Pierre Rabhi :
En me modérant, je me libère et je contribue au partage et à l'équité en ne prenant pas plus que ce qui m'est nécessaire. Ce qui est nécessaire est simple : être nourri, avoir de l'eau potable, être logé, vêtu, soigné. (...)
Car le superflu est sans limite (...)
je me crée un espace de créativité et je peux répondre à mes besoins matériels tout en contribuant à l'embellissement du monde.