Description de la revue Alibi - Tout l'univers des polars - Trimestriel vendu uniquement en librairie
Tous les écrivains son fous. Et les passionnés de faits divers sont de grands malades. Parce qu'il faut être siphonné, bien súr, pour se lancer dans cette activité solitaire et casse-gueule qu'est l'écriture d'un livre. Et que le dingue de crimes, de chiens écrasés, entre lui aussi dans la catégorie pas bien sous tous rapports», qui englobe tous ceux un peu trop obsédés par la mort, le déraillement, les histoires qui finissent mal. Et Michelle McNamara dans tout ça ? Elle cumule. Ecrivaine d'un seul livre, dont elle parle des années durant sans que personne n'en voie la couleur, elle passe la moitié de ses nuits à noircir des pages qu'elle ne verra jamais publiées, et le reste à enquêter sur des meurtres datant de plus de trente ans qut F'obsèdent jusqu'à lui faire perdre le Sommeil, Puis la vie. Après une nuit d'insomnie de plus, elle prend la pilule de trop. Son mari la retrouve morte au petit matin.
Christophe Gavat
Bien connu des services de police. Patron de la BRB de Marseille, lauréat du prix quai des Orfèvres 2021, flic et auteur, il est aussi à l'aise dans les salons polars qu'à traquer les voyous dans la cité phocéenne. Rencontre avec un mec bien qui chasse les « beaux mecs ». Le flingue dans une main, le stylo dans l'autre...
Clarisse Serre
Femme de loi. Surnommée depuis un moment « la lionne du barreau » dans les couloirs des tribunaux, classée régulièrement parmi les avocats les plus puissants de France par le magazine GQ, elle est surtout une passionnée qui a enfilé la robe par vocation. Entretien sans langue de bois avec une pénaliste hors normes.
Des chiffres et des morts. Quand un comptable suisse est sauvagement assassiné dans son bureau début 2002, les enquêteurs ne tardent pas à lier ce dossier à un précédent Ils sont alors loin d'imaginer l'affaire dans laquelle ils viennent de s'embarquer. Car, parfois, le compte n'est pas vraiment bon et provoque bien des dégâts.
Trois jours fermes. Le dessinateur Nicoby revient en cases et en bulles sur sa première expérience carcérale. Pas en tant que détenu, mais comme animateur d'un atelier au cours duquel les prisonniers avaient pour mission de réaliser une bande dessinée en 72 heures. L'histoire en images d'un passage de l'autre côté des barreaux.