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Critiques de Robert Edward Weinberg (10)
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Mémoires, Birobidjan, 1928-1996



Pour résoudre une fois pour toutes le faux problème juif, le petit père des peuples de toutes les Russies, le très efficace Joseph Staline, croyait, dans les années 1930, avoir trouvé une formule magique : créer sur ses vastes terres une petite république spécialement pour les juifs. Qu'il s'agissait d'une (autre) idée fumeuse de ce grand bienfaiteur de l'humanité, n'étonnera personne ! Déjà rien que l'emplacement de ce 'Zion' communiste aurait condamné tout projet de la sorte, même bien intentionné et sérieux. Les quelques 200 km2 de l'oblast (province) autonome juif de Birobidjan - tel était le nom donné à ce petit paradis - se trouve à 6.014 km de Moscou, un peu au nord de Vladivostok et donc plus proche de cet autre paradis terrestre qu'est la Corée du Nord. Les 75.000 qui y habitaient ne devraient guère souffrir de canicule, puisque la température moyenne en janvier par exemple est (officiellement) de moins 24,1 degrés. Quant aux ressources naturelles et du sous-sol, il ne vaut mieux pas aborder le sujet !



L'oeuvre de Robert Edward Weinberg : "Mémoires, Birobidjan, 1928-1996" est d'une lecture fascinante, ce en quoi l'auteur de la présentation du livre a bien raison. Il l'a beaucoup moins lorsqu'il affirme que cette création, en 1934, était avec "l'accord des intéressés", les juifs donc ! Comme si le tsar rouge avait besoin de l'accord de quique ce soit et comme antisémite notoire sûrement pas de ce peuple maudit ! Si certains juifs ont marqué leur assentiment (personne n'en connaît leur nombre, bien sûr, mais ils ne devaient pas être très abondant), cela a dû être grâce aux nombreuses garanties et promesses pour la plupart non respecté d'ailleurs. Certes le yiddish a été déclaré langue officielle et l'université crée, fût baptisé Sholem Aleichem, en hommage à l'humoriste juif, né Rabinovich (1859-1916), auteur du superbe et célèbre "Un violon sur le toit". Prétendre que ces pauvres juifs ont accueilli le Plan-Staline dans la joie et anticipaient leur grand voyage sans retour avec un enthousiasme délirant, relève de la pure fiction. Ça aurait plutôt été pour eux dans le sens de la fameuse boutade de Sholem Aleichem : "Quelles que soient les mauvaises nouvelles, vous devez continuer de vivre, même si cela vous tue." L'alternative pour les récalcitrants aurait, de toute façon, signifié un envoi individuel ou en famille dans le Goulag du Prix Nobel Alexandre Soljenitsyne ou de l'historienne Anne Appelbaum, aussi ad 'vitam aeternum' ou jusqu'à la fin des temps.



Cette expérience grandiose et calamiteuse a fait l'objet de plusieurs ouvrages. Celui qui m'a personnellement fait le plus impression est celui de Masha Gessen, connue pour son autre excellent livre : "Poutine: L'homme sans visage" de 2012. Malheureusement son oeuvre : "Where the Jews Aren't: The Sad and Absurd Story of Birobidzhan, Russia's Jewish Autonomous Region" n'existe pas en français. Par contre, le beau roman de Marek Halter l'est et son : "L'inconnue de Birobidjan" a reçu sur notre site préféré 32 critiques positives, mais ne nous offre pas une image globale de cette réalité historique.



Il en va, dans une moindre mesure, de même pour le livre d'Anne Nivat : "La République juive de Staline" de 2013. J'ai énormément d'admiration pour ce grand reporter de guerre, qui à très juste titre a gagné le Prix Albert Londres en 2000 et qui a couvert des points artificiellement chauds comme la Tchétchénie, l' Afghanistan et l' l'Irak. Avec ses 16 ans de voyages et reportages ainsi qu'avec son exceptionnellement intéressant ouvrage : " Chienne de guerre" de 2001, elle se classe, avec Janine di Giovanni, à l'absolu top féminin de sa profession. Ce que je reproche un peu à son livre de Birobidjan, c'est qu'il est plus un compte rendu, pour le reste, très réussi de ses propres pérégrinations dans ce coin du globe qu'un approfondissement de ce qu'a été cette fausse utopie.



Pour toutes celles et ceux intéressés par cette expérimentation scandaleuse qui a coûté la vie à un nombre inconnu de victimes, après des années de vie sans espoir dans un cadre et des conditions de flagrante injustice et misère, et à ce titre tout à fait impardonnable, je peux recommander cet ouvrage de Robert Edward Weinberg.
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La science chez Stephen King

Sous-titre : De Carrie à Cellulaire, la terrifiante vérité derrière la fiction du maître de l’horreur.



