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3.67/5 (sur 93 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New York , le 27/07/1936
Mort(e) à : New Hampshire , le 27/01/1987
Biographie :

Richard Sapir est un écrivain américain.

Il fait des études supérieures à l'Université Columbia où il obtient un baccalauréat en 1960.

Il travaille ensuite comme reporter, éditeur et dans le milieu des relations publiques.

À partir de 1963, alors qu'il est journaliste à Jersey City (New Jersey), il coécrit avec Warren Murphy la série de romans d'espionnage "The Destroyer" (L'Implacable).

Outre cette série, il signe seul quelques titres : Bressio (1975), un récit sur la mafia, Le Dernier Gladiateur (Far Arena, 1978), Spies (1984), et Quest (1987).

En 1983, il publie le roman The Body (Le Corps), qui mêle espionnage, politique-fiction et fouilles archéologiques, et qui est adapté au cinéma en 2001 sous le titre Le Tombeau (The Body) avec Antonio Banderas comme acteur principal.

En 1985, sort le film Remo sans arme et dangereux (Remo Williams: The Adventure Begins), adaptation des premiers titres de la série L'Implacable, avec Fred Ward dans le rôle titre.

Richard Sapir est mort en 1987 d'une crise cardiaque.

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Source : Wikipédia
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Rémo, sans arme et dangereux - 1985, adapté de "Implacablement vôtre'


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La porte tout juste passée, un jeune agent dit adieu à son petit déjeuner "café noir - cigarettes" sur tout le devant de son uniforme bleu, et le fit suivre de quelques nourritures solides de la veille. Il ne pouvait pas entrer dans cette pièce en sous-sol de Greenwich Village. Un inspecteur de la police de New York l'aida à remonter par l'escalier de fer jusqu'à la rue.
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Remo raccrocha et commanda au barman un verre d'eau de source. Un motard aux bras velus de gorille, coiffé d'un vieux casque allemand orné d'une croix gammée vint lui offrir quelque chose de plus fort.
- Je ne bois pas, répondit Remo. Je ne bois pas, je ne fume pas, je ne mange pas de viande et je ne nourris pas de pensées ambivalentes ou hostiles.
- Alors qu'est-ce que tu fais, pédale? demanda le motard en riant.
Il se tourna vers ses copains qui rigolèrent avec lui. Ils en tenaient un bon. Le dos du blouson portait en lettres roses et blanches "Crânes de Rats".
- Je suis chirurgien manuel, répondit poliment Remo.
- Ouais? Qu'est-ce que c'est, un chirurgien manuel?
- J'améliore les physionomies avec mes mains.
- Sans blague? Améliore un peu la mienne, pédé!
- Je peux? Merci de l'invitation, répondit Remo en quittant le comptoir pour aller à la table des autres Crânes de Rats.
- Eh bien, Messieurs, je vais vous montrer comment je peux cueillir un nez dans ma main, dit Remo.
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Le calme que les Européens et plus particulièrement les Américains européens avaient oublié, ou n’avaient peut-être jamais connu. Le calme d’où provenait la puissance personnelle de l’être humain, cette puissance qui avait capitulé devant la machine qui, apparemment, faisait les choses plus vite et mieux. La machine avait abaissé l’homme industriel, l’avait amené à n’employer que sept pour cent de ses facultés, sinon moins, contre neuf pour cent en moyenne chez les primitifs.
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On se prépare à une pointe. On projette une pointe. On travaille dans ce sens. Atteindre la pointe tous les jours, ça veut dire simplement que la pointe devient de plus en plus basse.
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On était obligé d’en rire. Tant d’efforts, tant d’argent, tant de danger dans la simple création de l’organisation, et maintenant le sommet, les deux seuls personnages officiels du pays qui savaient exactement ce qu’il faisait, le démolissaient. Plus vite que le whisky et la bière, et bien moins agréablement.
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Les choses sont, en effet, très difficiles, mon fils, lorsque l’ennemi ne veut pas vous aider. C’est également très rare. Car je dois avouer que la plupart des conflits sont gagnés par ceux qui aident le moins possible leur adversaire.
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La dévotion qui passe pour de l'amour aux yeux de l'homme n'est en réalité que l'instinct de protection de la femme. Elle gagne cette protection en simulant l'amour. C'est elle, et non l'homme qui est responsable de la vie de la race humaine. Un choix des plus sages.
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Il est bien trop tard pour avoir des remords. Si vous voulez sauver votre peau et ne pas aller en prison, il faut me suivre. Vous n’avez pas le choix.
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— Je n’aime pas tuer, petit père. Pas vraiment, pas toujours et pas souvent.
— Bêtises ! lâcha Chiun. Qui aime ça ? Un chirurgien aime-t-il le foie qu’il opère ? Un mécanicien aime-t-il le moteur qu’il répare ? Bien sûr que non. Quant à moi j’aimerais autant être en paix avec le monde et dispenser de l’amour à tous ceux qui passent.
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Les paris rapportaient toujours autant, les loteries clandestines également, les syndicats aussi. Quant au marché de la viande, il était encore meilleur depuis qu’il ne devait plus payer ce gars du Wyoming, Hardersty. Et la drogue, ce n’était pas vraiment une affaire dans le Queens, d’ailleurs il l’empêchait de se développer.
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