Plum Sykes

On peut tolérer la légèreté du style mais pas dans les situations, ni dans la façon de façonner des personnages...Beuh enfin, besoin d'une petite détente, c'est vraiment mal tomber, pas moyen d'avancer, même dans le rêve, pas envie d'avoir à faire à ces personnages futiles commençant par ces principaux Sylvie et Hunter...

Moi qui voulait une lecture légère, me voilà servie. Trop légère, je dirais, même.

J'apprécie de temps en temps la chick lit. Même si il n'y a que peu de mystères sur la fin, j'apprécie les moments drôles, les situations gênantes, les scènes romantiques.

Je pensais donc faire bonne pioche avec ce titre. Grossière erreur. L'histoire est centrée autour d'une narratrice égocentrique - mais dont on connaît pas le nom - qui fait partie des Princesses de Park Avenue : superficielle à souhait donc. La 4e de couv' induit d'ailleurs en erreur.

Bien que consciente des caprices insensés des divas, la narratrice tombe elle-même dans ces travers, nous offrant ainsi un personnage auquel je n'ai pas su m'attacher. J'ai bien conscience qu'l y avait une idée satirique dans tout ce récit. Pour autant, même en le sachant, l'histoire m'a déplu. Les scènes ne sont pas si drôles que cela, tout juste une esquisse de sourire de temps en temps. Le seul point positif est le personnage de Charlie.

Plusieurs fois, j'ai voulu refermer ce livre et passer à autre chose. Mais abandonner un livre en cours n'est clairement pas dans mes habitudes. Je le referme donc en me disant que ce n'était pas un livre pour moi. Tant pis, au suivant!



Challenge coeur d'artichaut

Challenge Multi-défis

Challenge Féminin

Ah si j'avais un fusil...Non sans rire, il y a pas déjà assez de dindes dans ce genre de bouquins il faut que Plum Sykes en remette une couche!

Le fin du fin de la bêtise en mode caviar et billets de banque.Au défilé du pathétique je demande Julie Bergdorf et son affreuse copine qui tient lieu de narratrice à l'histoire.

C'est artificiel,grossier tout juste digne d'un destructeur à papiers!

Mea culpa pour les fans du genre mais moi qui suis ouverte à tout tant d'idiotie réveille en moi de violents accès de nerfs.

C'était, il y a quelques années, mon tout premier roman de chick-lit et j'avais adoré.

J'ai donc souhaité le relire, pour voir si j'appréciais toujours autant et, effectivement, Plum Sykes est à nouveau parvenue à me faire rire. A l'époque de ma première lecture, j'avais les cheveux blonds et me retrouvait donc bien dans les passages traitant du "blond parfait" qui ne doit surtout pas être jaune et autres détails concernant les balayages de Julie et de ses amies.



Vous l'aurez compris : les personnages sont totalement superficiels et l'intrigue l'est forcément aussi. Mais c'est écrit de façon très "pétillante" et enjouée et permet de passer un excellent moment, même si certains passages sont totalement prévisibles.

J'ai lu ce livre dés sa sortie, et en cette période de "disette littéraire" pour cause de vacances bibliothécaires... je me "fend " d'une relecture .

En lisant les critiques sur ce livre , je me suis rendue compte que ce qui en énervait certaines, était ce qui me plaisait dans cette comédie ( aussi légère et évaporées que les pages du magazine Vogue ..)

Certes , l'héroïne est superficielle, mais , c'est ça qui fait le sel de ce livre , qu'il faudrait aborder comme un "voyage en terre inconnue", un voyage chez les New - Yorkais" "plus riches que riches".

L'air de rien ce petit roman est un condensé d'humour , une critique à charge, et un documentaire sur cette "faune " de Park Avenue .

Trop nul !



Les princesses New-Yorkaises sont riches, égoïstes, anorexiques, grossières, mal-élevées, instables et incultes.



Voilà en résumé le contenu de ce roman bien vide car il ne fait référence sous forme de litanie répétitive qu’aux créateurs de mode, aux galas huppés, aux cailloux onéreux, aux jets privés, aux palaces pompeux, aux événements ‘mondains’ et aux fiancés friqués éphémères.



