Au nord des Mordves et à l’Est de Gorki habitent d’autres Finnois de la Volga, les Tchérémisses (ou Maris) avec Iochkar-Ola comme village principal. Ils ont été sujets du Khanat de Kazan. Ils furent soumis à la Russie par le Tzar Ivan le Terrible. Aujourd’hui il existe encore un million de locuteurs de leur langue. Signe particulier : leur mythologie païenne, le marla, est restée vivace, avec ses propres prêtres. Ils honorent une dizaine de grands dieux et les esprits de la forêt. Ils ont donc bien résisté à l’islam et au christianisme. Autrefois ils sacrifiaient des animaux lors de grands rassemblements de prière dans la campagne. Beaucoup de ces croyances semblent héritées de la culture des steppes plutôt que de la sibérienne, sauf bien sûr l’adoration de la forêt. Les Maris ont leur propre république qui dépend de la Fédération de Russie. La langue est divisée en deux dialectes et s’écrit en caractères cyrilliques.
La mythologie présente tous les Pélasges comme un seul et même peuple, originaire d'Arcadie. Or des auteurs comme Hérodote les divisent en plusieurs groupes qui se faisaient quelquefois la guerre entre eux. Je pense que leur unité était simplement culturelle : ils avaient un certain nombre de croyances, de mœurs, d'espaces géographiques et d'habitudes en commun. Mais leurs langues appartenaient sûrement à trois groupes linguistiques différents et, de plus, chacune de leurs régions a constitué une véritable nation particulière
La mythologie présente tous les Pélasges comme un seul et même peuple, originaire d'Arcadie. Or des auteurs comme Hérodote les divisent en plusieurs groupes qui se faisaient quelquefois la guerre entre eux. Je pense que leur unité était simplement culturelle : ils avaient un certain nombre de croyances, de mœurs, d'espaces géographiques et d'habitudes en commun. Mais leurs langues appartenaient sûrement à trois groupes linguistiques différents et, de plus, chacune de leurs régions a constitué une véritable nation particulière
Pour tirer le Graal de son refuge, le faire admirer publiquement et démontrer ainsi son existence, il faudrait un héros aussi pur que le Graal lui-même. Où se cache-t-il, ce chrétien parfaitement impeccable ? Il n'existe plus aujourd'hui quelqu'un qui puisse répondre à une telle exigence !...
Je crains surtout que ce soit la fine amour, ce péché mortel, et son infâme cortège de courtoisie, qui soit responsable de la disparition irréparable et définitive du Graal.
Je survole tous les temps, tous les lieux;
Je monte plus haut qu’au plus haut des cieux;
Tout l’Univers est tel que je le veux;
Je m’empare de l’arbre de science
Par ta présence.
Des enfers je reviendrais radieux;
Je vaincrais, même alliés, diable et dieu :
Quand tu viens vers moi, je vis… D’espérance
Plus besoin; ma véritable naissance
C’est ta présence