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3.82/5 (sur 461 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) le : 25/02/1980
Biographie :

Rebecca Maizel est diplômée de l’Université de Boston et de Rhode Island. Elle enseigne à Rhode Island tout en poursuivant un Master d’art à l’Université du Vermont.

Son premier livre, Humaine (Infinite Days), a été vendu dans une dizaine de pays.

Pour plus d'informations voici son blog http://rebeccamaizel.com/blog/

Source : www.fantasybookreview.co.uk
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INFINITE DAYS by Rebecca Maizel- book trailer


Citations et extraits (51) Voir plus Ajouter une citation
Honni soit qui mal y pense.
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je voudrai vous dire que je ressentis le feu, l'enfer et la douleure.Ce serait la seule punition justepour toutes les vies que j'avais prises sans vergogne au cours de mon existence
mais ce n'est pas ce qui arriva.
tout ce que je ressentis, c'est un eblouissement d'or et de diaments de lumiere.
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il me sembla entendre quelque chose avant de sortir dans l'aube .Je crois que c'étaient les genoux de Justin heurtant le sol. J'écartai le rideau et un éclair de lumière matinale me frappa en pleine face. Je levai les mains sur les côtés .
Je voudrais vous dire que je ressentis le feu, et l'enfer et la douleur. Ce serait la seule punition juste pour toutes les vies que j'avais prises sans vergogne au cours de mon existence .
Mais ce n'est pas ce qui arriva.
tout se que je ressentis, c'est un éblouissement d'or et de diamants de lumière.

FIN.
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Je veux sentir le soleil sur ma peau
et savoir ce que c'est qu'être amoureuse
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Je ne te déteste pas. Simplement, je ne veux plus avoir affaire à toi. Je veux vivre ma vie sans rituels, sans cercles de vampires sanguinaires tuant mes amis. J'aime mieux sortir avec des filles qui... qui restent en vie, tu vois.
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la peine de la malédiction, tout remontait du fond de mon ame. en lieu et place de larmeq, les feux de l'enfer flamdaient dans mon corp. le soulagement des pleurs ne coulerait jamais plus sur mon visage.
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"- Pourquoi n'as-tu pas peur de mourir ?
- Parce que j'ai enfin vécu."
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- Lenah ? chuchota Justin.
Il me caressait les cheveux. La tête posée sur sa poitrine, j'écoutais son cœur battant revenir à une vitesse normale. Dehors, le ciel s'emplissait d'étoiles.
- Oui ?
Je somnolais sous ma couette chaude et moelleuse.
- Tu veux venir au bal d'hiver avec moi ?
- Bien sûr.
J'était sur le point de m'endormir.
- Justin ?
- M-mm ? fit-il, à peine plus éveillé.
- C'est quoi, la bal d'hiver ?
Il éclata de rire, si fort que me joue rebondit sur son torse.
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J’allais me plonger dans le mode d’emploi d’un ordinateur portable lorsqu’un coup frappé à la porte m’arracha à ma méditation. Un pull noir, tout simple, qui avait appartenu à Rhode, pendait à un bras du fauteuil.
Je le passai par-dessus mon débardeur avant de m’enfoncer dans les profondeurs de l’appartement.
— Révèle-toi ! ordonnai-je à la porte fermée.
— Euh… me répondit timidement une voix masculine.
— Ah, pardon, je voulais dire : qui est-ce ?
Doucement, Lenah. Après tout, je ne présidais plus un cercle de vampires.
— Une livraison de voiture pour Lenah Beaudonte. J’ouvris d’un coup.
— Une voiture ?!
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Je pivotai vers Rhode, dont les yeux étaient rivés au sol. Ses bras pendaient le long de son corps ; il aurait pu être une statue des temps moderne, tant il était immobile.
Je m'approchai et m'arrêtai à quelques centimètres de lui, comme je le faisais depuis des mois.
- Je vais t'embrasser, maintenant, lui chuchotai-je.
- J'espérais que tu dirais cela, me souffla-t-il en retour, ce qui nous fit sourire. Lenah, que ferai-je sans toi ? dit-il encore, et je sentis la chaleur corporelle qui émanait de lui.
Un mot unique me traversa, et je frémis.
- Vivre.
Nos lèvres se rencontrèrent ... la sublime pression de sa bouche contre la mienne. La chaleur de sa bouche, sa saveur à lui. Je suivis les mouvements de ses lèvres et la douce caresse de sa langue. Ses mains remontant dans mon dos m'envoyèrent des picotements jusqu'en haut des bras.
C'était meilleur que tout ce que j'avais imaginé. Mon Rhode embrassait avec douceur. Il prit mon crâne dans sa main et s'insinua plus loin dans ma bouche. Ne me quitte pas.
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QUEL ROMANCIER A ECRIT CES PHRASES: « Nous disons bien que l’heure de la mort est incertaine, mais quand nous disons cela, nous nous représentons cette heure comme située dans un espace vague et lointain, nous ne pensons pas qu’elle ait un rapport quelconque avec la journée déjà commencée et puisse signifier que la mort — ou sa première prise de possession partielle de nous, après laquelle elle ne nous lâchera plus — pourra se produire dans cet après-midi même, si peu incertain, cet après-midi où l’emploi de toutes les heures est réglé d’avance » ?

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