En ce qui concerne les personnages, ils sont plus creux qu’une paille et pour le style, plus plat qu’une sole limande qui se répète au fil des pages :-p



Bon, voilà, direction la boîte à livres fissa. Le bon côté des choses c’est que j’ai fait une place pour un vrai roman dans ma bibliothèque :-)

La raison principale pour laquelle j'ai acheté ce livre me semble évidente : je souffre parfois de blonditude, le titre m'a donc tout naturellement attirée.



Quand on lit le quatrième de couverture, on se dit qu'en fait l'histoire a l'air assez banale, voire nulle. En fait, ce n'est pas tant l'histoire qui m'a fait mourir de rire que la façon dont elle est racontée. L'auteure nous offre ici un récit hilarant, qui ne s'essouffle jamais, nous dépeint des situations délirantes avec un humour détonnant agrémenté d'une pointe de cynisme. Ceux qui aiment bien éplucher les profondeurs des romans y trouveront peut-être une critique acide, voire moqueuse de la haute société américaine. Moi j'y ai surtout trouvé un excellent moment de détente et quelques parties de franche rigolade.

J'ai enduré le premier chapitre, à la limite de le lâcher. Puis je me suis rappelé mes lectures de science-fiction, où l’on nous plante un décor parfois saugrenu, et j'ai attendu de voir l'intrigue commencer. Après tout, j'avais lu nombre d’histoires avec des gens très pauvres, pourquoi serait-ce moins acceptable avec des gens très riches ? L'expérience serait nouvelle pour moi et la curiosité a nourri ma patience, le temps de m'habituer au style et d’entrer dans l’action.

La narratrice, qui est l'héroïne, n'est pas une « riche héritière » et doit travailler : c'est comme meilleure amie de l'une d'elles, et aussi dans l'exercice de son métier, qu'elle côtoie les « extra-terrestres » qu'elle nous présente dans son récit. Dès que j’ai pu me glisser dans ce monde aux valeurs et à la logique différentes des miennes, j’ai apprécié le style plein d'humour, les personnages hauts en couleur et même loufoques, l'action pleine de rebondissements.

Ce court roman a été pour moi une introduction surréaliste au mode de vie d’une toute petite tranche de la population terrestre. Mais je l’apprécie surtout pour son côté loufoque et frivole. Ayant tendance à être trop sérieuse, je jubile de voir les personnages se passionner pour des motifs futiles ; il me semble que cela me relaxe d’autant plus que je ne suis pas accro au shopping et que je suis tout à fait incapable de lire un magazine de mode.

Pour ceux qui ont aimé “blonde attitude” , une deuxième histoire du même tonneau dans la jet set.



Remarque : à mon avis, pour apprécier ces deux romans (c'est à dire au second degré !!), il est recommandé d'être soi-même détaché.e de la mode, et au moins vaguement intéressé.e ou amusé.e par les comportements absurdes de la jet set ! J'ai détesté "Demain j'arrête", mais je rigole beaucoup avec ce livre, qui est pour moi beaucoup plus subtil (et second degré).



Sylvie, jeune mariée, fait connaissance avec quelques jeunes blondes excentriques. Comme l'héroïne de “blonde attitude”, elle a un métier: cette fois, elle travaille chez un grand couturier qui a le vent en poupe. Une intrigue bien menée, du rythme, un style savoureux, de l'humour, des évènements à la limite de l'absurde et quelques personnages caricaturaux. C'est une histoire de filles, de quête du bonheur et d'amitiés. Les mecs sont décrits plus superficiellement, ils ont des rôles secondaires.

Le résumé avait l'air sympa, je pensais une lecture rigolote et bien, quelle déception...



C'est superficiel à un point....



Je n'ai pas compris qui est la narratrice hormis que c'est la meilleure amie de Julie.



L'écriture est lourde, brouillonne, cette lecture ne laissera pas un souvenir mémorable...