Si la marque de Stephen King est l’horreur, les ressorts de cette dernière ne sont pas (que) des monstres sanglants, mais des sciences qui ont dégénéré, donnant des personnages inquiétants et dérangeants ou encore des machines animées de sombres intentions envers les hommes. « Avec Stephen King, l’humanité profite rarement de la science. » (p. 8) Les pouvoirs psychiques de Carrie ou Charlie sont terrifiants, tout autant que le comportement haineux de Christine, bagnole démoniaque, ou d’une presse à linge qui broie les ouvriers.



Les deux auteurs remontent aux sources de bien des théories : télékinésie, extraterrestre, intelligence artificielle malveillante, voyage dans le temps ou super-virus qui décime l’humanité, Stephen King n’a rien inventé, mais il a su faire à sa main les grandes terreurs humaines nées de la science pour les rendre profondément modernes et, par conséquent, bien plus terrifiantes. « Dans tous ses livres, il pose la question universelle : que se passerait-il si ? » (p. 50) Ses sources et ses inspirations sont nombreuses, et il sait glisser des références et des clins d’œil dans ses œuvres, prouvant ainsi son érudition et son intelligence.



Pour apprécier cet ouvrage, il est évident qu’il est préférable d’avoir lu un certain nombre des textes de Stephen King, de Carrie à La tour sombre, d’autant plus que les romans se répondent entre eux et forment un gigantesque puzzle narratif, un impressionnant univers littéraire. « Le plus grand talent de Stephen King est sa capacité à mélanger l’horrible à l’ordinaire. Ses romans, comme ses nouvelles, mettent en scène des gens normaux, comme vous et moi, qui rencontrent le bizarre, l’étrange et le monstrueux. » (p. 6) Preuve irréfutable avec Cujo : le gros saint-bernard autrefois débonnaire qui terrorise tout le monde lors d’un épisode caniculaire a simplement été mordue par une chauve-souris enragée. « King et Alfred Hitchcock partagent cette habileté de nous faire peur par la psychologie au lieu de mettre en scène des monstres ou de montrer du sang. » (p. 222) Pourquoi a-t-on peur de Cujo ? Parce qu’il est follement agressif, parce qu’il empêche une mère et son enfant de quitter leur voiture sans climatisation exposée en plein soleil, parce que ce qui aurait dû être une journée tranquille dans une petite ville devient une fournaise interminable.



Cet ouvrage n’est pas inintéressant, mais il souffre de quelques faiblesses, à se demander si les auteurs ont lu attentivement les romans dont ils parlent puisqu’ils les résument au mieux grossièrement, sinon avec des erreurs. En outre, certaines théories et conclusions sont hâtives et, selon moi, un peu bâclées. « Lisez n’importe quel livre de Stephen King pour observer la méfiance de l’humanité et la haine de l’étranger. C’est peut-être pour cela que les livres de Stephen King sont si populaires. Ils jouent sur nos peurs les plus profondément ancrées et notre terreur collective de l’inconnu, y compris des étrangers. » (p. 106) Ce n’est pas faux, mais les auteurs semblent méconnaître l’importance de l’amitié, de la famille et de la communauté. Certains héros de Stephen King sont curieux, courageux et ouverts au monde, même si la confrontation avec des forces malveillantes les oblige à se protéger. « Comme la science chez Stephen King est un mélange de science et d’horreur, il part du principe que les étrangers seraient forcément hostiles. » (p. 96)



Un autre reproche que je fais à cet ouvrage est de présenter des sujets scientifiques très complexes, comme la théorie des cordes ou les trous de ver. C’est certes passionnant, mais ça ne sert pas vraiment le propos du livre. Pire, les auteurs tentent à toute force de rattacher les romans de Stephen King à ses théories. Parfois, c’est crédible, parfois, c’est manifestement tiré par les cheveux… La conclusion est intéressante en ce qu’elle ramène au fonds de commerce de Stephen King, à savoir foutre les chocottes à ses lecteurs, mais elle ne dit rien du postulat des deux auteurs de l’essai : quid de la science ? Plus rien. « Il vaut mieux se permettre certaines peurs, comme celles de chiens tueurs ou de rôdeurs psychotiques. Si nous faisons disparaître la peur, comment pourrons-nous combattre Ça ou Les Tommyknockers ? » (p. 238)



Bref, cet essai n’est pas dénué d’intérêt, mais à lire avec circonspection et en connaissant un peu son King. Moi, fan ? Si peu…

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Vampire la mascarade guerre de sang

Premier volume d'une trilogie consacrée au monde fantastique et légendaire de la Mascarade, jeu de rôles vampirique.

