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Citations de R. A. Salvatore (224)


Plaisanter d’une tragédie vaut mieux que vivre enlisé dans la culpabilité d’un incident dont personne n’est responsable.
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Perdre c’est mourir.
Tu peux gagner un millier de combats, mais n’en perdras jamais qu’un !
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A Menzoberranzan, une consigne prévalait sur toutes les autres : ne pas se faire prendre.
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Des vingt cinq que comportait la promotion à l’origine, il ne restait que 22 élèves : l’un avait été renvoyé (puis exécuté) pour avoir vainement tenté d’assassiner un étudiant qui avait un meilleur rang que lui, un autre était mort à l’exercice, un troisième enfin avait connu une mort naturelle dans son châlit, car une dague dans le cœur met tout naturellement fin à la vie.
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Il n’avait pas fini sa phrase que celui-ci détalait déjà dans le passage que le drow lui avait indiqué un peu plus tôt. Sa tribu, faisant preuve d’une loyauté sans faille, se précipita à sa suite, les plus rapides lui passant même devant.
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Les épaules quelque peu voûtées, Bruenor lâcha un grognement.
-Tu t'rapelles quand on cherchait Castelmithral ? Ces longs mois passés sur la route, en passant par Longueselle, par les landes aux Trolls, par Lunargent, tout ça...?
-Bien sûr.
-T'as déjà été plus heureux qu'à cette époque, l'elfe ?
Ce fut au tour de Drizzt de sourire, avant d'approuver son ami d'un signe de la tête.
-Comme tu m'l'as dit un million de fois, c'est l'voyage qui compte, pas la destination, poursuivit le nain. Peut-être bien qu'j'ai fini par être d'accord avec toi.
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La vérité que l’on connaît ne vaut rien si on ne vit pas pour elle, et les principes ne sont que du vent si l’idéaliste ne s’efforce pas de les suivre.
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[Drizzt Do'Urden] Je suis libre quand je me bats. Ce n'est que lorsque mes lames tranchent un représentant du mal que ma vie me paraît avoir un sens.
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Gaspard Pointepique n'était pas aussi âgé que le vieux Bruenor Marteaudeguerre, cependant les années, ainsi que des milliers de combats particulièrement violents, n'avaient pas été tendres avec le guerroyeur effréné. Le périple jusqu'au Valbise lui avait coûté cher, même si, bien entendu, il ne s'était jamais plaint. Gaspard ne se plaignait jamais, à moins d'être privé d'un combat ou d'une aventure, ou de recevoir l'ordre de prendre un bain.
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Je suis ... ta mère !
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R. A. Salvatore
J'ai toujours essayé d'écrire les livres de Drizzt comme des Sherlock Holmes ou des James Bond plutôt que comme "La Roue du temps" ou d'autres séries fantasy plus épiques.
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Rien ne brûle le cœur comme d’avoir perdu quelque chose ou quelqu’un et se rendre compte trop tard de sa véritable valeur.
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Il est préférable, à mon sens, de tendre vers les étoiles plutôt que de rester assis et de s'agacer de les savoir hors d'atteinte.
(Montolio)
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Je prie pour que le monde ne soit jamais un monde sans dragons. Je prononce ces mots avec une profonde sincérité, bien que j’ai joué un rôle dans la mort d’un dracosire, grand parmi les grandes. Car le dragon est l’ennemi par excellence, le plus redoutable des adversaires, l’exemple même de l’inéluctable destruction. Le dragon, plus que les autres créatures, démons et diables compris, évoque les images d’une sombre grandeur, du monstre primitif suprême assoupi sur le suprême butin. Ils ont le test ultime du héros et l’ultime terreur de l’enfant. Ils sont plus anciens que les elfes et plus proches de la terre que les nains. Les grands dragons sont les monstres primitifs et surnaturels, l’essence du monstre primitif, le recoin le plus sombre de notre imagination.
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Après avoir été témoin du carnage qui était son oeuvre, je devins peu enclin à accepter le concept de dieu, d'aucun être qui pouvait dicter son code de conduite et ses préceptes à une société entière. La moralité n'est-elle pas une force intérieure, et si c'est le cas, les principes doivent-ils être imposés ou ressentis ?

Suis la question des dieux en eux-même : ces entités au nom bien déterminé sont-elles vraiment des êtres réels ou bien des manifestations d'une croyance collective ? Les elfes noirs sont-ils maléfiques parce qu'ils suivent les préceptes de la Reine Araignée ou Lolth est-elle l'incarnation de la conduite naturellement maléfique des drows ?

De même, quand les barbares de Valbise se ruent vers la guerre à travers la toundra, hurlant le nom de Tempus, le Seigneur des Batailles, sont-ils en train de suivre les préceptes de leur Dieu ou bien Tempus est-il en fait simplement le nom mythifié qu'ils donnent à leurs actions ?

[...] le choix d'un dieu est un choix personnel et la reconnaissance de cet être se fait en accord avec le code de conduite propre à chaque personne. Un missionnaire peut contraindre et tromper ses disciples potentiels, mais aucun être rationnel ne pourra véritablement suivre les ordres déterminés par une déité quelconque si ces mêmes ordres sont en contradiction avec ses propres principes.
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Des vingt-cinq que comportait la promotion à l'origine, il ne restait que vingt-deux élèves: l'un avait été renvoyé (puis exécuté) pour avoir vainement tenté d'assassiner un étudiant qui avait un meilleur rang que lui, un autre était mort à l'exercice, un troisième enfin avait connu une mort naturelle dans son châlit, car une dague dans le cœur met tout naturellement fin à la vie.
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Finalement, à la grande douleur des prêtres, le choix d'un dieu est un choix personnel et la reconnaissance de cet être se fait en accord avec le code de conduite propre à chaque personne. Un missionnaire peut contraindre et tromper ses disciples potentiels, mais aucun être rationnel ne pourra véritablement suivre les ordres déterminés par une déité quelconque si ces mêmes ordres sont en contradiction avec ses propres principes.
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Mais la raison est une faible défense contre le poids de la culpabilité.
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Je ne suis le maître d'aucun homme, et je ne compte même jamais le devenir.
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Les drows sont submergés par la crainte et la méfiance, ils assassinent l'amitié à la pointe d'une épée bénite par Lolth. La haine et l'ambition nourries par ces doctrines immorales font le malheur de ceux de mon peuple, elles marquent leur faiblesse, qu'ils prennent pour de la force.
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