être permis,
Après qu’à votre cœur lui-même il s’est remis,
C’est de vous faire voir ce que hasarde une âme
Qui sacrifie au rang les douceurs de sa flamme,
Et quel long repentir suit ces nobles ardeurs
Qui soumettent l’amour à l’éclat des grandeurs.
Acte III, Scène 3.