Bien que s'éloignant légèrement de l'ambiance originelle, cette oeuvre est très bien écrite, loin des conflits vampiriques romanesques que l'on voit fleurir depuis quelques années.

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Les super héros et la science

Lois H. Gresh et Robert Weinberg passent au crible de la science les étonnants pouvoirs des super-héros des comics américains. Chaque chapitre commence par une introduction historique. Un recueil intéressant dans la même veine que les livres de Roland Lehoucq.
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La science de Stephen King

Contrairement à ce que le titre laisse penser, il est très peu question des romans de Stephen King ici. Ce sont les thèmes abordés par King qui sont étudiés : d'abord les auteurs présentent un concept (extra-terrestre, vie éternelle, etc) et la façon dont il a été traité dans la littérature, chez King et d'autres, puis ils l'étudient d'un point de vue scientifique. J'ai beaucoup appris, sur le fonctionnement du cerveau humain en particulier, ou encore les trous noirs. Certaines explications sont assez ardues, mais dans l'ensemble j'ai (presque) tout compris !

Il y a beaucoup de références littéraires, du coup je me retrouve avec une nouvelle liste de romans (de sf en particulier) que j'ai très envie de lire.
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Vampire la mascarade guerre de sang

Très bon souvenir que cette lecture d'une trilogie se situant dans l'univers du jeu de rôle Vampire : La Mascarade. J'avais beau ne pas bien connaître tout le background du jeu, je n'ai pas été perdu. C'est mené tambour battant et on ne s'ennuie pas une seconde. Alors, certes, c'est bourrin, les protagonistes sont tous plus puissants les uns que les autres mais l'auteur maitrise suffisamment bien son sujet pour nous faire passer un bon moment malgré tout.
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Le baiser de l'homme mort

Il y a quelque chose de jouissif à voir une bonne vieille société secrète de nazillons se toquer de jouer avec des dieux anciens et se faire dégommer, non ? J'assume ;-)

Un petit côté pulp très bon enfant, beaucoup d'humour, et une copieuse dose d'horreur "sauce à l'ancienne".

Ne réinvente pas la littérature, mais contribue à faire passer un bon moment, cure-dent (ou cigare) coincé entre les canines et ricanement goguenard compris.
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Vampire la mascarade Cycle De La Mort Rouge..

Je n'aurai qu'une chose à dire... vraiment une fin inattendue, dans le bon sens du terme.
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Mémoires, Birobidjan, 1928-1996

C'est lhistoire d'une ville de Russie, à 5000 km de Moscou, qui devient en 1934 Région autonome juive (RAJ), La RAJ est uen réponse au problème du peuplement de cette zone quasi désertique et au "problème juif". La langue officielle y est le yiddish. Par contre il n'est pas autorisé de pratquer la religion juive : pas de synagogue, ... Le projet du Birobidjan est un échec, la populaiton juive n'a jamais représenté plus de 10 %de la population totale de la région. Livre instructif.
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L'ombre du Maître / Psaumes pour H.P. Lovecraft

Dans Un secret du cœur de Mort Castle, un homme raconte comment il a atteint l’immortalité après avoir constaté l’échec de son père dans cette quête, repoussant le monothéisme ambiant et sollicitant l’horrible pouvoir des Autres Dieux. Dans cette nouvelle l’hommage à Lovecraft se pare d’une petite subtilité en développant un système référentiel parallèle et équivalent aux sempiternel balisage occulte du Mythe.

Dans L’autre homme de Ray Garton, un homme terrorisé et intrigué par la mort apparente de sa femme chaque nuit depuis qu’elle lit des livres sur les expériences extra-corporelles décide de s’intéresser à sa nouvelle lubie. Dans un mélange entre voyage astral et rêve lucide, la dimension de terreur cosmique est cohérente, ajoutant aussi à l’inspiration lovecraftienne un côté cavalier avec un fantastique noir ironique basé sur la sexualité.

Dans Will de Graham Masterton, un chantier archéologique est installé à Londres sur l’emplacement du théâtre du Globe de Shakespeare et un cadavre atrocement mutilé est découvert conservé dans l’argile. Cette uchronie fantastique, dense et efficace, s’appuie sur la menace furtive d’un Grand Ancien et les témoignages autour du dramaturge tenu par un pacte aux conséquences cosmiques dans un texte maitrisé et teinté de gore.