Pas de surprise dans ce classique de la chick-lit, l'histoire est prévisible, mais drôle. Les héroïnes vivent dans leur univers à part, un monde de paillettes, dans lequel on suit l'évolution de la ravissante et drôle Julie Bergdorf.

L'histoire n'est pas très originale, et les personnages un peu caricaturaux. Cependant, on s'amuse malgré tout à la lecture de ce roman léger et drôle, où l'on suit les tribulation d'une jeune marié dans un monde où la tendance semble être au divorce!



En bref, sans être un chef d'oeuvre, ce livre reste un très bon divertissement pour les amateurs de chick-lit.

D'habitude, ce genre de livre me détend et me fait rire. Mais celui-ci est vraiment inutile et ne m'a pas plu du tout.

C'est ce que j'appelle un livre superficiel ! C'est une lecture futile et pourtant, j'en lis. ça détend mais ça ne fait pas grand chose d'autre.

Mon tout premier roman de "chick-lit" (en français, littérature de poulette, expression malheureuse pour désigner cette catégorie de roman). Plongée très sympa dans la vie pleine de paillettes et de crises existentielles des princesses de la jet-set new-yorkaises.

Peut aussi servir d'antidépresseur !

un livre amusant à lire, plein de drolerie sur la recherche du prince charmant à new York à decouvrir !

"Blonde comme les blés et belle à se pâmer, l'excentrique et sexy Julie Bergdorf- richissime héritière des magasins de luxe du même nom - a vraiment tout pour plaire. Quotidiennement entourée d'une meute d'admiratrices, cible privilégiée des magazines people et déesse incontestée des boîtes de nuit fashion et autres restaurants huppés, la lolita de la mode règne en maîtresse absolue sur la toute-puissante jet-set new-yorkaise. Seul hic, mademoiselle est célibataire. Et dans les quartiers hype où le chic du chic consiste à se pavaner au bras de son fiancé, cette situation relève de l'impardonnable faute de goût. Lancée à l'assaut du MP - Mari Potentiel -, la Princesse de Park Avenue saura-t-elle trouver chaussure à son pied?"



Amateurs de grande littérature dépourvus de second degrés, passez votre chemin, ce livre n'est pas fait pour vous.

"Blonde attitude" est l'archétype du bouquin d'été, frais, léger et décomplexé.

L'auteure nous emmène à la rencontre de riches héritières New-yorkaise, ayant pour seules préoccupations la quête du mari idéal, leurs looks et la presse People.

Superficialité, humour décalé, finesse d'esprit dans certains passages... Ce chick-lit bling bling souvent prévisible se lit facilement et à défaut de marquer les esprits, permet de passer un agréable moment.

Rafraichissant et pétillant. J'ai bien rigolé

J'avais en partie choisi ce livre à cause des commentaires élogieux de ses lecteurs mais au final il ne tiens clairement pas ses promesses, du moins de mon point de vue.



Je l'ai tout de même lu en son entièreté et si je met une étoile c'est bien pour le personnage de "Charlie Dulain" qui a attiré ma sympathie.



Ce bouquin qui promet l'hilarité m'a, à peine, arraché un sourire. La narratrice (je ne me rappel plus son prénom) est plus idiote que son amie qui est censée être le pilier de l"intrigue" et plus superficielle que superficielle. Je met les guillemets parce-que c'est tellement cliché qu'il n'y a aucune surprise et l'auteur, Plum Sykes, n'a pas réussi à me procurer une quelconque émotion à part de la lassitude.



Je pense sérieusement que cette journaliste aurait dû s'en tenir à ses articles de mode. Je lis des auteurs de fan-fictions sur le net bien moins expérimentés et beaucoup plus jeunes qui produisent des histoires bien plus intéressantes que celle-ci.

A une époque, je lisais beaucoup de comédies.

Pas pu lire plus de cinquante pages....sans aucun intérêt...génération bling-bling sans neurones vivant dans le paraître...aucun intérêt littéraire...il y a certaines séries TV pour ça !