Dans « C » comme Cancer de Brian Lumley, Luna II est un satellite naturel de la Terre découvert par des observations depuis une base lunaire. L’équipage envoyé pour l’étudier devient fou sous une influence mystérieuse et, pour l’essai suivant, Smiler est le candidat parfait pour se poser sur le rocher, son cancer lui laissant une courte espérance de vie. C’est une histoire de contact avec l’influence d’une intelligence cosmique, d’horreur biologique par un parasite qui devient autonome après la mutation de l’hôte, la naissance d’un protoplasme psycho-actif cohérent à partir d’une maladie dégénérescente. L’appropriation de la Terre par l’entité est modernisée par l’utilisation d’une stratégie nucléaire de la théorie des jeux. Le mélange entre science fiction et fantastique déborde un peu du socle lovecraftien mais insiste bien avec ironie sur la faiblesse de l’humanité.

Dans Affreux de Gary Brandner, Murray développe une relation étrange avec un lézard qui semble magique. Cette nouvelle se situe dans le fantastique noir, avec une jubilation certaine et quelques détails gore, plein d’ironie classique faussement morale avec ses personnages abjects et le protagoniste candide et différent qui découvre l’extraordinaire.

Dans La lame et la griffe de Hugh B. Cave, Mark Cannon retourne en Haïti pour écrire, accompagné de sa femme Ellen. Dans la maison louée à leur intention, il découvre des objets de culte vaudou. Cette histoire n’a que peu de rapports directs avec Lovecraft sinon la spiritualité atavique et l’intervention de spectres terrifiants, ici l’accent est mis sur le fantastique ironique, le personnage féminin principal est un cliché misogyne, la tension sexuelle est accessoire, l’action gore est privilégiée.

Dans Le gardien des âmes de Joseph A. Citro, un homme se réveille après un accident de voiture dans un endroit désert du Vermont, séquestré par un catholique fanatique à son domicile. La situation initiale est classique avec le cliché de la femme bigote et celui de l’illuminé psychopathe, dans un récit dénué de fantastique et de rapports avec Lovecraft.

Dans L’affaire Helmut Hecker de Chet Williamson, un écrivain arrogant et plein de dédain pour le fantastique apprend par son agent que son nouveau livre est un plagiat de l’œuvre de Lovecraft alors qu’il ne l’a jamais lue. Cet hommage à la douce ironie prend du recul sur l’influence de Lovecraft et s’adresse aussi au chat. L’idée de réécriture ou de reformulation ouvre la réflexion sur les pastiches et sur les traductions.

Dans Meryphillia de Brian McNaughton, une goule se nourrit de la mémoire des humains qu’elle dévore pour découvrir ce qu’est l’amour. Cet hommage d’une féérie gothique et macabre illustre l’inspiration de l’écrivain versé dans l’occulte et ses désirs trop flamboyants pour ce monde, de l’auteur médium d’une réalité surnaturelle.

Dans La cité des morts de Gene Wolfe, un homme rend visite à une famille pour recueillir des vieilles histoires folkloriques auprès du grand-père qui lui décrit le suceur d’âmes. Une ambiance oppressante nimbe la jonction faite entre les mythes de l’Égypte Antique et les légendes anciennes de la campagne américaine, la preuve de l’existence d’un parasite divin opérant des rivages de la vie aux nécropoles immatérielles.

Dans H.P.L. de Gahan Wilson, un jeune écrivain est invité à Providence par Lovecraft presque centenaire qui vit avec Clark Ashton Smith ressuscité par les techniques d’Herbert West. Le texte en plus d’être uchronique joue avec la véracité et la réalité du Mythe, son succès mondial et justifie la guérison de Lovecraft par un pacte passé avec Shub-Niggurath. Ce fantasme de l’existence objective du Panthéon permet d’expliquer à la fois l’inspiration d’avant sa maladie et de déduire ses effets sur la vie de Lovecraft à partir de la révélation cosmique, de projeter les conséquences de son implication volontaire dans l’occulte, démarche rusée et jubilatoire.

Dans L’ordre inconnu des choses d’Ed Gorman, un tueur de femmes raciste et bien intégré comprend, en discutant avec un vieil aveugle, qu’il est manipulé par un Dieu abject. Cet hommage criminologique insiste sur la localisation de l’influence maléfique, dans un quartier pauvre et cosmopolite, adoptant le point de vue du séide offrant des sacrifices malgré lui à une cause absurde qui le dépasse, dans une variation sur les tueurs en série et leurs obscures motivations.

Dans Les lumières des pins de F. Paul Wilson, Jonathan Creighton recontacte Kathleen McKelston qu’il n’a pas vue depuis leurs études pour lui servir de guide dans ses recherches sur le folklore du New Jersey sauvage, d’où elle est originaire. Localisée dans une région désolée à la population arriérée et atteinte de difformités, le thème est comme dans Le Grand Dieu Pan d’Arthur Machen la quête de ce qui se cache derrière le voile de la réalité, puis son influence toute lovecraftienne sur les hommes à travers la métamorphose du protagoniste, les références sont semées sans lourdeur dans une gradation de l’angoisse maitrisée.
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